Carlène 5

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Hochet pour déplaire sous un jour plus comique. Et feu de tout bois à l’instant charnière de la surenchère. Plusieurs gribouillages en cours ; griffades consolent l’esprit jusqu’à quelle hébétude en cédant à la complexité avec la molle intention de peindre d’instinct évidemment. Prégnance de la récursivité, mixture transplantée, le dessin pas moins râpeux et l’aptitude manuelle ; le pourquoi d’une peinture mortifiée, sa persistance. Cohue pour captiver peu importe les accoutumances. Faire affleurer : pinceau chargé, encadrant, plan très mat, qualité visuelle nulle, empois, d’après un motif incomplet, onduleux, à moitié replié, puis décortiqué, suspendu le long d’une chose plate, encastré, en cadrant presque, à la verticale, placé dans l’épaisseur, sous l’apprêt, par colmatage, quel que soit le rajout, de part et d’autre du crayonnage, fond rejeté après tout, partout attirail de circonstance, prouesse, pas tout à fait acrobatie allurée, celle qui dure, raté graphique progressant par saccades au gré d’invisibles laissez-passer contrefaits, croisé au creux et dépassant à demi enfoui tellement inerte, parmi les éclaboussures agglutinées décolorées, cerclé de noir, une mince frange, le crayon passe et repasse, façon de ne dessiner plus rien, sans but précis, tracé par mégarde, pas seulement l’endroit plâtré avec soin modèle maintenant à l’air libre, mais rivé à la feuille de papier froissé, ou en boule, mince couche couleur peau, couche cornée, un trait plus gras, forme grisâtre effacée aussitôt, alignement provisoire non loin de là, descellement. Un précipité, cette peinture en devenir naît de son progressif effacement face au vide au-delà duquel interpénétration et écartement œuvrent à terme. Se charge de contrastes au passage et se referme peu à peu. Une tonalité demeure, coloration. Se dissipe. A peine perçue. S’épaissit luisante dans une pagaille en bout de course. Mal assurée ayant quitté le tableau.

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