Les conférenciers et conférencières

André Lavoie est journaliste indépendant, critique de cinéma, et collaborateur au journal Le Devoir depuis 1998. Détenteur d’une maîtrise en études cinématographiques de l’Université de Montréal, il collabore aussi à différents magazines (Sélection du Reader’s Digest, Québec Science, L’actualité, etc.). 

Depuis 2021, avec d’autres collègues journalistes, il est membre cofondateur du Centre québécois d’éducation aux médias et à l’information (CQEMI), destiné à sensibiliser les jeunes et le grand public aux dangers des fausses nouvelles et à l’importance du travail journalistique dans une société démocratique. Il est aussi formateur, conférencier, et animateur de débats.  

Anne se passionne pour la littérature et la course à pied. Jeune maman et coureuse de longue distance, l’effort physique est pour elle une façon de réfléchir et d’avoir confiance dans ses projets. Elle a fait paraître « La sueur est un désir d'évaporation » (Libre Expression), « Fécondes » (Leméac) et le recueil de nouvelles « Les papillons boivent les larmes de la solitude » (L'instant même). 

Je danse depuis l’âge de 4 ans. La danse a été mon unique moyen de communication pendant plusieurs années. J’ai poursuivi au baccalauréat en danse contemporaine à l’UQAM, que j’ai obtenu en 2002. J’ai poursuivi ma formation en danse africaine au Burkina Faso de 2006 à 2009. Par la suite, j’ai créé et collaboré sur une panoplie de projets de méditation culturelle. J’ai été coach artistique au Cirque du Soleil pendant 10 ans. J’enseigne depuis plus de 25 ans à tous les publics. 

Mon super pouvoir : Je suis une rebelle inspirée qui connecte à l’énergie du moment.

Titulaire d’une maitrise en création littéraire de l’Université du Québec à Montréal et d’une maitrise en didactique du français de l’Université de Sherbrooke, Marie-Andrée Arsenault enseigne et écrit. Les carnets qu’elle traine en tout temps sont le portrait de ce qu’elle est : un tourbillon d’envies, de rêves et d’idées à partir desquelles elle aime enjoliver la réalité. Auteure, enseignante, chroniqueuse et médiatrice culturelle, elle a publié dix titres pour la jeunesse. Elle a d’ailleurs été finaliste au prix Tamarac Express pour Les souvenirs du sable (Bayard Canada) en 2016, au prix littéraire des enseignants de français – volet poésie pour Un chemin dans la mer (La Bagnole) en 2022 et au prix Mélèze pour La guerre des pupitres (Québec Amérique) en 2023. De plus, Des couleurs sur la Grave (La Morue verte) a été lauréat du prix canadien Harry Black de l’album jeunesse en 2020 et traduit en anglais en 2022 par Groundwood Books. Pour le public adolescent, son plus récent récit poétique, Le piège de soie (Héritage jeunesse) se trouve actuellement sur la liste préliminaire du Prix jeunesse des libraires du Québec. Dans le milieu scolaire, Marie-Andrée Arsenault est connue pour sa chronique «La classe de Madame A», disponible depuis 2018 dans la revue Lurelu, dans laquelle elle raconte ses aventures d’enseignante de français au secondaire. Elle a aussi fait paraitre, en 2022, l’album La classe de Madame A : récits et bricoles du quotidien qui relate son plongeon d’un an dans le petit monde du primaire. Un baume pour l’âme rappelant la valeur de cette profession de cœur.