Codex des Alchimistes

Outre la différence de taille, le processus est plus facile que pour une obsidiant du fait que la forme finie est intrinsèquement plus personnels et connu du lien. Se connectant physiquement il est cependant important de ne pas bâcler leur processus et s'assurer à plusieurs reprises du finition complète. Il pourrait sinon alors y avoir des risques de dispersion de fins morceaux d’obsidienne et autre ingrédients dans l'organisme de l'hôte.

Le processus se distingue aussi par sa dernière étape qui à cause de la réalisation de la connexion de la prothèse d'obisidienne avec le moignon du membre perdu est extrêmement douloureuse. La personne devant resté éveiller et consciente pour s'assurer que la liaison de la prothèse à la chair soit parfaite, notamment aux niveaux des nerfs. Diverse onguent et produit peuvent être appliqués et ou administrés afin de réduire la douleur. Principalement venant de plante à capacité d'endormir les récepteurs de douleur, tel que l'opium. Mais les doses ne peuvent être assez important car il est nécessaire de savoir lorsque l'os et les nerfs sont atteints et leur liaisons complétées

La dernière étape réalisée, la chair de la prothèse va naturellement fusionner avec celle du moignon en reprenant sa routine naturel. Ceci permettant d'ailleurs une liaison direct matérielle avec les muscles de la prothèse et le système nerveux de la personne. Ce qui offre à l'utilisateur le fait de ne pas avoir à gérer télépathiquement le mouvement, le controlant directement grâce à son système nerveux tel qu'il le ferait avec son membre naturel. Un suivi est cependant nécessaire afin de s'assurer que les dites connexion se soient faites correctement et que le membre répond instinctivement à la volonté de son lien avant que la personne puisse retourner à ses occupations de la vie de tous les jours.

Membres supplémentaires {WIP} 

Bien que rare parmi les alchimistes de Myr, il en a toujours été quelques uns intéressés par les greffes de prothèse d'obsidienne, non dans le but de remplacer un membre perdu, mais celui d'en acquérir de nouveau pour augmenter leur capacité. Bien que ces différentes tentatives se concluait par des greffes réussites en soit, l'ajout de membre supplémentaire à leur corps représentait toujours des difficultés non négligeables. En parallèle de l'attendu période d’apprentissage à l'usage, était surtout un plus large et notable problème dû au fait de corps ne disposant en aucun cas de place suffisante pour accueillir et supporter les nouveaux membres d'une manière qui puisse se coupler à la pré-existante structure osseuse.
Pour pallier à ceci de nombreux alchimistes s’attelèrent à modifier leur propre structure -généralement le dos de part le fait que l'intérêt premier étant l'ajout de bras. 

Viande de culture

La viande de culture est une viande rouge issu de l'Alchimie organique. Se retrouvant dans des caissons spécialement aménagés ayant en général six emplacements de culture aux parois de cuivre ou de verre, elle se développe tel que le ferait tout organisme de l'Alchimie organique. Démarrant sa croissance à partir du sang de son lien et du signal qu'il envoi de croître, cette viande utilisera sur plusieurs jours l'Élixir du jabot versé dans son emplacement jusqu’à en avoir complètement consommée le liquide. La viande n'ayant plus de source d'énergie et matière va alors commencer à devenir inerte, pouvant alors être retirée en vue de sa consommation. Avant qu'elle ne deviennent complètement inerte et meurt une portion de celle-ci se voit découpé et remise dans son réceptacle afin de servir de départ pour un cycle prochain de croissance.

L'histoire des viandes de culture commence en tant produit née de la volonté de trouver un élément pouvant occuper la place que la viande d’élevage occupe plus communément dans les sociétés extérieures. Des personnes se rendirent compte que dans l'état la forme primaire produite par l'alchimie organique n'était rien de plus que du muscle, soit de la viande, et pouvait donc être en soit consommé. Il fut cependant rapidement relevé les risques qu'une tel pratique pourrait amener.

En réponse des séries de précautions à prendre furent établies. Celle-ci passant de l'évidence de rendre le milieu de culture le plus sain que possible et éviter au maximum les contaminations extérieures, à la question de la possibilité des maladies que la pratique du cannibalisme présente. A ceci il fut jugé que la meilleur façon de s'assurer de la non contamination de la viande par une quelconque maladie, était que seules les personnes dans la vingtaine, voir trentaines, étant en bonne condition physique et ne souffrant pas de maladie grave, ou n'en n'ayant pas souffert par le passé, pouvaient servir de lien créateur à une souche de viande.

Passé la série de test pour produire les premières viandes de culture et leur consommation par des personnes volontaire sur plusieurs années, l'absence d’apparition de maladie permit de voir le scepticisme couvrant le programme se dissiper. Et même si ce type particulier de viande connait toujours une certaine réticence quant à son utilisation chez certaine personne, la viande de culture réussit à devenir un choix de remplacement accepté par l'ensemble de la société myrmécéenne. Se plaçant parmi les bases alimentaires de la société myrmécéenne, la viande de culture fait aussi en conséquence partie des affaires que des fondateurs de village emportent avec eux en plus de mycérons, souches de champignons et lichens afin de correctement pouvoir lancer leur production alimentaire.
Si aucun cycle n'a été démarré après un développement total, il faudra alors que le village réalise une demande pour qu'un savant de l'alchimie organique vienne sur place pour en produire une nouvelle souche.

