Description

Les surchitines, armure vivante de Myr, se présentent de premier abord tel d'imposant humanoïde haut de 3 mètres suivant une structure classique se démarquant en deux aspects principaux.

Le premier et le plus flagrant étant leur nature même. Du fait d'être des produits de l'alchimie organique elles ne sont ni de fer, acier ou autre alliage de forge, mais sont plus proches des Obsidiant et Prothèse d'obsidiant par leur épaisse plaques protectrices chitineuses au teint violacé ponctuées par la chaire s'y révélant discrètement par endroits. Le tout enveloppant masses musculaires et organes nécessaires à leur fonctionnement.

La seconde génération qui fit apparition durant le siècle suivant changea cette allure, le choix ayant été fait de rendre l'armure plus capable en augmentant ses capacités musculaire la rendant alors plus large et épaisse. Ce qui, malgré une hauteur identique à la première génération, changea la silhouette des surchitines pour quelque chose de bien plus imposant. Pour gagner l'espace nécessaire à ceci la présence de l'opérateur est réduite au buste, ce dernier s'y tenant dans une position semblable à une position foetale, avec la tête toujours présent dans celle de la surchitine, cette dernière ayant légèrement pris en volume pour plus facilement l'accommoder et gagner en protection.
En plus d'avantage de muscles, la seconde génération est aussi doté de protection plus développé, plusieurs zones facilement exposables étant dorénavant couvertes par des plaques mouvantes et articulées. Des épaulettes montantes couvrant latéralement le point d'articulation des bras à l'épaule, accompagné de plaque en arcade sur le haut du torse complémentant la protection de ces points. Et enfin un bloc abdominal plus développé pour distancer la zone de premier contact des portions exposables tout en permettant l'ancrage de plus imposant muscle pectoraux.
Il fut aussi fait le choix, là où ce n'était le cas que pour les surchitines faite à partir de membre fourmi, que les surchitines de la seconde génération soient toutes munis de l'additionnel abdomène arrière afin d'uniformiser la forme et transférer des portions d'organe vers celle-ci..

Mais quelque soit la génération, les Sentinelles que les surchitines forment avec leur opérateur ont en commun qu'elles représentent des entités dotées de grandes capacités physiques. Capable de réaliser des exploits athlétiques hors normes bien au delà de tout ce qui serait possible grâce à l'important volume de muscle les constituant. Le tout complimenté par une réactivité accru, due à l'armure appréhendant les actions commandées et initiés par son lien.

Alimentation

Afin de se mouvoir et agir, les surchitines puissent leur énergie comme tout produit de l'alchimie organique d'un proto intestin. Dans l'originale première génération comme chez la seconde celui-ci se retrouve sur la portion arrière ventrale, continuant en descendant en partie vers son abdomen. 

Généralement préremplie durant leur période de repos, leur stock de ressource sont aussi assurer par deux réservoirs métalliques remplies d'Elixir du jabot servant de stock additionnel si besoin. Ces réservoirs se trouvent sur la surface du dos au niveau de l'abdomen, où ils sont respectivement maintenu fermement en place par une pair de pinces sortant de leur emplacement, l'une d'entre elles recouvrant la voie d'accès au système digestif. Lorsqu'ils sont correctement retenu et leur point d'accès correctement en place, deux protrusion de la portion basse du proto-intestin sortent du dos et viennent s'insérer dans les réservoirs afin de pouvoir en extirper leur contenu.
Si besoin et qu'une source d'Elixir du jabot n'est pas à porté, un réservoir vide peut être remplis d'aliments, préférablement riches, pour fournir de l'énergie. Le système digestive régurgitera alors une partie de ses sucs pour dissoudre en patte ou liquide le contenu non standard.

Tête

La tête d'une surchitine est tel un crâne allongé sans mâchoire.  Due à leur fonction d'armure et par le fait qu'un utilisateur y rentre par le haut du buste, la tête d'une surchitine a besoin de s'ouvrir depuis l'arrière de son col pour laisser l'espace nécessaire à un passage, le buste s'ouvrant aussi partiellement pour rendre le procédé plus facile. Celle-ci ne dispose en conséquence que d'un très faible degrés de liberté concernant sa capacité à pivoter dans toutes les directions, restant bien ancrée dans sa position fermée. 

