Carlène 1

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raison de ne pas agir rien d’autre à peindre aurait pu être la mention sur le cartouche mais il y a persistance et sans doute compulsion goutte-à-goutte dans la frange raie irisée plusieurs choses déliaison extraordinairement déclic tableau léché plus près de la course de fond sorte d’eudémonisme indomptable d’ailleurs assez rebattu outre la main-d’œuvre rugueuse dans un coin noir et blanc ça culmine damier contus lorsque le peintre dame le pion au conteur candide tout à sa musicalisation une ariette qu’importe au bilieux au séide une peinture était belle se gâte dans le regard en état de légitime défense vaut pour tentative pauvrement ou bien est-ce extase etc. va durer il ne reste plus qu’à attendre aérien tant d’espace vaudevillesque fameuse peinture mais il n’y a pas plus à côté voire kaléidoscopique souvent fléchée renonce à montrer le raccourci ce qui ne se remarque pas les biais dus aux coulures indémêlables donc façon de circuler à la lisière des pliages dans les crevasses attention portée au rythme rebrousse-poil espacements lissés pourtant amas puis éployé rapproché du crible prédateur d’abord idées empilées forcément pour fleurir la pierre retroussée peinte à l’aveugle bord de percept sans doute ceci en cela figure qui est au centre chien écrasé au dépli doublure au-delà clarifie pour occuper le giron poche qui se maille déjà épaisseur se situe mal en ce point un pas de plus en vue d’arracher des effets d’inachèvement peinture brutalement franche de part et d’autre d’un fond bouleversé en voisinage en débordement en déballage en déroute frontale sans trouée creuset frotté en même temps leçon d’entêtement de destruction à l’endroit à l’envers jusqu’à frôler ce que la couleur attise dans l’imitation de ses débris une pièce mise au carreau donc un jeu parce que cesse de bruire la charpie dans son carré plein à craquer une pièce tissée ou par défaut quelques notes approximatives en guise d’ébauches convulsives à partir de l’étourderie

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