Comme la plupart des produits de l'alchimie organique, ces sortes de poumons à eau font usage de mixtures riches pour assurer leur fonctionnement et bonne état. La conservation de ces apports se trouve dans un poche sur la portion basse du masque. Étant donné qu'elle se trouve entre menton et sternum celle-ci est semi rigide afin d'éviter de gêner les mouvements de tête qu'un plongeur pourrait avoir besoin de réaliser. Cette relative élasticité permet aussi à la poche de prendre plus de volume selon la quantité d'élixir ingérée. 

Chevauterelle {WIP} 

Des alchimistes et membre de cavalerie de la Déferlante s'essayerait à créer un monture complémentaire aux obsidiants. Là où celles-ci offrent une grande capacités d'inertie, elle sont cependant bien moins capable en comparaison qu'un cheval au galop dans le domaine de la vitesse.
Ce projet s'était donc voué à la création d'une sœur à l'obsidiant. Partant d'une forme équine, étant l'animal pallier en terme d'objectif, de nombreuses recherches furent réalisé afin d'en augmenter les capacités et voir en offrir qui se révèlerait pratique pour la fonction de la créature.
Bien qu'admettant pleinement les capacités présentés, la rôle de la Déferlante Noire penchant plus vers une optique défensive et voyant difficilement d'autre usage non déjà remplie fit que ses responsables eurent à faire le choix de refuser l'organisation d'unités complètes faisant usage de la création en question. Mais Ils notèrent tout de même que le projet soit gardé dans un certain état de relative  accessibilité si un jour elle venait à être nécessaire.

La portion de la Déferlante Noire a l'origine du projet tinrent à tout de même préserver une force à petit échelle de leur propre poche. Aider par tout alchimistes désireux de réaliser l’exercice moins fréquent de sa création.

Œil de Rapace

Le but de ce projet  était de pallier à un défaut des armes méthaniques en offrant à leur utilisateur la capacité de pleinement faire usage de la portée que ces armes sont capables.
Cette élément prend la forme d'un d'un sorte de rectangle convexe. A l'avant est un espace encaissé en retrait où se trouve un œil, protégé des éléments grâces à des surfaces de chitines dépassant à droite, gauche et en haut.

Cette œil est l'élément clé au projet et est conçu en étudiant méticuleusement les yeux de rapace, leur fonctionnement et leur structure. Émulant de ce fait leur capacité à percevoir leur proie à de longue distance.
Son utilisation nécessite d'avoir sa tête présent sur le même plan que l'alignement de l'appareil, au risque d'avoir une forte impression de déséquilibre, qui lors d'un tir a de forte chance de se traduire par un immédiat vomissement. Malgré ceci, plusieurs sont ceux s'essayant à outre passer cette indication.

Il fut cependant réalisé qu'il serait difficile de physiquement l'attacher aux modèles existant de fusil d'une manière qui ne soit pas gênant pour leur rechargement ou encombrante. La création d'une nouvelle classe de fusil spécifiquement adaptée s'avéra comme la seule possibilité. Mais le but initial du projet étant d'offrir un système pouvant facilement se coupler aux fusils méthaniques pré-existant, ce fut un revirement qui mit à mal le projet et repoussa l'utilisation de l'Oeil Rapace à grande échelle à une date futur.
Il est cela dit possible de voir des cas de fusils couplés dans les mains d'expert ayant accepté le challenge.

Vertèbres de lame

Rajouté au dos de lames à un seul tranchant qui relâche lors d'un stimulation brutale, tel lors d'une coupe, des actifs destinées à empirer tout blessure créée. Les agents étudiées furent un venin aux agents anticoagulant, et un équivalent à suc digestif.
Les résultats de l'étude s'avérèrent quelques peu mitigés ne conduisant à aucune réel intégration, avec le poids additionnel s’avérant déséquilibrant, le risque d'un activation involontaire et une mise en pratique réduite qu'à des cibles ne disposant d'aucun  voir très réduites protections.

Projet signal

Parmi tout les différents projets menés par les alchimistes de Myr, celui-ci fut celui couvrant la plus longue période de développement et plusieurs générations d’alchimies.de pensées s'est avéré l'un des plus complexes et difficiles entreprit au point de voir une grande partie de ses participants jeter l'éponge au fil du temps, voyant de multiple voies tentés se finir par des échecs. Malgré tout ceci, un résultat jugé utile pu être atteint.
L'objectif du projet comme une tentative de créer une alternative au classique signal de feu, qui pourrait dans le principe de permettre un échange sur de plus grande distance tout en évitant les pertes, incertitudes, et difficultés résultant de météo non coopérative.

