POLYNÉSIE (48) ÉPILOGUE (4)

J’en FINIRAI jamais

REMONTENT pourtant à la SURFACE

Sans PERDRE ni VIGUEUR ni CLARTÉ

Des FLASHS, des ÉCLAIRS, des FLÈCHES : PAYSAGES

Les MESSES surtout sur les ATOLLS

Les CHANTS durant les CÉLÉBRATIONS

La DESCENTE de l’AVION - débarquement - à MAKEMO

La SOIRÉE d’ADIEU à MAKEMO – discours et remise de colliers

Les JOURS et NUITS en BATEAU sur l’OCÉAN

Le TRAJET « quasiment » MORTEL entre FAKARAVA et FAAITE

Après ces heures ANGOISSANTES

APERCEVOIR au LOIN dans un vrai RAYON de SOLEIL

L’ATOLL de FAAITE : le SALUT ! L’OASIS ! LE CIEL !

Le RÉCIT de « l’ÉVÈNEMENT » par MICHEL et ANDRÉ

La VISITE au CIMETIÈRE, les TOMBES des « PERSONNES ASSASSINÉES »

Les CLAIRS de LUNE plus ou moins « PLEINE »

Sur l’INFINI de l’OCÉAN

Sous la VOIE LACTÉE – SURTOUT à RARAKA

À 4h du MATIN, retournant à la GOÉLETTE

La LUNE qui se LÈVE au-dessus de FAKARAVA

Alors que le SOLEIL se COUCHE à l’OUEST

Alors qu’on « SOUPE » campés à l’ARRIÈRE du KUA ROA NUI

APERCEVOIR au LOIN l’ÎLE de TAHITI

Au RETOUR de l’AVENTURE des TUAMOTU

RETROUVER nos « HAUTEURS » de MAHINA

La BAIGNADE au PIED des « TROIS CASCADES » de FAARUMAI

Le SOUPER-SPECTACLE sur les GRÈVES du BEACHCOMBER HÔTEL

Le PREMIER BAIN dans le PACIFIQUE SUD

Au SOLEIL « baissant » en FACE de MOOREA

L’ENTRÉE en BATEAU dans la « PASSE » de MOOREA

Les BAIES de MOOREA vues du SOMMET des VOLCANS

Les MESSES en « COMMUNAUTÉ » à MAHINA

Les CONVERSATIONS aux REPAS et en SOIRÉE à MAHINA

La MESSE avec les LÉPREUX à MAHINA

Le DÎNER PIQUE-NIQUE à PAREA

Une MÈRE-POULE vient nous QUÊTER à MANGER

Je lui LANCE un MORCEAU de PAIN

Qu’elle s’EMPRESSE de… DONNER à son POUSSIN

Le TRAJET entre TAHITI et LOS ANGELES

PAS de BAGAGES ni à LOS ANGELES, ni à TORONTO

NI à MONTRÉAL et ni à…QUÉBEC

Le DÎNER chez les LIRETTE

DIGNE de la dernière SCÈNE

Des ALBUMS d'ASTÉRIX

********************

…Et j’AURAIS le GOÛT de CONTINUER

Je me BORNE à CONTRESIGNER avec FORCE

Cette DÉCLARATION de PIERRE LOTI, l’ÉCRIVAIN français :

« LA POLYNÉSIE,

« CE JE NE SAIS QUOI

« D’INSAISISSABLE QU’IL Y A LÀ-BAS

« ET QUI HANTE ENCORE MON

« IMAGINATION D’UNE

« MANIÈRE ÉTRANGE ! »

Fin