Notre gîte-belvédère à Montbardon

J1 : Samedi 29 janvier 2022


En fin d’après-midi, nous entrons dans le Queyras par Guillestre et la RD902 qui longe le torrent du Guil.

Juste avant d’atteindre le passage le plus resserré des gorges du Guil, nous nous engageons sur une étroite route en lacet, sur laquelle il est presque impossible de se croiser, qui serpente péniblement sur trois kilomètres en gagnant 300 mètres de dénivelé. Heureusement, il n’y a pas de neige !

Après dix virages en épingles à cheveux raides et 17% de pente par endroits, nous arrivons sur le plateau abritant uniquement le petit hameau de Montbardon.

Ce qui a motivé notre venue dans un coin aussi reculé, c’est le chalet d’Anne-Marie, une ancienne bâtisse traditionnelle de pierre et de bois datant de 1810, rénovée il y a quelques années pour en faire trois logements confortables dotés d’un cachet bien affirmé. Celui qui nous a tapé dans l’œil, c’est le plus grand, situé au dernier étage, au pignon entièrement vitré. Nous n’avons pas de mal à le repérer dès notre arrivée !

Voici l’effet que ça donne depuis l’intérieur !

Un petit tour à l’extérieur confirme le manque de neige mais révèle un premier aperçu des somptueux paysages de la région.

Vue vers le nord et le pic de Rochebrune (petite pointe qui dépasse des sapins)

Depuis notre balcon, la vue vers le sud-ouest et les gorges du Guil au coucher du soleil est, elle aussi, incomparable !

Une fois le soleil couché, on peut en profiter pour contempler les étoiles, allumer un feu dans la cheminée ou se relaxer dans l’espace détente dans une eau à 32 degrés et une ambiance zen !

Dans cet environnement, le calme est bien sûr garanti, parfait pour recharger les batteries et être en forme pour nous lancer à la découverte de la région avec une première randonnée dès le lendemain.