Un matin, un mari rentre au chalet après plusieurs heures de pêche et décide de faire une sieste.
Bien que ne connaissant pas bien le lac, la femme décide de sortir le bateau, car il fait si beau. Elle s'éloigne un peu, jette l'ancre et lit son livre.
Un garde-chasse arrive dans son bateau. Il s'arrête à côté de la femme et lui dit : "Bonjour, Madame, que faites-vous ?
"Je lis un livre", répond-elle (en se disant : "N'est-ce pas évident ?").
"Vous êtes dans une zone de pêche restreinte", l'informe-t-il.
"Je suis désolée, monsieur l'agent, mais je ne pêche pas, je lis."
"Oui, mais vous avez tout l'équipement nécessaire. Je vais devoir vous dresser une contravention."
"Pour avoir lu un livre" ? répond-elle.
"Vous êtes dans une zone de pêche restreinte", l'informe-t-il à nouveau.
"Mais monsieur l'agent, je ne pêche pas, je lis."
"Oui, mais vous avez tout l'équipement nécessaire. Pour ce que j'en sais, vous pourriez commencer à tout moment. Je vais devoir vous dresser un procès-verbal et vous devrez payer une amende."
"Si vous faites ça, je vais devoir vous accuser d'agression sexuelle", dit la femme.
"Mais je ne vous ai même pas touchée", dit le garde-chasse.
"C'est vrai, mais vous avez tout l'équipement nécessaire. Pour ce que j'en sais, vous pourriez commencer à tout moment."
"Passez une bonne journée madame", et il est immédiatement parti.
MORALE : Ne jamais discuter avec une femme qui lit. Il est probable qu'elle sache aussi réfléchir.
Bien sûr, Dieu a créé l'homme avant la femme. Mais on fait toujours un brouillon avant le chef-d'œuvre final !............
PS : vous vous seriez douté, cette histoire m'a été transmise par une amie.
C'était il y a « quelques » années, Pierre Mendès-France faisait un discours à l’Assemblée nationale.
Un député antisémite notoire lui crie alors :
Ta gueule le circoncis !
Et sans s'énerver, Mendès-France lui fait une réponse géniale :
Décidément… votre femme est trop bavarde !!!
ll pleuvait ce jour-là, et une grande flaque s'était formée devant la brasserie. Un vieillard était là, sous la pluie, avec une tige en guise de canne à pêche et une ficelle dont le bout trempait dans la flaque.
Un touriste, parisien de surcroît, touché par ce qu'il voyait, l’approcha et lui demanda ce qu’il faisait là, sous cette pluie :
« Je pêche » répondit le vieil homme, tout simplement.
Pauvre bougre, pensa le brave touriste, qui invita aussitôt le vieillard à l’accompagner dans la brasserie pour se sécher au chaud et prendre une boisson.
Alors qu'ils buvaient leur vin à petites gorgées, le gentil touriste, demanda, un peu ironique :
« Et alors, vous en avez attrapé combien, depuis ce matin ? »
« Vous êtes le huitième »
répondit le vieil homme, avec un grand sourire.
A l'école, ils nous apprennent le passé simple, ils feraient mieux de nous faire apprendre le futur compliqué.
Ma femme me traite comme un Dieu : elle oublie totalement mon existence sauf quand elle a besoin de moi.
Mon mari peut-il encore faire l’amour maintenant qu’il a fait un infarctus ?
Certainement madame, répond le médecin, mais uniquement avec vous, car il ne faut absolument plus qu’il s’excite !
Un homme entre dans un bar, brandissant un fusil :
Je veux savoir qui a baisé ma femme !
Une voix, du fond du bar :
Tu vas manquer de cartouches… !
Juste avant de dormir, un jeune marié demande à son épouse :
Ma chérie, as-tu connu d’autres amants avant moi ?
Pas de réponse… très, très long silence…
Au bout d’un certain temps, le mari chuchote :
Tu dors, ma chérie ?
Non, je compte…
Une maitresse d’école demande de faire une phrase dans laquelle il y a l'expression « je présumé ».
Une petite fille dit :
Hier, Maman lavait la vaisselle à la main, je présume que le lave-vaisselle était en panne.
Très bien, dit la maîtresse.
Un autre dit :
Ce matin, papa est sorti du garage avec la Volkswagen, je présume que la BMW ne voulait pas démarrer.
Bravo !
Un p'tit gars au fond de la classe lève la main.
Hier, j'ai vu grand père sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous le bras, je présume que…
Je t'arrête, dit la maîtresse parce que là, tu ne savais pas du tout ce que ton grand-père allait faire, et tu ne peux rien présumer.
Maîtresse, laissez-moi terminer ma phrase, dit le petit gars.
Très bien, vas-y, dit-elle.
Donc, comme je viens de vous le dire, j'ai vu mon grand-père sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous son bras. Je présume qu'il allait chier car il ne sait pas lire !