Carlène 3


Pectinées sont peintes se peignant

Sans titre, acrylique et pastel sur plaque de polypropylène, 60 cm x 40 cm, 2012

pectinées sont peintes se peignant. elles s’extirpent d’une macule. axe mû par automatisme. s’accordent scoriacées. la scène siglée ou retraitée et serrée une part en transe. vers un dedans à l’eau de rose bloque le rebord semé de rectangles opalins. fleurettes tournent et fouettent expertes. opérande tégume ça comme teiller ainsi de suite opérations tinctoriales si peu que ce soit un petit tas par-delà le tableau clos. les dernières choses à voir résistent ici coupent la vue mieux vaudrait dire pencher la tête. fil et tirasse à travers les images rousses en isolant face à face. sectionnées les dernières choses par sursauts soudain autour d’elles sur le tableau imprégné derrière une suture scinde lace ça scintille par trempe au jaspé. on dirait des scilles. en coulées se trémoussent sur le tableau imprégné bientôt n’aboutissent qu’à une suite sans fin. implicites. somptueuses remémorantes sonnant plus creux se dépêchant de bitumer par tous leurs pores. objets perdus. sur le terre-plein d’une peinture anachronique. mais stagnent broyés parés coloriés à ras par surprise du côté transparent. à peine moins ondulés à tort et à travers où se tord le trait à sale goût de bouchon. duplicité reste encore index à contrecœur et finalement cesse. il n’y a pas maîtrise. ni aucune folie. ni gaieté martelante. des poussées boiteuses. pas de mirage réglé pas d’étranglement. rend possible un cours morcelaire morcelable courant d’encre nuance sauf enfin exclut de bout en bout. questionne. supposer qu’on puisse. la forme au passé insensible aux vicissitudes toutefois tablette vierge c’est poinçon calciné dans l’argile de la convenance. inachevé aiguisé se mutine en piaulant. au plus haut degré de l’imperfection allégeance à d’autres combinaisons jusqu’à ce que le dessin vole en éclats. seul indice. dépose sans perte crayonnée à tout vent. ne cherche rien qui concorde. à formes comptées. quand il faut se contenter de l’introuvable. panacher très vite où le graffiti s’éteint au terme d’un foisonnement se recouvre moins loin rainure crasseuse l’équivalent d’enjolivement. se découvre par négligence. ajouter une arabesque omise.