Tu arrives au parterre où les rangs de citrouilles intercalent ceux de fleurs sauvages. Au centre, il y a un épouvantail terrible, à en faire peur à un dragon. L’épouvantail se tourne lentement vers toi. Pris de peur, tu te jettes derrière une citrouille, mais le monstre détruit le légume d’un coup de pied. À découvert et couvert des entrailles du potiron, tu ne bouges pas, pétrifié par la peur. L’épouvantail parle alors d’une voix traînante: « C’est bien, tu te fonds dans le paysage, tu restes près de la terre, tu ne bouges pas et restes silencieux. Es-tu un maître du camouflage. » Tu réponds que non, mais que tu aimerais bien apprendre. L’épouvantail est d’humeur à te faire une leçon.
Il prend un épais livre et commence à lire:
« Le camouflage est l’art de ne pas être vu. Pour ce faire […] 10 minutes plus tard […] ces conseils, il te sera possible de t’approcher très près des guetteurs, assez pour les entendre parler. »
« Tu vois le camouflage est omniprésent dans la nature. Regarde ces 4 fleurs que je tiens en laisse. Elles ont l’air belles et inoffensives, mais ces petites malignes ont essayé à plusieurs reprises de conquérir le monde en utilisant leurs épines. Il faut maintenant que je les attache. » Si tu as un canif tu peux couper l’une d’elles, attention de choisir la bonne, tu n’as le droit qu’à une seule fleur.
Mets la fleur à épines choisie dans ton sac à dos, si tu n’es pas sûr, tu peux revenir plus tard.