Annie, Danny, Guylain, Philippe et Gilles (75 km)
Nous nous retrouvons en cette fin de juillet, pour une première sortie en club réunissant la moitié de nos effectifs !
Peu de vélo en ce qui me concerne depuis début juillet, mais une envie d'aller découvrir les coins les plus reculés de la Picardie Verte, loin loin ... au delà de Songeons, puisque le vent d'Ouest nous pousse à aller à sa rencontre.
Un départ en direction de Savignies mais un peu plus loin à L'Héraule, l'envie de rejoindre Haucourt en empruntant une cavée sur la droite à la sortie du village. La pente est assez prononcée sur quelques centaines de mètres, jusque 11 %. Elle nous conduit sur un plateau au milieu de champs partiellement moissonnés.
Notre périple se poursuit donc dans la vallée du Thérain. A Songeons, halte sous la halle, pour se restaurer et manger quelques prunes achetées à un retraité installé derrière une table de camping. A l'entrée d'Escames, nous empruntons la route qui monte vers Longavesne, hameau qui ne se trouve pas sur la carte routière ! Pas de GPS, pas de téléphone, c'est une personne circulant en voiture qui nous oriente vers Ernemont-Boutavent.
Quelques kilomètres plus oin, nous retrouvons le château de Loueuse qui détermine notre point de retour sur Beauvais. A l'approche de Marseille en Beauvaisis, je laisse mes camarades revenir sur Beauvais et part en solitaire sur Crèvecoeur le Grand où m'attendent mes enfants.
Un parcours assez sportif que vous pouvez retouvez sur Openrunner !
le Mont Cassel avec ses champs de pomme de terre en fleurs
Aliette, Annie, Monique, Sylvia, Alain, Philippe et Gilles
C'est sous un ciel de plus en plus bleu et des températures de plus en plus chaudes, que s'est déroulé notre "weekend club" dans le Nord, à la découverte des Monts de Flandre.
Le premier jour était une mise en jambes de 85 km avec pour destination finale, le Mont Cassel. Le circuit emprunte un réseau continu de petites routes qui s'entrecroisent à travers la campagne flamande. Nous avons eu la chance de pouvoir nous aider du GPS de Sylvia, laquelle nous a guidé avec application pendant ses trois journées. Première halte au km 43, à Esquelbecq !
Esquelbecq est un village disposant d'un château représentatif de l'architecture flamande. Il est entouré de douves en eau alimentées par l'Yser. Son plan d'origine du XV siècle en forme de quadrilatère à huit tours et pignons lui confère une belle harmonie. Au pied du château, le jardin historique est composé de compartiments fleuris. C'est magnifique ...
Nous repartons du village pour gagner Cassel, principale objectif de la journée.
Cassel se mérite. Nous l'avons contourné toute la matinée, avant d'affronter ses pentes en pavé, à midi sous la chaleur ! Là-haut, nous parvenons sur la Grande Place et son architecture typique.
Nous sommes séduits par les maisons et trouvons rapidement un peu d'ombre pour déjeuner au sommet du mont qui culmine à 176 mètres !
Pour redescendre de Cassel, nous privilégions le trottoirs qui secouent moins les vélos ... et les cyclistes.
Rapidement nous regagnons la plaine et traversons quelques villages à l'habitat typique en brique et toiture peinte en noir. Tout est bien entretenu.
Elle est annoncée partout en France. Sur les Monts de Flandre, c'est sous un soleil chaud et un magnifique ciel bleu que commence notre deuxième journée de vélo avec 65 km à parcourir et un peu moins de 900 mètres de dénivelé ! La matinée commence avec un 1er arrêt à Boeschepe et son moulin de l'ingratitude.
Sur les contreforts des monts, le parcours nous permet de découvrir un paysage diversifié. La commune de Boeschepe se situe le long de la frontière belge. C'est ainsi que nous cheminons de France en Belgique dans une région marquée par l'unité des paysages.
le Moulin de l'ingratitude
Nous sommes sous le charme des paysages ...
Le circuit emprunte des routes réservées aux randonneurs et aux vélo.
