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sans doute horizontale si le dessin en a envie. coupure creuse parce que le lieu le lien trop nets un emballage dans un cas dans l’autre vibrant contre le mur et flottant pour une raison ou

pour une autre abuse du trompe-l’œil avale des couleuvres. peinture qui n’est rien en elle-même. point mort d’une consternation. peinture qui ne s’entrouvre pas à la limite de l’anhélation.

couleurs transies. s’imposent avec la faiblesse de l’évidence. tableau lieu lien à coup d’images anesthésiantes. unique tableau du temps perdu et de l’infortune dû au relâchement rejoué, à

l’incurie de quelque solitaire. (recherche du segment graphique qui ne peut être amené de nouveau à la couleur) tableau cerné de toutes parts le peindre de tous les côtés à la fois

comme si de rien n’était ne décide rien (point litigieux) il faudrait pouvoir tracer la forme d’un centre il faut très vite dessertir obstruer la vue cadrer dans l’attente comme si une parcelle un

centre tracé pointait piégeait la vue rien qu’un point cadré déborde passe à l’oblique carré cela revient à tracer un noyau il faut un foyer faux des faux milieux au beau milieu du tableau et de

tous les côtés à la fois sans rien ajouter aux côtés qui se rejoignent il y a rappel du point de fuite couleur à transvaser labilité du composé chromatique (se prendre dans les rets de la

forme fond) fond forme si on le laissait se perdre forme flaque en piteux état forme fond incongrue sens dessus dessous courbée par la parodie couvrir mur sol plafond de marques non

peintes ériger des anfractuosités crépir autour forme fondrière désormais l’amas résorption remettre à plat remise : locher des couleurs. sous forme de draperie. chute. opère sans effacer

un travail d’approche brûle les étapes pour accueillir le roulis : suage ou couleur avant la belle saison de l’ourlet humide studieusement hachuré lignes fuyantes d’un renoncement plus

mordant d’autres arrivées de motifs et de fioritures. abcès plus tard. il n’y a que du factice ici au repli. en venir à regretter l’absence d’un blanc douteux le rien de rien le coupe-gorge ; une

peinture, dès lors qu’on y découvre, sous le déguisement de l’automatisme, l’exaspération favorable, au tour de force. (d’autant plus porté à épingler le griffonnage que le peintre semble se

nourrir de chimères). propension à persister dans l’instable. rouages (beaucoup) calquent le tableau embu (altercations) on aura beau faire toutes les peintures état naissant une note

d’encre ce qui ne se peint pas s’amplifie s’éparpille des trahisons ou un classicisme en dessin quant à ce qui vaut et ce qui sera insistance sous l’apparaître de la figure inhumaine c’est

ainsi un bout- du- monde après tout, peu importe ! collé sur le papier écrasé s’enterre lorsque le peintre a épuisé ses déconvenues ses captures d’éphémère. non pas peindre des lieux de

perdition mais les dissimuler sous le gâchis des couleurs. gaspillage et confus désir de faire œuvre avec cette levée de fange. rengaine à présent, le dessin recommençant le trait la mise

au clair du trait pas plus ici qu’ailleurs la tâche à exécuter en assumant le risque du faillir par impétuosité alors d’une traite faire du racolage dans le cadre étroit de la vieillerie picturale en

réalité un attachement et une restitution de ce que le peintre a grappillé.

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