Réseaux naturels
La Terre est parcourue par un ensemble de flux énergétiques, organisés en plusieurs grilles superposées et connectées. La Terre est recouverte de leur maillage. La structure des grilles forme des figures géométriques simples.
Dès les années 1930, plusieurs géobiologues ont contribué de façon indépendante à découvrir ces réseaux, qui souvent portent leur nom. Les nœuds de ces réseaux présentent des énergies telluriques et cosmiques particulières que nous retrouvons sur les sites sacrés ou religieux des civilisations anciennes.
Ces réseaux telluriques forment à la surface de la terre un système réticulaire de rectangles qui s'entrecroisent. Le réseau Hartmann mesure approximativement 2 mètres de largeur dans le sens Nord-Sud et 2,50 mètres dans le sens Est-Ouest. Ses murs ont environ 21 centimètres de largeur.
Tous les 10 mètres, il y a une zone double avec un mur de 40 centimètres de largeur, aussi bien dans le sens Nord-Sud que dans le sens Est-
Ouest.
Comme nous l'avons déjà précisé ses dimensions peuvent se modifier lorsqu'une perturbation importante se prépare. Si un tremblement de terre est imminent, le réseau s'élargit. C'est en percevant cette modification que les animaux s'enfuient à l'approche d'un séisme.
Influencé également par l'environnement, le réseau Hartmann se déforme, se resserre ou s'élargit comme un filet de pêcheur. Plus un lieu est perturbé, plus le réseau est déformé.
Certains animaux utilisent ce réseau, la nuit, pour s'orienter. Pour capturer un essaim d'abeilles sauvages, il suffit de placer le piège sur un croisement de deux murs de ce réseau. Certaines personnes peuvent voir le réseau Hartmann en couleur : bleu foncé pour les murs froids Nord-Sud, qui provoquent des crampes et rouge orangé pour les murs Est-Ouest, qui eux provoquent des inflammations.
Les murs Hartmann n'ont donc pas la même qualité.
Le réseau Curry qui est orienté à 45° par rapport au réseau Hartmann est plus large que ce dernier avec des murs d'environ 40 centimètres d'épaisseur et des mailles de 3 à 4 mètres de côté.
Lors de la détection de ces deux réseaux, nous constatons qu'ils peuvent se croiser. Un mur Hartmann ou Curry, venant se superposer à un croisement Curry ou Hartmann, génère un croisement actif. Lorsque un croisement Hartmann ou Curry se superpose à un croisement Curry ou Hartmann, ils forment un point étoile.
Les croisements des réseaux peuvent être positifs, neutres ou négatifs, selon la polarité et le niveau vibratoire des lignes qui se croisent. La superposition d'un croisement ou d'un point étoile négatif avec une veine d'eau souterraine ou une faille, constitue une zone géopathogène, souvent redoutable, qu'il convient de neutraliser.
Toutes ces nuisances justifient l'intervention d'un spécialiste.
A elles seules, elles entraînent de nombreux problèmes de santé, de l'insomnie au cancer... Ainsi, certains lieux sont qualifiés de Maudit, certaines maisons, de maison à cancer.
Le réseau Solaire
La vie se nourrit de Lumière, mélange d'ondes électro-magnéto-cosmo-telluriques. Ces ondes se retrouvent à l’intérieur du réseau solaire, résultante de ces interférences cosmo-telluriques.
Rares sont les "géobiologues" qui connaissent ce réseau Solaire.
Il se détecte pourtant facilement avec des baguettes parallèles.
Son orientation est cardinal, avec un croisement tous les 10 mètres environ. Il est possible de l'activer.
Au repos, la largeur des lignes est de 40 à 50 centimètres. Elles vibrent à 20 000 UB et le TV des croisements fait exactement le double.
Après activation, le TV est multiplié par un coefficient de 3 à 5, dans un rayon d'environ sept kilomètres.
L'activation du réseau Solaire, comme l'activation des vortex, est enseigné au cours d'une cession de formation.
Réseaux artificiels ou modifiés
Réseaux modifiés
Dans son Dictionnaire énergétique et symbolique de l'art roman, Jacques Bonvin explique, que les bâtisseurs des civilisations antiques, égyptiens, romains, chinois... connaissaient l'existence des réseaux naturels.
La Lumière est source de Vie. Les constructions sacrées la suivent, la transforment, l'amplifie....Toutes les constructions anciennes canalisent et dynamisent l'énergie qui se trouve sur les réseaux solaires. C'est particulièrement le quadrillage Peyré, qui a été utilisés dans les temples anciens et les églises romanes.
Stéphane Cardinaux, dans Géométries Sacrées, tome 1, déclare que tous les réseaux, métaux ou métalloïdes, sont susceptibles d'être utilisés, (réseau Hartmann ou nickel, Curry ou fer, Peyré ou or, Palm ou Cuivre, Wissmann ou Aluminium...)
Remaque : Stéphane Cardinaux et Georges Prat, n'ont absolument pas la même conception du réseau "Or". Lisons avec discernement ! l'important est ce que nous expérimentons nous-mêmes.
Réseau de l'Or, selon Georges Prat.
Réseaux sacrés
Un réseau sacré est le réseau Peyré qui a été sacralisé. Il a reçu une certaine information, au moment de sa sacralisation. Selon la qualité de ce transfert, la largeur des réseaux sacrés varie.
Une église, un temple, un fanum... représente le ciel sur la terre. Ils subissent en permanence l'influence de deux types d'informations. Une information froide de maturation et de transformation interne, données par l'influence de la lune, ainsi qu'une information chaude de concrétisation conférée par le soleil.
Ley-lines
Il existe également des réseaux artificiels, que Stéphane Cardinaux appelle tubes magiques et Georges, Prat flux sacrés. Ils permettaient de communiquer entre les lieux de culte, qu'ils soient celtes, romains ou chrétiens... Selon Stéphane Cardinaux, si deux personnes sont à chaque extrémité d'un tube, elles peuvent communiquer par télépathie. (nous ne l'avons pas vérifié)
Les triples enceintes
sont également étudiées, au cours de nos stages.