Sur le littoral près de Porto-Vecchio

Pour commencer, restons encore un peu sur la côte afin de découvrir des circuits courts autour des principales plages emblématiques de ce secteur. Dans notre cas, ces rubans de sable ne sont pas seulement synonymes de repos et de bain mais aussi prétextes à de petites balades.

Punta d’Arasu à San Ciprianu (2020)


Le parcours est… le suivant

5 km/1 h 30/+ 35 m


La promenade consiste à longer la plage de San Ciprianu puis à traverser la petite pointe d’Arasu avant de revenir au point de départ par les étangs. Nous serons obligés ce jour-là d’adapter l’itinéraire en raison de l’inondation de certains passages (pluies +++ les jours précédents) et de la menace imminente d’un orage. Belles lumières de fin d’après-midi.

En arpentant les plages de Tamaricciu et Palombaggia (2018)


En 2014, nous avions découvert la somptueuse plage de Tamaricciu. Lors de nos séjours plus anciens, nous étions des inconditionnels de la plage de Palombaggia. Cette fois, nous allons faire un mix des deux en rejoignant le bord de mer au niveau de la paillotte « Linda Beach ». Nous avons ainsi enchaîné la traversée de trois plages (env. 6 km A/R) en ménageant plusieurs arrêts-baignade.

Punta di Rundinara (2018)


Le parcours est… le suivant

1,5 km/45 mn


En 2014, nous nous étions dirigés vers le sud de cette baie en forme de coquillage. Or c’est vers le nord qu’il faut aller si on veut faire la petite balade en boucle autour de la pointe de Prisarella. A l’issue de la balade, les dunes à genévrier de Phénicie ont été parfaites pour le repos.

Boucle de Ghiuncajola depuis Santa Giulia (2018)


Le parcours est… le suivant

5 km/2 h 30/+260 m


Départ directement depuis notre hébergement en longeant le lido, ce cordon littoral fermant la lagune de Santa Giulia. Notre objectif : le sommet de la Punta Rafaellu.

Nous pouvons visualiser l'itinéraire depuis nos fenêtres.

Entre l’étang et la crête s’étend le grand massif forestier de Ghiuncajola en apparence impénétrable.

Il recèle pourtant des traces d’occupation humaine (notamment des ruines de deux ou trois maisons) qui côtoient les formes spectaculaires de quelques taffonis, ces rochers sculptés par le vent, le soleil et la mer.

Depuis la crête, vue panoramique sur le golfe de Portu Novu. Je suis adossée à un mini oriu, c’est-à-dire un rocher sculpté par l’érosion pouvant servir d’abri aux bergers.

Magnifique parcours d’intérêt paysager et aussi patrimonial.