Point culminant de la Flandre Occidentale en Belgique, le mont a été un lieu stratégique pour les militaires au cours des deux guerres mondiales. Pour l'atteindre, il faut affronter une pente finale avec un dénivelé à près de 14 % !
En redescendant, le parcours longe des vignes et des houblonnières. la chaleur s'accentue à l'approche de Bailleul. Nous faisons une halte au cimetière pour reprendre de l'eau dans nos gourdes.
il est près de 13 heures quand nous parvenons à trouver de quoi nous restaurer à Saint-Jans Cappel. Les sandwichs réalisés avec du gros pain ne nous effraient pas.
Difficile d'évoquer les Flandres sans parler des estaminets présents au coeur de chaque village. A Bailleul, nous avons savouré une bière ! mais pas n'importe laquelle, la Saint-Bernadus produite par la brasserie de Wattou.
Mais trêve de plaisanterie, il nous reste un peu plus de 20 km à parcourir et près de 450 mètres de dénivelé. L'après-midi s'annonce très très chaude.
Au dessus de Saint-Jans Cappel, se situe le mont Noir que nous atteignons après un petit détour par Loker en Belgique.
Les ascensions commencent, nous tirons sur les guidons et mettons toutes les vitesses à gauche. Utile ce petit plateau !
Après une heure et demie d'ascension, nous arrivons au Mont des Cats au sommet duquel, l'abbaye accueille une vingtaine de moines trappistes qui produisent du fromage.
Pendant que nous prenons la pose, Alain et Monique ont repris leur vélo pour chercher le compteur d'Alain, égaré en posant son vélo sur une haie. Nous les voyons revenir courageusement après avoir gravi une deuxième fois la dernière ascension vers le Mont des Cats. Chapeau à eux !
Poussés par le vent et l'orage tout proche, notre dernière randonnée vers Poperinge, petite ville belge, nous permet de découvrir les curiosités d'une cité peu touchée lors de la première guerre mondiale. Ci-dessous, le musée du houblon.
lieu de base arrière des soldats britanniques
Retour au gîte en passant par le Mont des Cats
C'est ainsi que se termine ce weekend dans les Flandres. Le dépaysement, la diversité des paysages entre agriculture et traditions locales, les circuits qui empruntent uniquement des routes à faible circulation ....
La convivialité au sein de notre petit groupe, les frites à l'apéritif, les différentes bières dégustées, les grillades en soirée, c'est un séjour très réussi que nous conserverons en mémoire !
Aliette, Annie, Philippe et Gilles (54 km)
"Monique, je confirme : pluie ! Ce qui a fait dire à Gilles que j'ai eu tort de lui faire confiance et que c'est probablement ce que tu m'aurais dit 😉 ...
Avant de partir et sur proposition d'Annie et Philippe, nous sommes aller admirer sur la place des Maréchaux, la cathédrale en carton réalisée par les élèves de Corot. Une oeuvre stupéfiante ! de quoi être fiers de nos lycéens. Sur la photo, vous apercevrez notre reporter allongé par terre pour vous offrir les photos de l'intérieur.
Nous sommes donc rentrés trempés mais avons trouvé quelques réconforts en dégustannt sur le chemin des cerises presques mûres ...
... et en respirant à la pause le parfum délicat des roses de Gerberoy". texte : Aliette
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait éclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
N'a point perdu cette vêprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au votre pareil (Ronsard)
Sylvia et Gilles (78 km)
Nous sommes partis sous un ciel chargé en direction de Grandvilliers, un itinéraire bien connu des anciens du club, mais une découverte pour Sylvia qui nous rejoint cette année. Nous empruntons la route des Rondes du Beauvaisis 2024, mais là, passage par la ferme de Coullemogne pour ensuite, traverser la vallée de l'Herperie. Nous quittons Oudeuil par la route la plus pentue (9%) sur quelques centaines de mètres. Première récompense, le paysage qui se dévoile derrière nous.
En lisière de la forêt de Malmifait, le village de Haute-Epine possède une intéressante église du 16ème siècle, Saint-Mathurin. Notre attention se porte au porche et aux quatre ensembles sculptés qui reçoivent la charpente en berceau datée du 16ème siècle.
