Facebook mot préface Mamie Potiron 22 août 2012

Mercredi 22 août 2012, je déposai ces lignes sur mon compte Facebook, moi qui n'avais pas encore parlé des préfacières de mon conte " Mamie Potiron " paru en avril dernier. Je répare donc :

Hommage et remerciements

L'art de la préface est difficile et peut être une corvée pour celui ou celle qui s'y colle. En effet, il n'est pas aisé d'être inspiré, de surcroît doublement, par l'écrit et son auteur. Etre à la fois réfléchi(e) et spontané(e) représente un second obstacle. Même si la préface ne revêt pas toujours le caractère du manifeste, elle demande de la responsabilité, engage. Le préfacier doit faire montre d'équilibre entre lucidité et amitié puisqu'il est le premier à tisser des liens avec le lecteur.

Si les préfaces de " Mamie Potiron " sont en exergue de mon conte, c'est qu'à un moment donné, il s'est passé quelque chose entre mes préfacières et moi pour que je décide de les inscrire dans mon parcours d'écriture.

Lorsque j'ai pris cette décision, il s'agissait pour moi d'une reconnaissance envers une libraire qui à maintes reprises disait qu'elle aimait mes romans et une dynamique illustratrice devenue éditrice que j'ai connue à un salon et que j'apprécie. Pour moi, cette invitation à s'exprimer sur mon propre texte était une manière de parler de nos rencontres car je tenais à ce que ce soient de belles personnes qui m'accompagnent. Carolyn et Géraldine figurent dans ce praefari là car j'avais foi en leur jugement et en leurs valeurs. J'avais confiance en l'avenir et ce lien capable de durer.

Par reconnaissance et en forme de remerciements, l'auteure recommandée que je suis dans ce livre, a alors tenu à asseoir la crédibilité de ses intervenantes choisies en inscrivant leur fonction dans l'impression de chaque ouvrage, persuadée qu'il serait une belle aventure !

De bonnes bises amicales à mes fées que j'invite à commenter ces lignes afin de les basculer sur mon site.


Laurence, sa plume et ses crayons

Géraldine Hary signala qu'elle " aime ça ". et me dit : " C'est un honneur d'écrire la préface d'un ouvrage, c'est une grande et belle responsabilité. C'est comme devenir le parrain ou la marraine d'un enfant. Merci Laurence pour ton amitié. "