Transports scolaires

Année 2012

30/04/12 _ Cité Air Algérie (Eucalyptus) : les écoliers en danger [...] Depuis plusieurs jours, le bus de transport scolaire «boude» les écoliers, obligés de parcourir plus de deux kilomètres à pied sur une voie rapide dépourvue de passerelles. El Watan

06/02/12 _ Où sont passés les bus du ministère de la Solidarité distribués aux APC ? Des élèves sont privés de transport scolaire. Les écoliers et collégiens habitant aux lieudits Brahmia et Bengana, sis dans la zone rurale, Châabet El Khorchef, dans la commune d’El Khroub, endurent le calvaire pour rejoindre leurs établissements scolaires respectifs situés dans le secteur urbain de Derradji Salah, distant d’environ 3 km. El Watan

Année 2011

20/09/11 _ Rentrée scolaire : Encore le casse-tête du transport. El Watan

18/04/11 _ Un bus chargé du transport des étudiantes a percuté le mur d’enceinte de la brigade de la Gendarmerie nationale située sur le Bd Ould Aïssa Belkacem, à proximité de l’école Ben Badis et du CEM Benzerdjeb. El Watan

Année 2010

La capitale s’étrangle sous le poids des embouteillages. Il faut parfois plus d’une heure pour arriver au bout d’un itinéraire de quelques kilomètres. Les retards pour les rendez-vous importants sont fréquents et le respect des horaires de travail et de l’école aléatoire. Liberté

Usés par les longs bouchons, les enfants craquent au milieu de la journée. Ils arrivent à peine à tenir le coup, encore moins à assimiler leurs cours. L’assouplissement des dispositifs de circulation pour fluidifier l’entrée des agglomérations pourrait soulager les élèves en mal de concentration, selon les parents. D’autres ne partagent pas cet avis. Afrique Hebdo

Lors du premier conseil de l'exécutif, tenu en fin de semaine dernière à la salle des délibérations de l'Assemblée populaire de wilaya, le wali de Batna a annoncé que la wilaya devrait adopter la solution des internats pour mettre fin au problème récurrent du transport scolaire, chaque année. Liberté Algérie

Le transport assuré par des privés qui dictent leur loi, met les enfants qui doivent rejoindre les CEM et les lycées de Sour El Ghozlane, dans l’embarras quotidiennement. Certains se lèvent à l’aube pour arriver en retard. Le même problème concerne aussi les enseignants qui viennent à l’école du village dispenser le savoir. Comme si ces manques ne suffisaient pas, la nature n’a guère ménagé la région. En été comme en hiver, le manque d’eau, l’état déplorable des pistes, l’absence de structures de santé, l’inexistence de structures de loisirs... rendent la vie difficile dans ce hameau perdu. L'Expression