Igloo †

Chat de Maison


Igloo : inévitable pour représenter la maison du froid

Né en août 2013

Notre mascotte, un superbe mâle tout doux, gardien d'un harem qu'il n'a vécu qu'en rêve. Il aimait participer aux activités de la maison comme le bricolage ou la cuisine. Son cœur s'est subitement arrêté de battre lors d'une nuit de réveillon de jour de l'an. Le nom de la chatterie lui est dédié pour qu'il reste toujours avec nous.

Caractère : gros bébé tendre, contemplatif et plutôt fier d'être admiré

Apparence : Sibérien variété Neva Masquerade

Couleur : Seal tabby point (code EMS : n 21 33)

Non reproducteur

I-CaD : 250269606xxxxxx

Non LOOF

Quelques portraits

à 2 mois
Boule de neige à 2 mois
Je joue bien avec ma copine Sheepy
Je surveille ma petite Titouille
à 10 mois
Lutte contre un monstre à 10 mois
On fait des bétises avec ma nouvelle copine Jelly-Blue
J'adore les randonnées
Grand rêveur à 1 an
Chat motard à 15 mois
A 2 ans, toujours heureux de vivre
Sa dernière exposition, même pas stressé !
En plein bricolage

Adieu mon ange

2 semaines déjà et la douleur ne s'estompe pas.

Je regarde des photos de ce chat fabuleux sans savoir si cela me fait du bien ou du mal.

Depuis son arrivée, il y a seulement deux ans je l'ai photographié si souvent que je continue à tomber sur des photos dont je ne me souvenais même plus, dans des postures toutes plus drôles les unes que les autres.

Je me sens comme une coquille vide à l'intérieur avec cette impression d'avoir été amputé brutalement de ce qui faisait une de mes principales joies de vivre.

Le Sibérien a la réputation d'être un chat-chien toujours curieux de tout ce que l'on fait en toute circonstance mais lorsqu'il disparaît son absence devient d'autant plus cruelle.

Du premier contact le matin au réveil quand il réclamait sa première caresse jusqu'au dernier le soir au coucher c'était une succession d'instants magiques ; même lorsqu'il dormait je ne pouvais m'empêcher de le regarder et l'admirer.

Cet animal était un enchantement permanent, un caractère d'une douceur incroyable, une sorte de zénitude contagieuse émanait de lui et me comblait l'esprit.

Il prenait un malin plaisir à condescendre à se laisser caresser quelques secondes et à filer ensuite pour ne pas donner l'air d'y prendre goût.

Il avait ses habitudes dans chaque pièce de la maison; une place préférée dans chacune où l'on avait le plus de chance de le trouver allongé mollement, mais celle qui restera gravée dans ma mémoire le plus profondément c'est allongé de tout son long sur le bar du salon, place stratégique d'où il pouvait scruter le jardin et les éventuels congénères indésirables ; mais surtout située à portée de mes doigts à côté de l'ordinateur qu'il surveillait du coin de l’œil... attendant que mes doigts parcourent son échine alanguie de bas en haut, lui provoquant de légers tressaillements à chaque passage.

Le premier contact du soir me manquera éternellement ; rentrant par le garage à moto, passant par le cellier et arrivant dans la cuisine, je ne manquais jamais de le trouver assis au bord de l'évier derrière la porte et attendant en tendant le haut du crâne que je lui dépose respectueusement un baiser, allant même jusqu'à pousser la tête de plus en plus haut pour en profiter pleinement.

Jean-Philippe, le 15/01/2016