En réponse à cette restriction le second choix hors normes fut fait, la têtes des surchitines est alors dotée de quatre yeux enfoncés dans des cavités. La première pair se trouvant au même niveau et emplacement que chez la majorité des espèces humanoïdes. Et les es yeux de la second pair se trouvant un peu plus à l'écart sur les côtés.

Ces yeux permettent ainsi à son utilisateur la perception de son environnant. Après une période d'adaptation à la vision différente, ainsi que le changement de vision en entrant et sortant de l'armure, un lien est pleinement en mesure de faire usage de ces yeux supplémentaires. ce qui permet aussi d'augmenter son champ de vision grâce à la second paire. Ces yeux incorporant d'ailleurs des éléments retrouvable dans le monde animal avec des membranes nictitantes qui leur offre une protection relative de possibles coups et fragments qui pourraient se trouver être dirigés vers eux. Cela dit leur protection principale reste leur aspect enfoncée dans la coque même de la tête et de l'arcane les surplombant légères
Outre ces points, la dernière chose notable concernant les yeux des surchitines est leur couleur même, celle-ci étant à l'extrême majorité un reflet identique à celles de leur lien.

Dernier aspect touchant à la tête et trouvable à partir de la seconde génération est le choix d'une pair d'antennes présente sur celle-ci destiné à aider à la communication sur le terrain en aidant à la réception, ainsi que de permettre à la Sentinelle l'accès à des informations olfactives immédiate pour l'aider dans des prises de décision et analyse. 

Poumons et cœur

De part sa nature enveloppant entièrement son lien afin d'assurer sa survie, l'armure vivante scelle presque entièrement de l'environnement extérieure son utilisateur. Afin d'assurer alors sa propre respiration ainsi que celle de son utilisateur dans son étroit habitacle, la respiration d'une surchitine est réalisée par plusieurs larges poumons. Présent sur les côtés du torse et atteignant partiellement sa portion frontale, ils n'étaient que deux chez la première génération et suivant une forme assez classiques, puis avec chez la seconde génération ils évoluèrent en deux set de deux poumons prenant une forme aviaire à la suite des développement issue du projet des Guetteur de Chair pour mettre à profit cette avancé.
Les voies fournissant l'air au système respiratoire n'a pour lui pas de grande différence d'une génération à l'autre, où au lieu d'une grande voie centrale, une surchitine disposent de plusieurs voies pouvant s'ouvrir et se fermer selon le besoin. Ces voies sont présentes sont réparties sur trois zones, à l'arrière de la tête et sur la portion inférieure arrière du buste à droite et à gauche.

Bien que fonctionnellement incapable de parler, les surchitines n'étant pas dotées de corde vocales de par les Sentinelles pouvant tout simplement faire usage de télépathie, il reste possible de s'exprimer au travers de celle-ci en faisant usage de la capacité de fermer individuellement les voies d'accès du système respiratoire.
Lorsque correctement ajustées, les ouvertures permettent de créer des sons de sifflement pouvant être modulés et produits conjointement. Les Sentinelles faisant alors usage de cette aspect non prévues complémenter les communications entre membres durant des opérations, ajouter à leur imposante carrure en combat en produisant subitement d'intimidant son, et plus particulièrement s'exercer musicalement entre eux en usant cette aspect tel une sorte d'instrument à vent. 

En parallèle de ce large système respiratoire est le système vasculaire, qui au contraire des poumons n'a pas connue de profonds ou marquants changements entre la première et seconde génération, et continue d'être un large cœur à quatre chambres toujours présent présent derrière l'espace abritant l'opérateur de la surchitine.

Fabrication

La création d'une armure suit comme tout autre élément de l'alchimie organique les même principes en terme de besoin matériel et de méthode, à la majeur exception que lors des derniers moments de développement de l'organisme dans sa cuve. Son lien devra rentrer dans la cuve où se trouve son armure, seulement habillé d'un vêtement fin fait à cette effet, pour la réalisation de deux étapes importantes mais présentant d'uniques risques.

