Chapitre L3) Histoire des audiovisuels : photographie, cinéma, video, impression
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histoire, Cinéma,
Meta description 320
histoire du cinéma, histoire de la photographie,
la photographie américaine
la photographie anglaise
la photographie française
la photographie allemande
la photographie iranienne
Histoire de la photographie
Histoire du cinéma
Histoire de la video
Histoire de la télévision
Histoire de numériques
Histoire de l'impression
Histoire de la journalisme
Histoire de l'illustration
L'histoire de la photographie retrace les étapes qui jalonnent l'évolution du procédé photographique depuis son invention jusqu'à nos jours. L'invention de la photographie nécessitait, d'une part la réalisation d'un dispositif optique permettant la création de l'image, et d'autre part de fixer cette image sur un support pérenne par un processus chimique irréversible. Les usages de cette technique ont évolué, et sa dimension artistique a notamment été reconnue.
Joseph Nicéphore.Niépce (1765-1833) (procédé héliographique)
Louis-Jacques-Mandé Daguerre (daguerréotype )
William Henry Fox Talbot (calotype,)
les procédées de la photographie
L'histoire de la photographie retrace les étapes qui jalonnent l'évolution du procédé photographique depuis son invention jusqu'à nos jours. L'invention de la photographie nécessitait, d'une part la réalisation d'un dispositif optique permettant la création de l'image, et d'autre part de fixer cette image sur un support pérenne par un processus chimique irréversible. Les usages de cette technique ont évolué, et sa dimension artistique a notamment été reconnue.
Nicéphore Niépce et Daguerre
Le premier procédé photographique ou héliographie a été inventé par Nicéphore Niépce vers 1824. Les images étaient obtenues avec du bitume de Judée étendu sur une plaque d’argent, après un temps de pose de plusieurs jours.En 1829, Niépce associa à ses recherches, Louis Jacques Mandé Daguerre.En 1832, ils mirent au point, à partir du résidu de la distillation de l’essence de lavande, un second procédé produisant des images en une journée de temps de pose.Niépce mort en 1833, Daguerre continua seul les travaux et inventa, en 1838, le daguerréotype, premier procédé comportant une étape de développement. Une plaque d’argent recouverte d’une fine couche d’iodure d’argent était exposée dans la chambre obscure puis soumise à des vapeurs de mercure qui provoquaient l’apparition de l’image latente invisible formée au cours de l’exposition à la lumière.Ce développement consistait en une telle amplification de l’effet de la lumière, que le temps de pose ne dépassait pas 30 minutes. Le fixage était obtenu par immersion dans de l’eau saturée de sel marin.
Hippolyte Bayard
Hippolyte Bayard, 1801-1887
En juillet 1839, un autre français Hippolyte Bayard découvrit le moyen d’obtenir des images directement positives sur papier. Un papier recouvert de chlorure d’argent était noirci à la lumière puis exposé dans la chambre obscure après imprégnation dans de l’iodure d’argent. Le temps de pose était de 30 minutes à 2 heures.
Fox Talbot, 1800-1877
Toujours en 1839, l’annonce de l’invention du daguerréotype incita l’anglais William Henry Fox Talbot à reprendre des recherches interrompues, dont les débuts remontaient à 1834. En 1841, il breveta le calotype, premier procédé négatif/positif qui permettait la multiplication d’une même image grâce à l’obtention d’un négatif intermédiaire sur un papier au chlorure d’argent rendu translucide avec de la cire. Comme pour le daguerréotype, l’image latente était ensuite révélée au moyen d’un produit chimique, le révélateur : une solution d’acide gallique et de nitrate d’argent. Une seconde feuille de papier recouverte aussi de chlorure d’argent était ensuite exposée au travers du négatif translucide, pour donner le positif final.
John Herschell, 1792-1871
On doit à John Herschell d’avoir découvert, en 1839, le moyen de fixer ces images en les immergeant dans un bain d’hyposulfite de soude qui est encore aujourd’hui le composé essentiel des fixateurs photographiques. Les avantages du calotype résidaient principalement dans la facilité de manipulation des épreuves sur papier et la possibilité de reproduction multiple. En revanche, la définition, limitée par la présence des fibres du papier négatif, ne pouvait rivaliser avec le daguerréotype.
Hippolyte Fizeau
Pour abaisser encore le temps de pose on créa alors des objectifs de courtes focales, donc plus lumineux, tout en gardant la netteté sur toute l’image. En 1841, le physicien Fizeau remplaça l’iodure d’argent par le bromure d’argent dont la sensibilité à la lumière est bien supérieure. Il ne suffisait plus alors que de quelques secondes de pose pour obtenir un daguerréotype et il devint possible de faire des portraits.
Abel Niépce de Saint-Victor,remplace le papier par du verre.
Abel Niépce de Saint-Victor
Afin d’améliorer la transparence du négatif du calotype, Abel Niépce de Saint-Victor, petit-cousin de Niépce découvrit en 1847 le moyen de remplacer le papier par du verre. Pour que le bromure d’argent, puisse adhérer au verre, il eut l’idée de le mélanger à de l’albumine (blanc d’œuf). Bien qu’un peu trop contrastées, les images devinrent alors extrêmement précises, obligeant les opticiens à mettre au point des objectifs encore plus performants.