Malheureusement dégradés, ces piliers se composent d’une courte colonnette cannelée surmontée d’un chapiteau. Sur l'écritoire présentant l'église, il est noté que "la richesse décorative des piliers comme leurs proportions contrastent avec le reste de l’édifice et, sachant que ce porche a connu d’importants remaniements, on peut légitimement s’interroger sur leur origine réelle et se demander s’il ne s’agit pas d’un réemploi".
Après être passés par Grandvilliers (halte méritée au pied de l'église), nous reprennons le vélo en direction de Saint-Maur. Le village rue de Briot, présente de belles maisons de maître, mais également celle-ci !
Un citoyen de la commune s'insurge et le fait savoir ! Les slogans sont actualisés tenant compte des changements politiques récent. Ainsi le nom de Bayrou à côté de celui de notre président, appelés "Chefs de bandes des foutriquets". Conatus, foutriquet, les mots employés montrent une éducation certaine du citoyen briotin.
Sur le retour, avec un soleil désormais bien présent, nous descendons la vallée du Petit Thérain. Impossible de ne pas prendre quelques minutes pour découvrir le hameau de Lannoy, à proximité du cours d'eau.
Face à l'ancienne abbaye dont subsiste la maison principale et des tourelles, se trouve une maison restaurée récemment. Elle attire notre regard avec son œil-de-bœuf de forme ovale placé dans les combles du bâtiment ancien et la clématite au pied de la porte.
Vers le Quesnel Aubry
Aliette, Annie, Philippe et Gilles (58 km)
Nouvelle excursion sur le plateau picard, le temps ensoleillé et chaud a laissé place à la fraîcheur suite aux orages de la veille. Le vent du nord-est nous invite à retrouver des routes en partie parcourues quinze jours plutôt en compagnie de Monique et Sylvia. Pour changer ... retour aux paysages somptueux que l'on découvre en allant au Quesnel Aubry, en partant de Montreuil sur Brèche.
En chemin, la nature sauvage mais également cultivée attire notre attention. Dans un champ de colza, quelques pieds de phacélie semés l'an dernier réapparaissent.
Un fresne majestueux se dégage devant nous avec au pied, une clotûre garnie de carottes sauvages fleuries
Sur le retour, nous nous arrêtons à Reuil sur Brèche au pied du pont qui enjambe la rivière. L'occasion de nous interroger. Où se cours d'eau prend t'il sa source ?
Pour Philippe, elle ne doit pas être très éloignée, vu le débit limité de l'eau sous le pont. De retour, je vérifie sur une carte IGN, la source est à quelques centaines de mètres en amont de notre lieu de halte, au lieu dit "La fontaine au but". Nous irons la voir, une prochaine fois !
11 h 15 - il faut désormais penser au retour. Le choix se porte sur Abbeville Saint-Lucien. Avant d'arriver au village, une très grande parcelle se détache dans le paysage, toute bleue. Difficile de renoncer à aller la voir de plus près ! C'est du lin d'hiver, au pied duquel, un papa et ses deux jeunes enfants n'ont pas résisté au plaisir de la photo de famille originale. Alors, nous aussi !
"Ce matin, nous avons rencontré un photographe dans un champ de lin "
Portraits croisés des quatre randonneurs de l'Amicale cycloTOURISTE de Beauvais.
Aliette, Annie, Monique, Guylain, Philippe et Gilles (70 km)
C'est sous un superbe soleil et des températures idéales, que nous nous sommes élancés à la découverte du Clermontois. Cela commence par la montée à la Neuville en Hez, de la côte de l'escargot.
Passage obligé devant le magnifique chêne de Saint-Louis. Arrivés au lieu dit le magasin, nous rencontrons Nathalie et Pascal, adhérent du club qui finissent leur randonnée dans les bois, avec quelques brins de muguet. Les retrouvailles sont chaleureuses.
