Milan - Salon de la Moto
Comment résumer ce WE, peut on le résumer, doit on le résumer ?
Il y a deux ans, pour ma première visite, j'ai cru devenir fou !
Sur trois jours, nous étions une dizaine partie pour la balade à moto, pour vivre un bout d'Italie et voir le salon du deux roues de Milan.
Arrivé au salon pour voir des motos, les comparer, les toucher, j'ai surtout été attiré par les belles filles, des modèles qui sont là pour justement attirer le public essentiellement masculin. Il y a une catégorie de public qui m'a interpellé, ce sont les photographes. Tout un tas de mecs armés de super appareils qui shootaient les filles et rien que les filles. C'était décidé, je reviendrais armés.
L'exercice est difficile car il y a beaucoup de monde, il faut avoir l’œil, être rapide et précis.
Par contre, quelle facilité et simplicité d'avoir affaire à des modèles, habituées à poser, sourire et regarder l'objectif.
Cette année, nous étions cinq et la météo qui s’annonçait désastreuse en pluie et froid nous avait décidé d'y aller en voiture. Fred et Philippe, eux, ont préféré la moto. Ils ont eu raison car il a fait beau jusqu'au retour du dimanche soir. Enfin, les deux guerriers ont tout de même passé deux heures de nuit sous de violents orages entre l'Italie et la France.
Au salon, nous avons commencé par les plus belles italiennes, les Ducati. Ensuite, les heures ont défilé et il faut un peu de discipline pour en voir un maximum. Un peu franchouillard, nous avons fait une pause photo au stand Ermax accueilli par son sympathique et disponible dirigeant. Les stands KTM et Kawazaki sont restés quant à eux inabordables tant il y avait du monde.
L'objectif était aussi de voir les nouveauté 2015, il y en a pas mal cette année, à chacun les siennes. Pour moi, les nouvelles Tiger, V-strom, Super Ténéré, MT09 Tracer et Crosstourer.
De l'Italie, verrez "il Duomo di Milano" et la galerie Victor Emmanuel II, mais vous ne verrez pas les "linguine sottocoperta", les bons "caffé solo" et l'imprenable vue du vingtième étage du restaurant "l'Unico Milano", ça il faut le vivre...
Joël