TP 6
Rappels sous forme de vidéos :
Cette expérience se nomme transgenèse, elle consiste à prélever un gène (un fragment d’ADN) d’un individu et à l’intégrer à l’ADN d’un individu d’une autre espèce.
L’individu génétiquement modifié (receveur) portera le caractère présent chez l’individu donneur.
Ceci prouve que le gène porte l'information génétique.
L’organisme receveur (l’OGM), acquiert le caractère contrôlé par le gène de l’organisme donneur, cela même si l’organisme donneur n’est pas de la même espèce que lui. Cela montre que le programme génétique est universel.
TP 7 : la structure de l'ADN - Escape game
La molécule d’ADN est constituée de 2 chaînes de squelette carboné enroulées l’une dans l’autre formant une double hélice.
Elle est constituée d’atomes de C, O, H, de P et d’N.
L’ADN contient les éléments chimiques des molécules organiques, ces éléments sont organisés autour d’un squelette constitué de carbone : l’ADN est une molécule organique.
La molécule d’ADN est constituée de 2 chaînes de nucléotides* enroulées en double hélice. Chaque nucléotide est constitué d’un squelette sucre-phosphate et d’une base azotée. (voir schéma).
Il existe 4 bases azotées différentes : adénine, thymine, guanine et cytosine qui s’associent de la façon suivante :
· adénine en face de thymine
· guanine en face de cytosine
Un gène* est un fragment d’ADN qui porte une information génétique. La transgénèse* montre que cette information génétique est écrite dans un langage universel puisque le receveur du gène exprime l’information génétique de ce gène.
TP 8 le codage de l'information génétique
Bilan : Au sein d’un gène, c’est la succession ordonnée des nucléotides de la chaîne d’ADN ou séquence* qui constitue l’information génétique codée. Le squelette sucre-phosphate est, lui, constant. Grâce à la taille importante des gènes, de très nombreuses séquences sont possibles, expliquant comment la molécule d’ADN peut déterminer l’infinité des caractères héréditaires observés dans le monde vivant.
Un même gène peut exister sous différentes versions : ce sont les allèles*. Les différents allèles présentent des séquences nucléotidiques très proches. Les quelques différences constatées entres allèles ont pour origine des processus aléatoires qui modifient la séquence de l’ADN : les mutations*.
La variabilité génétique (diversité des allèles) repose donc sur la variabilité de la molécule d’ADN (diversité des séquences).