Un rabbin ayant une envie très pressante rentre dans un bar pour la satisfaire.
Au moment où il rentre dans le bar, le brouhaha et la musique ambiants disparaissent pour laisser la place à un silence très lourd.
Le rabbin s'avance vers le barman et demande :
- Pourrai-je utiliser vos toilettes?
Le barman lui répond:
- C'est que... je ne sais pas si c'est un endroit pour vous!
Mais le rabbin insiste:
- Je vous en prie, il s'agit d'une envie pressante. Ne me laissez pas dans le besoin (sic).
Alors le barman:
- C'est que Monsieur le rabbin, nous avons dans les toilettes de ce bar la statue d'une femme qui mis à part une feuille de vigne est complètement nue, et je ne voudrais pas que vous soyez gêné par cela.
Le rabbin lui dit alors en se dirigeant vers la porte des toilettes:
- Ne craignez rien. Je suis tout à fait capable de supporter la vue de ce genre d'objet païen.
Au bout de quelques minutes, le rabbin est de retour dans le bar, mais cette fois-ci, la musique bat son plein et le brouhaha montre que tout le monde discute de bon coeur.
En s'approchant du barman, le rabbin demande:
- Je ne comprends pas très bien... Tout à l'heure quand je suis rentré, il n'y avait pas de musique, personne ne parlait, et maintenant, c'est tout le contraire.
Le barman répond:
- C'est que maintenant on sait que vous êtes des nôtres. Et d'ailleurs, pour fêter ça, je vous offre un coup à boire !
- Et pourquoi me considérez-vous comme "un des vôtres"? Parce que j'ai utilisé les toilettes du bar ?
Alors le barman lui répond avec un grand sourire :
- Non, pas tout à fait. Il faut vous expliquer que à chaque fois que quelqu'un va aux toilettes et soulève la feuille de vigne, alors toutes les lumières s'éteignent et se rallument dans le bar... Alors vous le prenez ce verre ?
Un rabbin et un prêtre entrent en collision lors d'un accident de voiture.
Les deux voitures sont complètement démolies mais, curieusement, aucun des deux hommes n'est blessé.
Après que chacun se soit extirpé de sa voiture, le rabbin voit la petite croix argentée sur le revers de la veste du prêtre et lui dit :
"Ah vous êtes prêtre. Je suis rabbin. Regardez nos voitures. Il n'en reste rien, mais nous ne sommes pas blessés. Ce doit être un signe du tout-puissant. Dieu a du vouloir que nous nous rencontrions, devenions amis et vivions en paix pour le reste de nos jours.
- Je suis entièrement d'accord avec vous. Ce doit être un signe de Dieu."
Le rabbin poursuit : "Regardez. C'est encore un miracle. Ma voiture est en morceaux, mais cette excellente bouteille de vin d'Israël est intacte. Dieu veut certainement que nous buvions ce vin et célébrions notre bonne chance."
Il ouvre la bouteille et la tend au prêtre. Le prêtre est d'accord et en boit quelques grosses gorgées (l'émotion, la chaleur), puis rend la bouteille au rabbin. Le rabbin prend la bouteille, la rebouche puis la rend au prêtre.
Le prêtre demande : "Vous n'en buvez pas ?".
Le rabbin répond : "Non... Je crois que je vais attendre la police."