Platière d'Apremont, rocher Cuvier-Châtillon
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Forêt de Fontainebleau
Guides(s) : Monique (30 septembre 2007, 26 décembre 2015, 14 février 2016, 20 mars 2016, 20 avril 2016, 5 mai 2024), Marc (10 mars 2016)
Départ : Carrefour Poinsinet. Prendre l'autoroute du Sud, direction Fontainebleau. Au Carrefour de la Libération, à l'entrée de la ville, tourner complètement à droite. Le carrefour Poinsinet est à 300 m plus loin; parking à droite sur le bas côté, juste après un petit rond-point. Le carrefour est un croisement de sentiers. Attention : la route du château est fermée à la circulation. Stationner peu après le carrefour de la Libération, en face de la route vers la maison de l'ONF, qui part du côté gauche de la première voie à droite en arrvant au carrefour de la Libération.
Partir vers le nord. Attention : le circuit Denecourt est très dérouté. Un nouveau GR est tracé.
Passage par le Désert d'Apremont : hors tracé, cheminement peu visible.
Départ : Carrefour du Bas-Bréau (au bout de l'allée, près de l'auberge, si possible). Sens horaire.
Trajet raccourci (pluie).
Stèle d'Ernest Pépin : charretier écrasé par sa voiture en 1897.
Pour les (petits-)enfants : 4,5 km, 5,6 km (Monique, 31 août 2012; Daniel et Monique, 24 février 2014)
Guides(s) : Monique (30 septembre 2010, 31 août 2012, 10 avril 2024)
Départ au carrefour du Bas-Bréau, après avoir traversé Barbizon.
Là se trouve le Chalet caverne des brigands qui fait à la fois brasserie (barquette de frites à 2,5€ par exemple) et restaurant. Ce dernier est ouvert tous les midis du mercredi au dimanche inclus. Je quitte le GR pour emprunter le sentier Denecourt-Collinet n°6 qui part derrière le chalet pour grimper vers la caverne des brigands (lampes ; sable noir...) puis continuer sur la platière vers la mare aux biches.
Depuis la caverne, chemin de retour au Bas-Bréau par un chemin piétonnier. Mal balisé : descendre... Un peu plus facile, surtout à la fin.
Guide(s) : Monique (1er mars, 26 avril 2009, 8 mai 2010) Parcours modifié
Selon Christian : 14,3 km (matin : 8,6 km, après-midi : 5,7 km). Profil
Dénivelé positif et négatif : 365 m. Altitudes max. : 139 m, mini : 82 m. Trace courte.
Boucle de 17 km.
Départ : Parking du carrefour de Belle-Croix.
Autouroute du Sud, sortie Fontainebleau. Environ 4 km après l'entrée dans la forêt, on rencontre le rond point dit le Carrefour de la Croix du Grand Veneur (croix au milieu). En faire les 3/4 pour prendre la direction de Melun. Environ 1,2 km plus loin, on rencontre la Belle Croix. Se garer sur le parking à droite.
Il est facile de se tromper !
Au départ, chemin pavé ; parcelle 880, pour passer du Denecourt Nord au Denecourt Sud. Le GR qui fait la jointure est à peine balisé.
A l'extrémité Ouest, parcelle 720. Nombreuses sentes ne menant nulle part.
Au Sud, parcelle 717 ; à la fin de la platière, un sentier bleu démarre vers l'Est, puis vers le Nord, qui ne figure pas sur la carte. On est tenté de le suivre : ce n'est pas le bon chemin !
A propos de Sidonie Mertens (voir photos) :
Femme savante et criminelle : les « crimes » de Mathilde Frigard
En mai 1867, le corps partiellement décomposé de Sidonie Mertens était découvert dans la forêt de Fontainebleau. Les soupçons se portèrent sur Mathilde Frigard, une commerçante ayant laissé à Caen mari et enfants pour tenter fortune à Paris. Les médecins n’ayant pas réussi à se prononcer sur les causes de la mort de Mme Mertens, et le crime supposé n’ayant pas eu de témoin direct, le juge d’instruction partit en quête de preuves indirectes de la culpabilité de Mme Frigard. Il ne choisit pas de suivre l’argument classique des mauvaises mœurs de l’inculpée – qui pourtant aurait pu aisément être mis en avant – mais il privilégia la piste d’un crime d’argent. Pour l’étayer, il s’efforça de construire la figure monstrueuse d’une « femme virile », opposée à des personnages de victimes plus conformes à l’image que l’époque se faisait de la féminité. Femme d’affaires prête à tout pour s’enrichir, aventurière qui possédait des armes, Mme Frigard fut aussi, et peut-être avant tout, présentée par l’accusation comme une fille de médecin ayant glané en autodidacte des bribes de savoirs réservés aux hommes. Ainsi, le fait qu’elle lisait des livres de médecine, qu’elle était magnétiseuse (et non pas seulement somnambule magnétique) et qu’elle pratiquait l’archéologie fut utilisé contre elle comme une preuve de sa monstruosité. Elle aurait ainsi dévié de leurs pratiques légitimes des savoirs (masculins) utilisés à des fins malhonnêtes. Aux yeux de l’historien pourtant, les pratiques savantes de Mme Frigard apparaissent conformes à celles de beaucoup d’amateurs contemporains d’archéologie ou de magnétisme. Nous avancerons l’argument que c’était bien parce qu’elle était une femme, et parce qu’elle s’était engagée dans des domaines réservés aux hommes, que ses recherches furent mises en avant comme preuve de sa culpabilité dans le meurtre.
Départ : Carrefour de Belle-Croix
Guide(s) : Jean, remplacé par Héléna (30 mai 2010)
Départ : Parking de la Table du Roi
Passage à Belle-Croix : voir la rando Rocher de Saint-Germain,Rocher Canon, Rocher Cuvier-Châtillon))