Les deux objectifs principaux poursuivis dans ce pan de la recherche étaient d’abord, d’identifier des stratégies qui permettent de rendre accessibles les activités offertes par le milieu communautaire aux femmes qui ne fréquentent actuellement pas les organismes. Ensuite, il s’agissait d’identifier les pratiques qui permettent de rompre avec la marginalisation des femmes immigrantes, des femmes en situation de handicap et des femmes monoparentales.
Dans le cadre de la recherche sur la pauvreté intersectionnelle des femmes à Montréal et sur l’effort des organismes communautaires pour les rejoindre, il est apparu nécessaire de mettre en valeur les activités développés par ces organismes pour répondre aux besoins des femmes vivant des oppressions imbriquées. Ainsi, l’un des objectifs de cette recherche était de mettre en lumière les pratiques des organismes communautaires qui répondent aux besoins des femmes les plus marginalisées et qui permettent de rompre/réduire leur marginalisation économique, culturelle, sociale et politique. Afin de connaître les activités et services mis en place pour rompre/réduire la marginalisation de ces femmes, des groupes de discussion ont été formés avec des travailleuses des organismes communautaires de Montréal qui interviennent auprès des femmes.