Équilibre du terrain

L'équilibre du terrain est essentiel ! 

«Le microbe n'est rien le terrain est tout.», selon :
Antoine Béchamp,
Antoine Béchamp : 1816 / 1908, agrégé en pharmacie, docteur ès sciences physiques et médecine, professeur de physique et toxicologie de l'École Supérieure de Pharmacie à Strasbourg, professeur de chimie médicale et de pharmacie à la faculté de médecine de Montpellier, doyen de la faculté libre de médecine et de pharmacie de Lille, professeur de chimie organique et de chimie biologique à Lille.
Le microzyma, selon son expérience
L'unité de base de toute vie organique est le microzyma :

L'évolution du microzyma dépend de la qualité du milieu dans lequel il se trouve :

Les maladies sont toujours des processus de sauvetage ou de réparation et de vie. Elles ne sont graves que lorsque le milieu est déficient : carences en vitamines, minéraux, oligoéléments, en eau... en repos ou déséquilibre bio-électronique...
« Rien n'est la proie de la mort, tout est la proie de la vie »
Un microbe, une cellule, un tissu, peut toujours redevenir microzymas. Ces microzymas pourront - selon les besoins et le milieu - bâtir d'autres germes, tissus ou cellules...
D'où le Polymorphisme bactérien, entre autres choses.
« Le Microbisme est un dogme fataliste monstrueux, qui suppose qu'à l'origine des choses, la Conscience Créatrice Universelle aurait créé les germes des microbes destinés à nous rendre malades. » 

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Claude Bernard

Claude Bernard, médecin, né le 12 juillet 1813 à Saint-Julien en Beaujolais est décédé le 10 février 1878 à Paris.
Son épouse, militante convaincu de la cause animal, le quitte, n'acceptant pas le martyre de bêtes innocentes, sous prétexte de recherches "scientifiques".
Nous n'admettons pas plus que son épouse de telles "expériences" sur les animaux.
Nous ne sommes ni des souris, ni des rats, ni des chiens, ni des chats... Nous sommes même tous différents. Pour un même symptôme, les causes sont parfois bien différentes, selon le patient.
L’homéostasie.
Cela dit, retenons les bonnes choses. Claude Bernard énonce l'idée de l'équilibre du milieu intérieur, l’homéostasie. Nous retenons de son travail, l'importance de l' équilibre général d’un organisme vivant.
« La constance du milieu intérieur est la condition d’une vie libre et indépendante », écrit-il en 1872.
Il indique que chaque fonction peut être assurée par plusieurs organes, à l’échelle de l'ensemble de l'organisme et démontre l’influence des sécrétions pancréatiques sur la digestion.

L'équilibre physiologique.

"Notre santé dépend pour un tiers de l'équilibre physiologique."
(Claude Bernard)
Cet équilibre est fragile. Il dépend :

Le bilan de santé, fait à distance permet de donner une image détaillée des différentes causes de souffrances et de maladie.
La non-maladie ne permet pas d'affirmer un bon équilibre général ou un parfait état de santé.
Certaines personnes se croient encore en bonne santé, quelques jours seulement, avant de mourir, car elles ne sentent aucune souffrance, avant que le mal se déclare brutalement.
Le bilan permet une véritable prévention. Le patient reçoit un rapport, par courriel, de six à dix pages, selon le cas, avec les indications permettant de recouvrer l'équilibre.

« Les maladies ne sont que les conséquences de nos habitudes de vie. » (Hippocrate)
Afin de recouvrer l'équilibre physiologique, selon le cas le patient devra :