• La première étant de rentrer dans l'armure, ouvrant le haut de son buste comme une fleur avec sa tête se mettant en retrait. Lorsqu'à l'intérieure, l'armure enveloppera son opérateur afin d'ajuster naturellement son habitacle intérieure aux proportions de son lien. Devenant tel une seconde peau en répartissant son poids, ses articulations et ses fibres musculaires aux bons endroits. Cette étape nécessite donc une importante préparation à la sensation de claustrophobie car dans le cas d'un coup de stress l'armure pourrait tuer son lien en réagissant de manière instinctif à l'alerte quel reçoit de ce dernier sans en comprendre le sens, conduisant à celle-ci à contracter ses parois en réponse défensif ce qui pourrait conduire à un écrasement du lien dans sa propre chair. 

Durant cette étape le lien doit réaliser des séries de mouvements en suspension dans la cuve afin que l'armure enregistre physiquement l'étendue des mouvements devant rester faisable et continue le développement de ses plaques de protection de manière à surplomber les zones de joints le nécessitant.

• La seconde étape se présente comme celle d'interface entre le corps du lien et sa coquille vivante. Comme le ferait une prothèse se connectant au système nerveux en fin d'un moignon mais à l'échelle de tous le corps. L'armure va donc chercher de manière naturel les nœuds du système nerveux et procéder avec le corps du lien à une connexion en perçant tout d'abord les vêtements de celui puis en se frayant à travers de sa chair un chemin jusqu'à ces points neurales. Ceux-ci étant avant les poignées, dans le dos au niveau du bassin et à l'arrière du cou.
  Les trous dans les vêtements causés serviront d'ailleurs à la fin de l'opération par la suite d'indications sur où seront à placer les troues dans la tenu de la futur sentinelle afin d'éviter le soucis de vêtements percés à chaque utilisation.
  Tout comme l'étape la précédant, celle-ci est tout autant risqué de part le fait que tout mouvements brusques pourraient que les liaisons se faisant soient ballottées et se retrouvent à envoyer des chocs dans tout le système jusqu'à possiblement endommager les nœuds nerveux du lien.
  La personne doit ainsi se préparer en amont à la douleur qui sera ressenti durant l'opération et encaisser celle-ci. Lors que les liaisons son établies avec le système du lien, les filaments de la surchitine allant au lien se rapprochent et se voient renforcées pour former de fin mais robuste cordon, puis se rompent au niveau de l'interface avec le lien. Les entrés dans la chair du lien débute alors une courte cicatrisation dont le processus est arrêté à mi chemin afin de garder ces points d'entrées pour les cordons neurales lors des prochaines utilisation de la surchitine. Bien qu'elles soient relativement proprement fermées, des bandages expressément fait sur mesure son confié aux lien afin de recouvrir d'une couche supplémentaire ces entrés afin d'empêcher au maximum l'entrée de tout corps étranger.

Afin de réduire la perception des sensations de douleur, et donc par conséquence les réactions instinctives de recul face à la douleur, le lien se voit généralement administré de minimes doses d’anesthésiant. Ceci peut aussi aider pour l'étape précédente en faisant en sorte que le lien dans un état de repos. Cela dit comme durant la procédure pour une prothèse, le lient doit garder un certain niveau de conscience de son environnement et des étapes à suivre afin d rester synchroniser avec leur surchitine. Ainsi dans l'idée de préparation et réduire tout risque, Alba soumet les possibles futur membre des Sentinelles à des préparations pour la procédure en les enveloppant de son corps pour les préparer à la sensation d'encaissement et de seconde peau, ainsi qu'en leur envoyant grâce à l'immédiate proximités des signaux équivalents à ceux que leur corps leur enverra lors de perçage de la chair et l'établissement de connexion.

A la fin de ces deux dernières étapes, l'armure est considéré comme complète, mais pas pour autant pleinement "acquise". Dans le sens qu'elle nécessitera encore une période d'adaptation pour son lien afin que celui-ci se familiarise pleinement à cette seconde peau et aux particularités qu'elle apportent. Notamment concernant une prise en conscience de sa masse durant des mouvements et une familiarisation à sa vision particulière.