A la sortie de la forêt, nous décidons de bifurquer sur la direction de Clermont, pour aller découvrir le village d'Auvillers que nous n'avons que très peu vu à ce jour. La ferme Alvoet marque le centre du village. Tout à côté, la chapelle restaurée mais hélas fermée et le chateau d'Auvillers d'inspiration Renaissance. C'est aujourd'hui un mélange de deux constructions. La façade nord a conservé ses deux tours (hélas masquées par les arbres) et celle du sud ses deux pavillons que l'on voit mieux sur la carte postale.
le chateau d'Auvillers début du 20ème siècle
le retour par Ansacq et la vallée du Thérain est une formalité dont nous nous affranchissons avec plaisir. Une belle randonnée !
Sylvia, Monique et Gilles (74 km)
Nous sommes partis en direction de Breteuil ce matin avec un vent de face progressivement plus soutenu.
En chemin, nous avons redécouvert en compagnie de Sylvia, le théatre gallo-romain de Vendeuil Caply. Longtemps abrité sous un bosquet d’arbres, ce monument a été découvert suite à des défrichements par des érudits locaux dans les années 1930. Il faut attendre 1955 et une photographie aérienne verticale de l’Institut géographique national pour avoir une confirmation de l’identification de l’édifice. De 1969 à 1984, l’intégralité de la partie centrale du théâtre est dégagée par des bénévoles.
Le théâtre, délimité par un enclos quadrangulaire, possède un plan semi-circulaire de 80 mètres de diamètre. On y retrouve sans difficulté la scène, l'aire centrale plane, plusieurs niveaux de gradins desservis par des couloirs de circulation verticaux et horizontaux.
Sur le retour, nous sommes passés à Farivillers. Monique nous a présenté le premier lieu de résidence de sa famille et ses souvenirs de jeune fille. Séquence nostalgie, c'était assez émouvant.
Quelques kilomètres plus loin, nous avons bifurqué dans Campremy vers le hameau du Grand Mesnil. C'est une superbe propriété entourée d'arbres. Nous nous sommes avancés à l'entrée du portail pour découvrir la grange cistercienne du XIIIème siècle restaurée par la famille Vasselle.
Vue de la grange depuis la route avec une allée d'arbres en corbeille
Aliette, Monique, Guylain et Gilles (50 km)
C'est une randonnée qui aurait pu se terminer rapidement. Partis sous la grisaille en direction de Mouy, notre ami Guylain chute au niveau du passage à niveau de Bailleul sur Thérain. Heureusement, il se relève avec quelques égratignures sur la jambe et le coude.
Tenant compte des impératifs de retour pour midi, nous écourtons un peu le parcours en empruntant la vallée par Montreuil sur Thérain. Monique fait remarquer que la route de Mouy habituellement, c'est plus plat ! A Heilles, nous prenons quelques minutes pour nous restaurer devant le lavoir.
éblouis par le soleil !
Avant de monter sur Mouchy le Chatel, courte halte devant les grilles du château entourée de piliers tenus par des cariatides
"Gilles a crevé sur la route du retour au niveau de Troussencourt. Quand il a sorti sa chambre à air, Monique n'a pas manqué de compter le nombre de rustines déjà présentes : 6 ! Comme certains le savent, son record est de 8. Mais ainsi que lui a fait remarquer à juste titre Gilles, on ne crève plus sur une rustine. Nous attendons maintenant la prochaine chambre à air de Gilles qui sera faite que de rustines. Le prototype est à l'étude. " Aliette
Droit de réponse - J'ai bien réparé la chambre à air l'après-midi même. elle compte précisemment 10 rustines en tout et pour tout. 😉 Gilles
Danny et Guylain
Un brevet de 200 km cela commence tôt, un lever à 5 h 00, un petit déjeuner copieux, les dernières vérifications pour être sûr de ne rien oublier, merci à nos compagnes respectives Frédérique et Maryse pour leur aide logistique et morale.
Les vélos sont accrochés, départ pour le lieu de rassemblement, le local du club de l’AC Pavilly. Les anciens du club sont là pour nous accueillir avec le sourire et quelques douceurs.
Inscrits via internet, les cartes de route sont vite récupérées, trois contrôles, le premier à Foulbec km 54, le second à St-Georges du Vièvre km 84 enfin le dernier à Pont de l’Arche km 137.
