Exemple d’analyse de texte avant la découverte des composantes et des parties du conte :
Résumé de contes en ...
P4 ou CM1 P2 ou CE1
Voici le code de correction et de couleurs en construction utilisé lors d'expressions écrites
en P4 ou CM1 en P2 ou CE1
Après le travail par cartes cognitives, la réalisation de livrets résumant le livre « Palou » en P4 (CM1)
Il est primordial de donner aux enfants le goût et les moyens d’écrire avec rigueur et sérieux de manière ludique. En partant d’expériences concrètes du langage dans son usage réel, afin qu’ils apprennent peu à peu à s’en servir comme moyen privilégié pour imaginer, penser, créer, échanger entrer en contact avec les autres et soi-même. Et ce, en mettant l’accent sur une pratique fonctionnelle sans oublier les activités plus spécifiques.
Le point de départ de chaque nouvelle activité d’expression écrite se fait à partir d’un « grand livre de… ». L’écriture des différents types de textes sera appuyée par la réalisation de cartes cognitives. En parallèle se fera la construction d’un code de couleur de correction de l’expression écrite et d’une grille de relecture des types de textes rencontrés. Et ce en respectant le rythme du scripteur tout en observant son attitude face à l’écrit.
Ces grands livres sont construits avec les élèves, à partir de l’observation de textes, de la compréhension de leur structure, et de la collecte d’éléments les caractérisant.
Les élèves de quatrième avaient préalablement découvert que les textes avaient une structure et une fonction. Au lieu de classer la collection de textes que nous avions faites en troisième année selon qu’ils soient injonctifs, incitatifs,… Les élèves ont donc classé ces textes selon leur fonction et leur structure.
Exemple de réalisation d’un conte à l’aide de cartes mentales et en utilisant les images d’un grand livre. Ici, la création d’un conte.
Les élèves de quatrième année utilisèrent le programme Thinkgraph pour réaliser les cartes cognitives qu’ils utilisaient comme bases à la réalisation d’un conte.
Toutefois nous suggérons de ne pas utiliser trop souvent ce genre de logiciel afin de ne pas formater la pensée des élèves.
Panneau référent pour écrire un texte narratif
Exemple de résumé suite à la visualisation d’une vidéo par un élève de quatrième année.
Résumé d’un texte avant de répondre à des questions s’y rapportant par un élève de quatrième.
En fait les élèves retravaillèrent leur schéma heuristique par quatre fois : le même texte leur est donné avec au fur et à mesure une partie de la suite.
Cela permet de voir le fonctionnement de l’élève, de voir les liens qu’il fait, et de savoir où il en est dans la structure de sa pensée.
Les élèves construisent eux-mêmes la synthèse de leurs connaissances. Car apprendre, c'est élaborer soi-même ses connaissances en passant nécessairement par une phase d'interaction, voire de conflit socio-cognitif avec autrui, et cela à tout âge (socio-constructivisme). D’abord en individuel, puis en groupes afin de favoriser les échanges et de réajuster sa carte. Puis une mise en commun au cours de laquelle la synthèse devient le référentiel de la classe.
Exemple en orthographe
En P2 en P4
La collection de P3 dans des enveloppes permettait aux élèves de se rattacher à leur vécu. Quelques exemples étaient mis sur une feuille. Tout autour les règles. Et au-dessus la synthèse sous forme de carte.
Cette disposition permet à l’élèves de se rattacher soit à la synthèse, soit aux exemples ou aux règles, et ce en fonction de son niveau de connaissance de la notion. Chacun s’y retrouve.
Dans les cahiers de synthèses des élèves… Vous remarquerez que les élèves ont le choix. La méthode ne leur est pas imposée. Les cartes cognitives sont celles qu’ils ont construites en classe et qui s’y trouvent comme référents.
En conjugaison…
Aucun exemple type n’est donné et ce afin qu’ils réfléchissent à appliquer ce qu’ils ont découvert(s).