Utilisation

Pour accomplir ses tâches, les Sentinelles peuvent compter sur un assortiment d'armes qui bien qu'assez classiques ont été spécifiquement changées pour pleinement convenir entre les mains d'une surchitine et rendu plus robuste pour pouvoir être utiliser sans risquer de briser un manche
La premières d'entre elle est une hallebarde de 6 mètres, dotée d'une longue tête d'hache avec un robuste dos, un pic et un dos solide avec un marteau courant sur presque une même longueur que la face. Bien que généralement étant considéré comme une arme de formation, l'échelle d'une Sentinelle et sa force sont tels qu'une arme d'hast soit l'arme principale idéal dans leur cas. Gagner en avantage par la porté que cela offre à leur déjà importante taille.
Se suit ensuite une sorte de large hachoir au manche et lame allongé de près de 2 mètres servant un rôle d'épée, réfletant par ailleurs une des formes d'origine des épées standard des soldats de la Déferlante Noire.
Et enfin une grande dague d'un demi mètre leur est aussi fourni, ce à la fois afin de couvrir la possibilité de très court combats ainsi que de ne pas resté démunie si les deux précédentes armes venaient à être perdues. Mais dans le pire des cas, les Sentinelles peuvent toujours tout simplement faire directement usage de la force et l'inertie que les surchitines offre, allant dans une mêlée à coup de pieds et poings. Loin d'être évidement idéal, l'option n'en reste malgré tout pas moins dangereuse pour toute opposition qui en souffrirait la furie sur un champ de bataille, et la protection qu'offrent les plaques resterait assez suffisante le temps de neutraliser un présent risque.

Un quatrième élément sous la forme d'un canon méthanique de taille moyenne fut aussi partit partie de leur kit pendant une courte période après la conclusion du projet de recherche méthanique. Ce choix fut cependant mis de côté à la suite de multiples tentatives infructueuses d'en faire usage de manière efficace au cours de bataille, se révélant bien trop contraignant et dur d'usage pour une Sentinelle, et ne complémentant absolument pas leur rôles et capacités.

Rôles et Risques

Le rôle premier des surchitines tel que pensé à leur conception est d'offrir à Myr une force en mesure de faire face à tout danger qui dépasserait les forces individuels de soldat classique et capacités d'arrêt de formation de ceux-ci et qui aurait brutalement pénétré le territoire, comme ce fut le cas avec l'initial confrontation contre Nigrium. Les Sentinelles, faisant usage de surchitine font alors office de dernier rempart aux différentes villes de Myr. Celles-ci construit alors autour de petit groupe joue alors un rôle actif dans toutes défense en profondeur, usant à la fois de leur force et inertie pour stopper net des ennemies d'imposantes nature tout comme de large groupe d'individu en mêlée en terrain réduit que les villes et espace en sous terrain de Myr offrent.
A l'inverse cette nature en font aussi une force idéal pour dégager toute force profondément ancrée dans une position défensive, agissant tel un bélier derrière lequel peut suivre des forces plus agiles.

Passé son rôle au sein de Myr et donc son utilisation à une échelle large, à l'échelle individuel des Sentinelle l'utilisation de surchitine est une chose bien particulière qui outre un entraînement initialement pour leur production demande entraînement et attention rigoureuse et continue pour toutes Sentinelles novices. Les sensations d'une différence en taille, la vision altéré et un corps de forme étrangère représentent un ensemble d'aspect pouvant produire des formes de dissociation physiquement. Il arrive bien souvent que passé de longue période d'usage il arrive en sortant de connaître des moments de déséquilibre et des erreurs de jugements quant à longueur de ses membres, ce qui demande donc des périodes de repos après usages important pour se réajuster.
La liaison avec une surchitine est tel que si elle a connu des dommages, qu'ils soient mineur ou grave, des impressions de membre fantôme et sensations rémanentes peuvent se faire sentir hors de celle-ci.
Ces risques ne sont cela dit par le plus grave que les utilisateurs de surchitines, qu'ils soient novices ou expérimentés, peuvent encourir. Si un plein usage se retrouve réalisé, tout en continuant à subir des blessures et dommages, l'armure va continuellement tenté de se soigner et si cela continue sans qu'une période de repos soit engagé il est alors possible que l'opérateur se retrouve scellé dans l'armure. Le corps devenant de plus en plus physiquement lié à l'habitacle depuis au point où la Sentinelle devienne fonctionnellement au lieu d'un opérateur et surchitine une et même entité, l'opérateur perdant ainsi tout capacité à sortir et faire usage de son original corps. 

Gallerie

Historique de mises à jour:
- 22/04/2024 - Ajout de détails, images, surchitine de seconde génération et partie utilisation complétée
- 17/10/2022 - Début de datation de mise à jour