7 h 00 le départ groupé est donné, le thermomètre affiche 7°C mais le ressenti frôle 3°C. La sortie de la ville est rapide, nous suivons le peloton des locaux, les premiers km sont vite avalés.
La traversée du pont de Brotonne est impressionnante. Ce pont à haubans de 1278 m domine la Seine de 50 mètres. La vue est magnifique, déjà le vent nous propulse de l'autre côté de la rive
Premier contrôle à Foulbec, peloton encore groupé , trop de monde à gérer pour le petit troquet, impossible de boire un café.
Le suivant à St-Georges du Vièvre est seulement à 30 km, mais nous comprenons vite pourquoi, les montées à fort pourcentage s’enchaînent, au deuxième contrôle nous côtoyons pour la dernière fois deux jeunes participants.
Le Bec Hellouin
Le fond plat de la vallée est occupé par des vergers et des prairies humides, ponctués de grands arbres séculaires et entourés de haies formant un bocage destiné à l'élevage bovin. C'est dans ce paysage que serpente le ruisseau du Bec, bordé de saules et d'aulnes, ou canalisé pour alimenter d'anciens moulins.
Ruisseau du Bec
Pause déjeuner
Au niveau du Pont de l’Arche traversée de l’Eure et de la Seine direction NE avec le vent 3/4 face, heureusement les plus grandes bosses sont passées.
Au village de Vieux-Rue changement de direction vers notre but avec cette fois le vent favorable mais de nouveau glacial
Frédérique et Maryse sont venues à notre rencontre et nous encouragent. Nous en profitons pour nous alléger et nous ravitailler. Nous filons vers Pavilly, nous sommes dans les temps, à l’accueil verre de l’amitié et félicitations des bénévoles et de nos épouses.
Fatiqués mais souriants
Dernière collation avant l'arrivée
Vivement la douche et une bonne bière. Les 204 km ont été effectués à une moyenne de 20 km/h, soit en 11h55mn pauses inclues. (Texte proposé par Guylain)
Annie, Monique, Sylvia, Guylain, Philippe et Gilles (50 km)
Il a fait plutôt beau en ce mois de mars mais aujourd'hui, le passage d'une courte dépression coïncide avec notre randonnée dominicale. Un vent d'ouest soutenu ne nous a pas détourné pour autant de notre objectif, aller à Lanlu. Petit hameau de Villembray, perché au dessus du village, notre amie Sylvia a passé ses étés dans sa famille, agriculteurs dans ce hameau de 75 âmes.
Grâce à elle, nous découvrons les différentes mares du village, dont la plus sympa, celle où elle venait s'essayer à la pêche ! Quelques batiments ont été restauré récemment dont une ancienne étable devenue, une belle maison de pierre.
Aller à Lanlu, c'est s'immerger dans le Pays de Bray, entrevoir le passé agricole et ses évolutions, quelques prairies désormais retournées pour des cultures. C'est aussi profiter des couleurs contrastées. Au delà du vert soutenu des prairies, se détachent les haies, un arbre seul puis un peu plus loin, l'église et les quelques maisons de maître de Villembray. Ici, tout est beau, même le ciel gris fait preuve de nuances !
Nous avons concédés quelques efforts pour venir ici mais nous avons été récompensés. Le retour par la vallée du Thérain n'est plus qu'une formalité.
Vue sur Villembray depuis la petite route qui conduit de Lanlu à Glatigny
Annie, Monique, Sylvia et Gilles (54 km)
Finie la douceur de début mars, nous partons ce matin avec un vent soutenu venant du Nord-Est, plutôt frisquet. Pour ce mettre à l'abri, nous empruntons la vallée de Guignecourt, Fontaine Saint-Lucien puis Abbeville Saint-Lucien. Là, exceptionnellement, l'église est ouverte par quelques villageois qui déposent des réchauffeurs utilisés pour un concert ayant eu lieu la veille. Nous profitons donc de l'occasion pour nous glisser quelques minutes et observer l'intérieur de l'édifice.
Cette église a été batie en l'honneur de Saint-Laurent, patron des cuisiniers et des rotisseurs, dont le portrait figure au dessus de l'autel. le choeur gothique domine une nef d'origine romane du 12 ème siècle.
