De nos jour grâce à la Photogrammétrie, il est possible de modéliser une zone en 3D afin de réaliser des plans, des mesures et des calculs (longueurs, surfaces, volumes). Cette évolution ouvre par conséquent de nouvelles opportunités pour les secteurs de la mesure, de l’inspection technique et de la recherche (géomètres, topographes, archéologues, métiers du BTP, architectes, cartographes, industriels…)

relevés par photogrammétrie permettent aux géomètres et topographes un gain de temps considérable et réduit l’intervention de personnels sur des sites dangereux et inaccessibles, tout en apportant une précision supplémentaire par rapport au nombre de points relevés.

L’acquisition des données par des drones professionnels et un appareil photo permet d’obtenir la définition terrestre que vous souhaitez, sur des surfaces verticales ou horizontales. Nous réalisons des prises de vue entre 1 et 150 mètres d’altitude et calculons le plan de vol suivant le produit à livrer. Cela permet de ne plus avoir de problème de pixels natifs, facteur limitant des autres aéronefs, non télé-pilotés pour les topographes et géomètres experts.

Le rendu photogrammétrique va être défini par :

• La taille du capteur photo (1 pouce, micro 4/3, plein format), le nombre de pixels (12 à 24 million pour des drones DJI, 50 Millions sous nos Freefly Alta 8)

• La focale utilisée : plus l’objectif sera grand, plus il photographiera large, et donc baissera la définition de la photo, à l’inverse, une focale longue demandera un nombre de photos plus élevés et une vitesse de déplacement faible.

• La hauteur de vol

• Le taux de recouvrement entre les clichés

• Le nombre de bandes

• L’ensoleillement

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