Écoles 2010

Année 2010

La construction de 15 écoles coraniques-pilotes à système résidentiel dédiées à l’enseignement du Coran et des sciences de la chariaâ et la réalisation de 15 autres écoles coraniques durant le prochain plan, figurent parmi les projets du gouvernement. Liberté

Le ministre de l’Education nationale, Boubekeur Benbouzid a souligné jeudi à Alger que le nombre d’écoles privées en Algérie a atteint cette année 179 établissements répartis sur 16 wilayas. City-dz

Ce lieu de culte, dont le coût des travaux est estimé à plus de 73 millions de DA, comprendra aussi plusieurs annexes notamment une bibliothèque, une salle pour les nouvelles technologies de l’information et de la communication et une école coranique. El Moudjahid

Le classement peu honorable de la wilaya (43e au bac 2010) s’explique aussi par cette difficulté d’assurer de bons résultats en dehors de la grande cité. La mentalité réfractaire à l’éducation des filles, les dures conditions de vie, et surtout de scolarité très loin de la ville ont été, durant longtemps, à l’origine de la privation d’école et de la déperdition scolaire précoce, premières causes de l’analphabétisme. El Watan

M. Benbouzid n’a pas manqué d’observer que même si le secteur de l’éducation connaît une avancée notable dans cette wilaya, il n’en demeure pas moins que les résultats obtenus ne se sont pas hissés à la hauteur des aspirations escomptées. Il s’est élevé avec force contre les renvois impromptus et injustifiés des apprenants avant l’âge de 16 ans. L’école est gratuite et obligatoire. Par conséquent, rien ne peut servir de prétexte à une telle situation. El Moudjahid

Il s’est également soucié de la nécessité de scolariser toutes les filles qui vivent dans les zones rurales. On ne peut pas les priver des bienfaits de l’instruction. Pour les familles nomades ou qui ne peuvent pas se sédentariser, le ministre s’est dit disposé à mettre à la disposition de leur progéniture des écoles itinérantes afin de régler ce problème au niveau des régions enclavées et déshéritées. El Moudjahid

Trois mois après le début de la rentrée scolaire, les conditions minimales de fonctionnement d’une majorité des écoles primaires font cruellement défaut. La Tribune

L’école Laïb, à la sortie est de la ville de Sétif, menace ruine. C’est du moins ce qu’on a appris de certains parents dont les enfants sont scolarisés au niveau dudit établissement. Liberté

L'école internationale algérienne de Paris vient de s'adapter à son environnement en lançant l'enseignement de toutes les matières en français à partir de la première année secondaire, a-t-on appris auprès de son directeur, M. Djebaili. La Tribune

Dans ce village de haute Kabylie qui compte plusieurs milliers d'habitants, il n'y a pas d'école. Les enfants, qui ne sont pas en âge de se poser ce genre de questions, doivent quand même savoir qu'ils ne sont pas logés à la même enseigne que leurs camarades du village «d'en bas» dont ils sont contraints de partager l'école en parcourant près d'un kilomètre sur un relief difficile et dangereux. Le Temps d'Algérie

C’est la triste réalité de l’administration algérienne qui promet depuis des années un fichier national du logement qu’elle n’a pas pu établir. Les autorités locales et leurs relais associatifs n’hésitent pas, en revanche, à encadrer les opérations de relogement en attendant que les néo-logis bénéficient d’un meilleur cadre de vie notamment en matière d’école et de moyens de transport. La Tribune

Malheureusement, les milliers de citoyens relogés, qui rêvaient de mener une vie décente dans leurs nouvelles cités, ont eu la mauvaise surprise, une fois sur les lieux, de constater que les structures d’accompagnement nécessaires, comme les écoles, les dispensaires, les transports, et les marchés, faisaient cruellement défaut. Le problème de logement définitivement résolu, leur parcours du combattant n’est, lui, pas encore achevé. Aujourd’hui, ils doivent faire face à des difficultés ayant trait à la scolarisation de leurs enfants, la prise en charge médicale, le manque de transports…. El annabi

