Élèves, étudiants 2010

Année 2010

Les étudiants s’insurgent contre le système d’enseignement actuel. Tamurt.info

Avec la réduction de la durée des études de 4 à 3 ans et la spécialisation précoce, l’université est devenue un centre de formation professionnelle (CFPA), selon les étudiants. El Watan

Des membres de l'agence principale CNAS ont entamé depuis deux jours au niveau de la fac centrale l'immatriculation et l'affiliation des étudiants qui ne possèdent pas un numéro de sécurité sociale. Le Temps d'Algérie

Attention phénomène ! À 9 ans à peine, Madin Koroghli, surdoué du dribble et du passement de jambes, est présenté comme le futur Zidane. Afrik.foot

Des milliers d’étudiants de l’université Abderrahmane Mira de Béjaïa ont battu le pavé sur près de 10 kilomètres, hier, dans une marche de protestation qui les a conduits du campus d’Aboudaou vers celui de Targa Ouzemmour. El Watan

Plusieurs milliers d’étudiants du pôle universitaire d’Aboudaou de l’université Abderrahmane Mira de Bejaia sont descendus, lundi 13 décembre, dans les rues de la capitale des Hammadites pour manifester leur colère contre, selon eux, « la saturation des infrastructures et la carence dans l’encadrement de leur université ». Tout sur l'Algérie

Au moins 29 étudiants sahraouis ont été blessés lundi, lors d’une agression des colons marocains contre ces étudiants dans un établissement scolaire de la ville occupée de Smara, a rapporté une source du ministère des territoires occupés et des communautés sahraouies établies à l’Etranger. Diaspora saharaui

La majorité des candidats qui ont subi les épreuves du concours d’accès à l’école para-médicale de Sétif, pour une formation ATS (aide soignant), viennent de monter au créneau, sentis lésés dans leur droit après avoir passer la phase d’épreuve écrite. Sétif.info

Emploi, logement, sorties... Rien n’est simple pour les 15-29 ans de la capitale, même issus de la classe moyenne. Jeune Afrique est allé à la rencontre des jeunes algérois peu écoutés, mais qui tentent de se prendre en main. Jeune Afrique

Malgré les croyances, la sexualité n'est pas complètement taboue. De jeunes Algérois, interpellés sur la question, en parlent librement. Jeune Afrique

Partie de l’ENSV, la contestation estudiantine a fait boule de neige en gagnant plusieurs autres facultés

de la capitale. L’USTHB, la faculté centrale, l’université de Ben-Aknoun, l’université de Bouzaréah et celle de Dély-Ibrahim ont été et le sont toujours pour bon nombre, paralysées par des grèves lancées par des étudiants. Les enseignants sont sur la même voie. Liberté Algérie

Walid, 14 ans, est élève en 3e année du cycle moyen au CEM Aït Ouerdja. Elève assidu et très futé, il nous confie que les conditions, dans le ghetto de Diar El Kef, sont tout simplement insoutenables. «Je ne peux pas me concentrer à la maison. On est une famille nombreuse tassée dans un petit espace. Entre la télé, mes frères et sœurs qui piaillent et tout le boucan du quartier, si tu espères étudier tranquillement, oublie ! Pour réviser mes cours, je suis obligé de chercher refuge à la mosquée Etawba, qui est juste à côté», dit Walid, les yeux pétillants. El Watan

Insolite ! Un enfant de 11 ans, originaire de Djamoura à Biskra, a épaté toute l'Algérie. Au lendemain d'un reportage diffusé sur Canal Algérie, dans lequel le petit Thabet expose toute sa dextérité à additionner, multiplier et diviser des chiffres à 4 ou 5 nombres, voir plus même, ce prodige est devenu la star de la toile Algérienne. El Watan

C'est une sécurité sociale que nous voudrions obtenir», affirme le jeune Moha, 25 ans, vendeur de chaussettes. Quant aux clients, ils sont divisés. Pour Karim, «tous ces jeunes ont quitté l'école prématurément. Moi personnellement, je les considère comme des victimes du système éducatif algérien. Du travail, ils ne connaissent que le commerce. Aucun d'entre eux ne voudrait exercer un métier dans la plomberie ou la peinture, l'électricité ou la maçonnerie. Le Temps d'Algérie

La scène s’est passée au nouveau CEM du quartier Amara de Cheraga à Alger : Les élèves qui n’ont pas porté leurs tabliers en cette première journée de la rentrée scolaire ont été refoulés de l’école. Une procédure qui va à contre sens des instructions du ministre de l’Éducation nationale qui avait instruit récemment les directeurs des établissements de ne pas renvoyer les élèves mais plutôt de convoquer leurs parents. Afrique Hebdo

Quelque 8 176 700 élèves prendront le chemin de l’école à la prochaine rentrée scolaire 2010/2011. 3 848 000 d’entre eux au primaire, 3 097 000 au moyen et 1 231 000 au secondaire, selon les chiffres officiels. La Tribune