Dieppe

Séjour fin de semaine : Dieppe et ses environs

Guide(s) : les "locaux" Geneviève, Jean-Luc, Roger ; Moniques, Christian (jours de l'an 2010-2011-2012-2014)

Les randonneurs de Rando'Lib ont élevé Geneviève et Jean-Luc au rang d'honneur

(Cliquer en bas à droite du diaporama pour accéder à l'album)

2014-2015

A Offranville, un if plus que millénaire et un clocher "tors".

A midi pile, il y a aussi une baignade à la plage du Puys.

2011-2012

2010-2011

L'acidité de la vinaigrette ternissait les couverts, donc il était préférable de briser les feuilles de salade avant de les servir, afin de limiter l'usage du couteau une fois la salade assaisonnée et depuis c'est resté dans les mœurs du savoir vivre!

    • Pourquoi les boutons des chemises d'hommes sont du côté droit et ceux des femmes du côté gauche?

      • Les encyclopédies de l'histoire du vêtement donnent trois explications. Historiquement, les hommes se sont généralement habillés seuls. Les femmes de leur côté (surtout les nobles) étaient habillées par leurs servantes. Pour faciliter la tâche aux servantes qui faisaient face à leurs maîtresses en les habillant, les couturières auraient confectionné des vêtements qui se boutonnaient de droite à gauche. Une autre explication avance que les femmes du Moyen-Âge, ayant plusieurs enfants, les portaient au creux de leur bras gauche pour garder leur main la plus agile, la droite, libre. Il était ainsi plus facile pour elles lorsque venait le temps d'allaiter leurs enfants, de déboutonner leurs vêtements si les boutons étaient placés comme ils le sont, de glisser la tête de l'enfant vers le sein gauche et d'envelopper le petit pour le garder au chaud sous le panneau droit du vêtement. La troisième explication veut que les hommes du Moyen-Âge devaient toujours être prêts à s'emparer de leur épée. Pour éviter que leur main droite, puisque la plupart étaient droitiers, soit gelée ou engourdie, ils la plaçait sous le panneau gauche de leur manteau. Ils devaient donc boutonner de gauche à droite.

    • Rester en carafe.

      • Rester court (en parlant d’un orateur). Rester en plan.

“Rester en carafe” est une expression populaire de 1896. Son origine se trouve dans le sens argotique du mot carafe, c’est à dire “bouche”. Ce terme ainsi défini se retrouve dans divers dictionnaires d’argot d’époque comme:

* en 1880, dans le Nouveau supplément du “Dictionnaire d’argot” de Lorédan Larchey: “Carafe: gosier, jargon des voyous- on y verse l’eau et le vin comme dans la carafe.”

* en 1907 dans le Dictionnaire argot-français de Léon Hayard (1851-1903) dit Napoléon Hayard, l’empereur des camelots: “Carafe,coco, cornet” : Gorge, gosier.

A l’origine, cette expression se disait en parlant d’une personne qui restait bouche bée lors d’une allocution suite à un trou de mémoire, on disait alors dans l’argot populaire: qu’il était “en carafe”.

Plus tard cette signification s’est étendue à toutes les situations où la personne reste “plantée là” sans recours possible.

    • Pourquoi ne faut-il pas balayer la maison d'un mort?

      • En effet, les âmes qui sont rentrées dans la maison dès la nuit tombée circulent au ras du sol. En leur donnant du balai, comme le dit Cambry, « on les blesse », dans les deux sens du terme, physiquement et moralement. En effet, comme on le sait, l’âme est considérée comme un corps, plus petit que le corps visible mais tout aussi matériel que lui 19. De plus, on croyait fortement au pouvoir des défunts et à leur influence sur le quotidien des vivants. ils sont généralement bienveillants, mais ils peuvent aussi être malveillants. C’est pourquoi tout doit être fait afin de ne pas les mécontenter. Donc, leur donner du balai, c’est déclencher leur colère et c’est ce qui explique la remarque de Cambry : c’est éloigner le bonheur.

    • Plancher-plafond

      • Un plancher, dans le domaine du bâtiment, est un ouvrage de charpente, tout ou partie en bois, en fer ou en béton, formant une plate-forme horizontale au rez-de-chaussée ou une séparation entre les étages d'une construction. Sa sous-face est appelée plafond.