La Roche aux Fées
La Roche aux Fées
à 3 km du bourg de Essé
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Je suis allé avec des amis, ce lundi de Pâques, 21 avril 2014, visiter le site néolithique de La Roche aux Fées.
Après la présentation vidéo d'une dizaines de minutes, proposée à l'accueil par deux dames charmantes, nous nous trouvons devant un dolmen à couloir, de type angevinn, composé d’une succession de portiques. La chambre principale,divisée en quatre parties, est précédée d'une antichambre.
L'ensemble, composé d'une quarantaine de pierres trouvées dans la forêt du Theil, est remarquable.
Les pierres les plus lourdes atteignent 45 tonnes. Elles ont été déplacées, il y a environ 5000 ans, à l'époque néolithique.
Neuf pierres horizontales composent les tables.
Trente-deux pierres levées, dont une est inclinée.
La table du portique trilithe d’entrée est un linteau de 5,5 mètres.
Elle repose sur deux piliers d’un mètre.
Juste devant se trouve l'emplacement d'une pierre de seuil. (invisible).
La structure forme un parallélépipède de 19,50 m sur 4,70 m.
La hauteur la plus haute est de 4,10 m. L’antichambre de 3,5 mètres de long, oblige le visiteur à se baisser au passage de la porte, constituée de deux dalles transversales, pour l'accès à la chambre principale.
Le tumulus à l'extérieure à disparu.
Le monument actuel est en partie ruiné. Les pierres de la table ont souffert. Pour l'instant, il n'est plus possible de monter dessus.
Il est possible de bénéficier de l'énergie cosmique en stationnant sur le croisement Solaire...
Situé devant le portique, à la hauteur de l'arbre situé sur la droite. (environ 4 mètres carrés à midi ce lundi de Pâques)
- Du fait de l'orientation le soleil se lève face au portique au solstice d'hiver
- Au centre de la "Sella", il y a une CCT, sur un point étoile (double nickel + fer)
Nous avons également constaté la présence d'un "maléfice" mémorisé dans la pierre ci-dessous.
Le nettoyage à été effectué...
À la suite de quoi des géants éthériques du monde des Fées, se sont installés dans chacune des pierres levées, pour les reconnecter à la Terre, afin d'assurer le bon fonctionnement du site, qui est le poste de pilotage néolithique, d'un "vaisseau".
Union de la pierre et de l'arbre