Parmi les différentes voies proposés, la plus prédominantes parmi les alchimistes lors des débuts du projet fut celui du choix d'une création d'un nexus cérébrale entraîné à spécifiquement recevoir et émettre qui agirait comme un écho lors qu'utilisé avec la télépathie faible de Myr. Cette voie se révéla comme étant largement trop optimiste quant à sa faisabilité, les différents essaies produisant des éléments extrêmement susceptibles au bruit environnant. Les signaux qui leur étaient fournis étaient rendu embrouillés à l'envoi, puis encore une fois à l'arrivé. Le message reçu en fin devenant complètement incompréhensible et provoquant par la même occasion mots de tête aux personnes essayant de le percevoir et démêler.

Avec l'idée initial perdant en inertie d'autre alchimistes se portèrent plutôt sur une transmission audio, mais eux aussi connurent peu de résultat positif. Et malgré les essaies augmentant encore et toujours fréquences et puissances, les distances couvertes restèrent largement trop courtes.

Après plusieurs décennies, les quantités de ressources alloués au projet ainsi que les alchimistes intéressés continuèrent à diminuer au point où le cadre du projet fut forcé de prendre une position plus réaliste. Le choix fut fait de réduire le concept à un niveau corporel afin de plus proprement profiter des plus vaste connaissances des alchimistes dans ce domaine, au lieu de chercher à en définir de complètement nouveau relativement mal compris.


Ce nouveau départ pour le projet représenta un réel tournant pour progresser vers un résultat concret et faisable. Les différentes expérimentations qui suivirent permit d'enfin fournir un résultat satisfaisant au projet débuté il y a deçà presque un siècle. Cela dit, le résultat n'en resta tout de même pas moins non orthodoxe tant dans sa conception que son échelle.
L'idée fut de créer des section de tubes abritant des chaînes neurales qui lorsque assemblée créerait des lignes de communications, qui lorsque manipulé en début et fin de ligne permettrait d'envoyer et recevoir des signales à grande vitesses.

Cette séparation en portion individuel connectable fut vu comme la seul voie pratique, car une seule et unique portion présenta de nombreux problème. Premier d'entre eux et pas des moindres étant sa tout simplement sa taille, qui aurait dû être gargantuesque pour couvrir les distances nécessaires, soit une échelle absolument infaisable. Le second est plus marquant étant celui de l'alimentation, jugé comme purement impossible pour un organisme d'une tel envergure. Une division en portion individuel représentant ainsi un choix largement plus sensé.

Toutes portions sont ainsi identiques entre elles et se présentent comme des tubes flexibles tel la queue d'un animal, pouvant se plier et s'enrouler sans rompre. Ils disposent tous de leur propre système sanguin et digestif, seul leur interface en début et fin destinés à entrer directement en contact et se lier avec une autre. Deux sections amenés à être liées sont ainsi mise en contact un interface contre l'autre, puis pivoter pour connecter les systèmes neurales des sections entre elles, à partir de quoi les interfaces réagissent en s'agrippant mutuellement pour sceller la connexion.
Outre ceci, l'élément centrale est l'ensemble des différentes chaîne neurale les composants, qui se partage en deux groupes. Ces groupes n'envoyant de signale que dans une direction pour permettre la possibilité en fin de ligne de recevoir et envoyé des informations sans rencontrer de risque de signal se rencontrant et se mélangeant.
Parmi ces chaînes neurales est une supplémentaire n'appartenant à aucun de ces groupe, cette plus particulière chaîne joue un rôle crucial pour permettre l'entretient et s'assurer de l'état d'une ligne. Au lieu d'envoyer un signal dans une direction ou l'autre, elle ne transmet un signal car à partir du moment où sa chaîne adviendrait à être brisée, endommagé. Dans le cas d'un dommage, un signal est alors envoyé à partir de l'endroit concerné dans les deux directions, signalant ainsi qu'une section de la ligne a besoin d'un entretient. A un certain niveau, ces chaînes sont aussi pratique pour savoir si une section à besoin d'être en particulier alimenter.


Malgré l'apparente réussite, plusieurs alchimistes continuent à travailler sur le projet, que se soit activement ou sur le côté, afin d'améliorer les vitesses des signaux. Cherchant à acquérir la quasi instantanéité de la lumière comme forme du signal, en remplaçant l'ensemble de la chaîne neurale d'une section par des bioluminescence d'un côté et des cônes récepteurs de l'autre.

Le résultat fut celui d'une créature aquatique qui au lieu d'une classiques paires de nageoires se voit doté d'une série de nageoire le long de son corps, servant à créant mouvement ondulatoire à battant progressivement tel un oiseau.

D'une manière amusante, les alchimistes à l'attention fixé sur de plus large bateau se rendirent comptent qu'ils avaient complètement mis de côté les plus petits embarcations dotés de rames offrant mouvement sans voile, et ce avec un presque même principe que la nature ondulatoire des nageoires.
Les plus larges navires pouvant difficilement utiliser des rames dans une même mesure, l'objectif du projet resta valide. Mais conséquence à ces réalisations il fut décidé le nom de la créature, qui était resté jusque là incertain, maintenant appelée "rameur de coque".

Historique de mises à jour:
- ~~/11/2025 - Incorporation des exemples de la section "Produits" de la page "Alchimie Organique" et développement de certain nouveaux éléments
- 01/06/2025 - Création de la page