E. Marshall Johnson

Professeur et président du département d’anatomie et de développement biologique, il est également directeur de l’institut Daniel Baugh, à l’université Thomas Jefferson, Philadelphie, Pennsylvanie, aux Etats- Unis.

Président fondateur de l’institut de recherches en tératologie, il est Auteur de plus de 200 publications. Au cours de la 7 ème conférence de médecine qui s’est tenue en Arabie Saoudite organisée en 1982, il a commencé à s’intéresser aux miracles scientifiques tels qu’ils sont révélés dans le Coran, à l’invitation du comité de spécialistes chargés d’interpréter le Coran et les hadiths.

Au début, très septique il a refusé catégoriquement de reconnaitre que certains versets Coraniques ainsi que des hadiths du prophète Mohammed puisse concorder avec les découvertes scientifiques actuelles. Seulement, après une discussion avec le Cheikh Zindani qui lui en a apporté les preuves, il a dû confirmer la véracité de ces propos.

A partit de ce moment , il a commencé à concentrer ses recherches sur les phases de développement intra – utérin de l’embryon telles qu’elles sont décrites dans le coran et en est arrivé aux conclusions suivantes : développement intérieur et extérieur du fœtus.

‘…en résumé, le Coran décrit non seulement le développement de la forme externe mais aussi les étapes internes du développement de l’embryon, sa création et son développement, et en précisant en même temps les évènements reconnus par la science contemporaine.

En tant que scientifique, je n’accrédite que ce que je vois. Or, je dois bien avouer que les stades du développement du fœtus coïncident très exactement avec la description qui en est fait dans le Coran. Si je devais, en outre, me transposer dans l’ère mohammadienne, en possession de mes connaissances actuelles, il me serait totalement impossible de décrire les faits scientifiques de façon aussi exacte que ne le fait le Coran.

Je ne peux donc aller à l’encontre de la thèse selon laquelle cet homme, nommé Mohammed a puisé ses informations d’une source…alors je ne vois de contraire qu’une intervention divine est à l’origine de ses écrits.’