Actions de l’intervenant.e: 

***Éviter de faire sentir à la victime qu’elle a fait quoi que ce soit qui justifie ce qui lui est arrivé. 

***Impliquer l’élève victime dans les décisions permet de lui redonner du pouvoir.

- Faire sentir à l’élève que vous êtes là pour le soutenir, pour s’assurer de sa sécurité et l’aider à s’en sortir. 

- Croire l’élève, renforcer la démarche de dénonciation et reconnaître son courage d’en avoir parlé. 

-Être calme et recevoir sans amplifier ou minimiser (éviter de victimiser si l’élève ne se sent pas victime).

-Manifester de l’empathie par rapport à la détresse ressentie et écouter sans juger. 

-Poser des questions ouvertes afin de recueillir le plus d’informations possible.

-Valider ses émotions et ses sentiments tout en respectant son rythme, son vécu, ses mots. 

• L’aider à cerner ses besoins et attentes pour la suite, favoriser son autonomie et son sentiment de contrôle par rapport à la situation (ex. : porter plainte à la police, soutien psychologique, accompagnement auprès des parents, etc.).

• Poser la question à l’élève: “Est-ce qu'il y a autre chose dont tu aimerais me parler? “

• Évaluer le risque d’un autre événement. 

• Tenter de connaître le soutien dont l’élève dispose à la maison et dans son groupe de pairs.

•  Faire au besoin une évaluation du risque suicidaire.

• Orienter vers les ressources et partenaires.   

• L’informer des étapes à venir et du suivi qui sera donné à la situation.  

• Assurer la discrétion dans le traitement de la situation.

• Offrir du soutien, assurer une présence, être disponible. 

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