Dédicace Centre Leclerc Lanester le 03 novembre 2012

Ouest-France, annonce de ma dédicace du 31 octobre 2012

Ma séance de signature de ce samedi 03 novembre 2012 débuta à l’ouverture du magasin pour s’achever vers 18h15. Elle se déroula sous le signe de l’étroitesse tant pour la surface dédiée à mon emplacement qu’à la table qui m’était octroyée. Comme à chaque fois ici, j’ai choisi d’effectuer une journée sans pause déjeuner.

Annonce de ma dédicace sur le site des éditions Jets D'Encre

Voilà, je pris d’emblée le parti de composer avec la toute petite table bancale qui serait la mienne pour l’exercice de la journée. Je devais m’y accouder tant bien que mal avec mes cinq titres de livres à présenter. J’avoue quand même avoir éprouvé un brin de nostalgie côté confort par rapport à d’autres endroits de dédicace !

Allais-je être pour autant un bon cru face à ceux du rayon opposé issus de véritables cépages ? A un moment, le monsieur chargé de conseiller le client amateur, s’est intéressé à ce que j’écris et m’a confié que j’avais plus de monde que la personne présente la veille.

En manteau rouge, la journaliste de Ouest-France

Nul doute que j’ai trouvé plutôt amusantes la réaction de trois personnes qui ont cru que j’étais cartomancienne. L’idée est peut-être à creuser ! Ces interrogations successives répondaient-elles à un besoin qui en dirait alors long sur la société, ou aurai-je la tête d'une cartomancienne ? Enfin, depuis le début de mes exercices de dédicaces, c’est bien la première fois que ce genre de question m’est posé. En tout cas, jamais, je n’ai senti ma table bancale se soulever, bouger autrement qu’à cause de son état instable vraiment incommode pour signer et encore moins confortable pour dessiner !

Il faut quand même préciser à propos des questions que se sont posées les personnes qui m’ont apostrophée pensant que j’étais cartomancienne, que j’avais laissé en évidence mon agenda décoré d’un des dessins illustrant le troisième tome de ma trilogie, " Candela, candela, mon œil ", lequel représente une main d’homme, enfin, voyez plutôt ! Quant à lire les lignes de la plante des pieds ... j'en serais encore moins capable si cela existait !

En veste marron, la journaliste du quotidien Le Télégramme.

A l’occasion de cette dédicace, j’ai fait la connaissance de nouveaux correspondants de presse. Toutes deux, puisqu’il s’agit de deux femmes, sont pour celle représentant le journal Ouest-France et la seconde pour son pendant Le Télégramme, passées me voir : l’une le matin, l’autre en milieu d’après-midi durant laquelle j’ai dû demander à être réapprovisionnée en " Le trou du diable ". (Premier tome de ma trilogie).

En conclusion, les discussions furent rarement spontanées mais se prolongèrent parfois en véritables entretiens toujours sympathiques. Mes dessins ont bien plu aux enfants venus me voir : certains sont même repassés pour savoir « si j’avais le droit de leur en donner ». Il faut une fois encore vous dire que je me suis amusée, enfin j’ai bien dérapé une fois, en plaçant des points et des petits ronds pour terminer mon " mandala " inventé à Poul-Fétan deux jours auparavant qui a vraiment eu beaucoup de succès.

Par ailleurs, et c'est la première fois que cela se produit, j'ai tenu à faire une remarque au vigile en faction non loin d’où j’étais installée à cause de sa manière peu discrète de compter les gens qui passaient à ma table, étonné que j'en aie pas mal ! Si je n'en avais pas eu, qu'aurait-il dit ?