On n'a peut-être pas de gymnases suffisamment grands pour abriter pour un temps des… sans-abris poussés dehors par une tempête ou un tremblement de terre, mais il doit bien y avoir d'autres espaces ou gîter les personnes en détresse mais c'est ainsi.Ailleurs, il y a les gymnases, chez nous, ce sont les salles de classe qui sont «élues» pour être le logis de fortune. Les mauvaises langues disent que c'est à cause de la durée. Et du confort. Dans une salle de sport, c'est-à-dire un gymnase, il y a beaucoup d'espace pour contenir du monde, mais la formule présente l'inconvénient d'obliger les gens à être «ensemble». Le Temps d'Algérie

Et comme s'il fallait que chaque rentrée scolaire s'accompagne d'un problème, pour ne pas dire de plusieurs, celle de année brille par un phénomène : celui de la surcharge des classes. Dans certaines écoles, les élèves sont entassés par cinquantaine, voire soixantaine. Le Temps d'Algérie

15 % des établissements scolaires en Algérie sont concernés par le problème de la surcharge des classes. C’est le ministre de l'Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid, qui l’a lui-même annoncé ce dimanche 10 octobre à Alger lors d'une conférence regroupant les directeurs de l'Education des wilayas de l'ouest et du sud du pays. « La surcharge existe mais pas dans tous les établissements", a-t-il précisé avant de rappeler que durant la décennie passée, il a été construit autant d'établissements qu'entre 1962 et 1999, soit 1.000 lycées, 2.500 CEM et 7.000 écoles primaires. Tout sur l'Algérie

La route qui relie cette agglomération au chef-lieu de wilaya est une piste difficilement praticable. Pour y arriver, il faut au moins trois heures en 4x4. Sa population est composée surtout de chameliers. Quelques huttes en roseaux, vestiges des anciennes maisons, entourent encore quelques maisons en dur, électrifiées. L’école fait le plein à chaque rentrée, mais le seul dispensaire du village est dépourvu du minimum nécessaire. Les urgences sont la hantise des habitants, obligés de transférer leurs malades à Tamanrasset. El Watan

Les élèves scolarisés au CEM Ait Idriss dans la commune de Taskeriout, à l'est de la wilaya de Béjaïa, ont entamé hier le troisième jour d’une grève illimitée qu'ils ont déclenchée la semaine dernière et ce, afin d'exiger des services concernés de la wilaya de faire accélérer les travaux de réalisation de la cantine scolaire au niveau de leur établissement. Le Temps d'Algérie

Il y a lieu de signaler que la famille des Ben Kabou et Benaïssa reste l’une des rares à vouer un attachement profond à la tariqa à l’échelle de la wilaya. Ayant à charge la gestion de la mosquée portant le nom du défunt et vénéré cheikh Ben Kabou dans le quartier de Mdina Jdida, les petits-enfants de Ben Aïssa et de Ben Kabou ont réussi à pérenniser la tradition et à sauvegarder les préceptes de la tariqa dans l’enseignement du Coran et l’apprentissage des préceptes de l’islam. Une école coranique a été aménagée sur la terrasse de la mosquée au profit des enfants et autres de la tariqa. La Tribune

Elle annoncera la venue en février prochain en Algérie d’une mission économique relevant du secteur de l’éducation, « ça nous permettra de voir les opportunités dans ce domaine et ce qu’il y a lieu de faire ensemble ». Entre autres visites qu’elle a effectuées, celle d’une école britannique qui, a-t-elle dit, « m’a impressionnée par le travail qu’elle fait ». El-annabi.com

Les diplomates français s’activent actuellement à faire construire sur les hauteurs de Delly Brahim, l’école primaire française dont la décision de la rouvrir (puisqu’elle a déjà existé) date déjà de deux ans. El-annabi.com