Textes
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En collaboration avec le philosophe Pierre Michel Klein :
Voir aussi la page web associée à l'exposé sur ce sujet fait le 18 juin 2014 au séminaire CLE (Paris 7).
Les espaces connectifs offrent de nouvelles façons de circuler entre le monde du discret et celui du continu. Profondément liés aux entrelacs, ils se révèlent, à la lumière des notions adjointes de représentation et de feuilletage connectifs, être de nature essentiellement dynamique.
Une définition unifiée des dynamiques s’avère alors indispensable à l’exploration de leurs aspects connectifs. Une telle définition est obtenue par l'adoption d'un point de vue catégorique sur les temporalités et les dynamiques.
Par delà les notions classiques de systèmes dynamiques discrets ou continus, s’ouvre alors un vaste domaine d’exploration, celui de dynamiques non nécessairement déterministes, fondées sur des temporalités variées : cycliques, arborescentes, bornées, etc.
À leur tour, ces dynamiques catégoriques servent de base à la définition des dynamiques catégoriques connectives, définition qui représente le principal objectif de ce petit livre d'introduction au sujet.
Document de référence sur les dynamiques catégoriques connectives. 4 chapitres, index des notations, table des matières. 80 pages.
Vidéo associée : "Categorical Connective Dynamics", colloque "Catégories et Physique 2011", Paris 7 (décembre 2011)
Prezi associée : Categorical Connective Dynamics
Remarque : la conjecture énoncée dans cet article a en fait été démontrée par Kanenobu en 1985, l'idée fondamentale se trouvant chez Brunn (1892) (voir The Connectivity Order of Links).
Plus grand facteur premier du nombre de structures connectives sur un ensemble de n points numérotés (les structures isomorphes sont distinguées), pour n = 2, 3, 4, 5 et 6.
Pour n = 6, le résultat découle du calcul du nombre de ces structures par Wim van Dam.
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