Passé Abbeville Saint-Lucien, nous nous dirigeons vers la vallée de la Brèche. Au retour, arrêt devant la très belle maison avec véranda d'époque située à un carrefour menant au centre du village.
Comme souvent, le retour par Lafraye, Boursines et Bonlier, vent dans le dos et avec le soleil, nous gratifie des efforts consentis. Une chouette randonnée.
Danny, Annie, Monique et Aliette à Silly Tillard
Aliette, Annie, Monique, Danny et Guylain
Nous étions 5 ce matin, au rendez vous dominical, avec l'idée de tester le parcours de 50 km prévu pour les boucles du Beauvaisis en septembre prochain. Un emploi du temps serré pour certains d'entre nous ne nous a pas permis d'effectuer la boucle en entier. Une pause à Tillard pour admirer les canards et les ragondins barbotant dans l'eau du Sillet. Le retour par Auteuil, pour rejoindre la piste cyclable à Aux Marais. Merci à Aliette, Annie, Monique et Danny de m'avoir accompagné.
Texte Guylain
Aliette, Annie, Monique, Philippe et Sylvia ... Gilles pour partie !
Ce matin sur proposition de Monique, on s'est dirigé vers la Neuville en Hez pour participer à la 15ème édition des randonnées en Beauvaisis. Arrivés à Laversines, crevaison de Gilles, pneu arrière. il répare et à la Neuville en Hez, Annie remarque une boursouflure sur le même pneu.
On s'arrête, le pneu commence à se déchirer ! La mort dans l'âme, Gilles est contraint d'abandonner et téléphoner à Nathalie de venir le chercher. Nous aussi, on était triste de devoir le quitter. Au point des inscriptions, nous avons décidé du parcours retour ; montée de l'Escargot, arrêt au carrefour du Magasin pour valider notre participation et se restaurer. Puis jolie route de retour par Thury, Hondainville, Heilles, Hermes, Villers Saint Sépulcre et la voie verte pour rentrer sur Beauvais. Monique nous a quitté un peu avant pour rentrer sur Fouquerolles. Ce fut une jolie balade sous le soleil, mais un seul être nous a manqué ...
Selfie devant le lieu mystère - "Où sommes nous ? "
Halte au Croquet - Prise de vue Jean-Luc, compagnon de route
Aliette, Annie, Monique, Danny, Guylain, Gilles, et Philippe (44 km)
Nous avons longuement hésité avant de nous retrouver tous ensemble pour cette première sortie. Le temps de ce début d'année, froid pluvieux et gris avait raison de nos ambitions et puis voilà ! Le temps paraissait long sans pouvoir se retrouver ...
Jean-Luc, vététiste seul, abandonné par ses habituels partenaires de vélo, nous suivra pour la matinée.
Nous sommes partis ce dimanche sous un crachin en direction de la Neuville Garnier, convaincus que la Cuesta du Bray, 1er effort significatif nous réchaufferait. Philippe nous a quitté à Vaux , quelques kilomètres plus tôt. Sur le plateau, la pluie cesse mais c'est un vent froid qui fait suite et nous revenons sur Beauvais après avoir parcouru un peu plus de 40 km quasiment réfrigérés.
La dernière sortie avec des températures froides m'incite à renconsidérer le cadre de la sortie club. Pourquoi ne pas partir l'après-midi ? il ferait tellement plus "doux" , la météo annonce 4°C pour ce samedi après-midi.
Nous sommes quatre à nous élancer. "On ne va pas trop s'éloigner, comme cela, on reviendra plus rapidement s'il ne fait pas chaud" propose Annie. "Sur des routes propres" suggère Philippe.
Pour ne pas se refroidir, je propose de parcourir les environs vallonnés, Saint-Sulpice, Hodenc-l'Evêque, Silly Tillard. Et pour finir, à Saint-Martin le Noeud, nous prenons la route directe pour rejoindre Beauvais par le quartier Saint-Jean. En tout et pour tout, 520 mètres de dénivelés pour 48 km parcourus.
Hodenc -l'Evêque, descente vers Tillard