L'hôte s'en chargera
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ceci. érigé en talisman. regret obsédant. image piteuse imitation du cri ou de dieu sait quoi. ceci laissé à son opacité. voir c’est quitter le lieu. ceci un peu au-dessous du nivellement qui
ressemble à l’entame aplanie. ce croûton en guise de modèle ceci
c’est du même coup s’écarter, authentique accomplissement. en quelque sorte une tension insituable à maintes reprises
non énonçable c’est à l’œuvre dans le déchirement de la forme intégrable aux plis primitifs un risque plus encore là où le réel manque passé le froissement herniaire de l’éclaboussure
chromatique
dépiautée encore en peu de traits la remémoration engrossée le temps de décroiser les fils du dessin (et consentir à l’écartèlement du motif) du déjà vu
ça sent le réchauffé d’abord l’inventaire la loque observable attise la discorde à ciel ouvert
(épaufrure) l’inscrire quand un raidissement de l’élément graphique rature. reproduire trait pour trait à l’endroit et à l’envers un faux-semblant. cul-de-basse-fosse aussi bien espace filière
ce qui reste de la duplication en épuisant les relances d’annulation poussées la tête en bas toujours une traînée perverse autrefois bridée en son tréfonds sinueuse du côté de
l’engouffrement des couleurs évocatrices qui sortent de la main avec le revif de la désinvolture. (entourée) de plus plein ne plus délier. déployer son crin. puéril. ne plus écraser. dans la
perte. bord à bord.
transfert sur papier en suspens mot de la fin tenu par un fil allant de soi ne se dessine pas ne plus délacer ne plus s’éloigner. s’éparpiller seule aiguë et luisante effile le fond un brin de
maléfice jusqu’à l’incartade que prolonge une irruption ocre ruisselle fructifie s’adosse à l’accessoire la question demeure de savoir comment
s’y adonne rudement avec la candeur du néophyte
volte-face avant boucle sectionnée rendue à sa suture mimétique l’appui sur couche visqueuse couleur hors de tout sans les butoirs autour boiteux les cohues de la gouache par
sursauts coin-trappe se volatilise spire poisseuse revient la ruée maculée foyer des ébranlements les crayonnages incubent et s’abouchent passés derrière au profit d’une giclée
débordement du dessous courte incision sa sécrétion et la démolition interminable d’un excédent
délibérément (souvent dans les dessins) surtout le brouillage en tout cas un quadrillage et son frottis (l’effet de dilution) ou bien la fixité des détails (se dégradent un peu malaxés en frayant
leur voie) puisque la permanence d’une trace étaye l’illusion (lier le malléable au lacunaire) ductilité (par le prismatique où l’inscription est nue facette réfractaire se défeuille jubilation
ouvertement jetée en pâture avec les pastels flanqués de paysages pas davantage rabats détachables miroitent en sortent imbibés du tableau en cours) aussi sommaires à quoi bon
mettre en plus une pincée de dextérité peignant sans fin (figure à ce titre une veulerie) on acquiert des usages tout juste l’accord et la chance une posture explicite quelques propos
singuliers en fait du mémorable au premier abord