Scott Archer
En 1851, l’anglais Scott Archer remplaça l’abumine par le collodion dont la base est le coton poudre. Les images noir et blanc obtenues par ce procédé atteignirent une qualité encore jamais obtenue. Seuls inconvénients, la prise de vue devait avoir lieu tant que la plaque était humide et le développement être effectué aussitôt après.
Richard Maddox, 1816-1902
Richard Maddox et Charles Bennet
En 1871, un autre britannique, Richard Maddox, remédia à ce problème en remplaçant le collodion par de la gélatine, procédure perfectionnée par Charles Bennet qui montra que les plaques gélatinées acquéraient une grande sensibilité lorsqu’on les maintenait pendant plusieurs jours à 32°C. Non seulement les plaques au gélatino-bromure purent alors être stockées avant emploi, mais leur sensibilité fut telle que l’exposition ne pouvait excéder une fraction de seconde.
C’est alors, un peu avant 1880, que commença l’histoire de l’obturateur, car la haute sensibilité des plaques nécessita la conception de mécanismes capables de laisser entrer la lumière dans l’appareil pendant 1/100 et même 1/1000 de seconde. Il fallut évaluer précisément l’intensité de la lumière et le posemètre devint alors un véritable instrument de mesure.
George Eastman, 1854-1932
Georges Eastman
L’américain Georges Eastman, fondateur de Kodak, concevra, en 1888, l’idée du support souple. Les plaques de verre seront progressivement remplacées par les rouleaux de celluloïd.
La reproduction des couleurs
Il manquait encore à la photographie, la reproduction des couleurs. Les premières tentatives furent à l’initiative d’Edmond Becquerel en 1848, puis de Abel Niépce de Saint-Victor en 1851 qui montrèrent qu’une plaque d’argent recouverte de chlorure d’argent pur reproduisait directement les couleurs, mais de manière instable.
En 1869, Louis Ducos du Hauron réussit, à Agen, la première photographie en couleurs en appliquant le principe démontré par Maxwell de la décomposition de la lumière par les trois couleurs fondamentales, le rouge, le jaune et le bleu. Il réalisa trois photos d’un même sujet, au travers d’un filtre respectivement rouge, bleu et jaune. Il en obtint 3 positifs qu’il colora dans la couleur qui les avait produits. En superposant exactement les trois images, il obtint la restitution des couleurs.
Autoportrait de Gabriel Lippmann
Le physicien Gabriel Lippman reçut le Prix Nobel en 1906, pour avoir découvert en 1891, le moyen d’obtenir des photos directement en couleurs sur une seule plaque, par un procédé interférentiel qui préfigurait déjà l’holographie. Trop complexe, cette invention n’en resta qu’au stade du laboratoire.
Le premier procédé couleur monoplaque pratiquable par les amateurs naquit en 1906. L’autochrome inventé par les frères Lumière reprenait le principe de la synthèse trichrome réalisée cette fois sur une seule plaque par adjonction d’une mosaïque de microfiltres des trois couleurs réalisée au moyen de grains de fécules de pomme de terre.
La découverte du « révélateur chromogène » par R. Fisher dès 1911, offrit à la photographie en couleur une nouvelle direction. On s’était aperçu que certains révélateurs conduisaient à l’obtention d’images teintées d’une couleur, au lieu d’être en noir et blanc.
Les frères Auguste Lumière (1862-1954) et Louis Lumière (1864-1948).
Le principe trichrome fut repris par la Société Agfa pour mettre au point en 1936, les pellicules Agfacolor constituées de trois couches superposées sensibles respectivement au bleu, vert et rouge. Un révélateur fut mis au point qui colorait chacune des couches dans la couleur de sa sensibilité. La superposition conduisait à une image en couleur. Là encore la possibilité de reproduire les couleurs provoqua des améliorations en optique, pour transmettre fidèlement les couleurs de l’objet photographié vers la pellicule.
En 1935 deux américains L. Mannès et L. Godowsky améliorèrent le procédé.Acheté par Kodak,il prit le nom de Kodachrome. Si nos pellicules couleurs actuelles sont très sophistiquées, il n’en demeure pas moins qu’elles font toujours appel au bromure d’argent, à la gélatine ainsi qu’au principe de base de l’Agfacolor et du Kodachrome.
L'histoire du cinéma retrace les principales étapes qui jalonnent son évolution, à la fois technique et esthétique.
!!! L'invention du cinéma !!!
La naissance du cinémaC'est donc cette date qui est communément retenue en France comme étant la naissance du cinéma (projection payante publique d'images animées). Au programme de cette projection : l'Arroseur arrosé, le Repas de bébé, la Sortie de l'usine Lumière à Lyon.A la différence d'autres appareils de projection, le cinématographe Lumière, à la fois caméra, tireuse et visionneuse, supplantera les autres procédés de reproduction du mouvement utilisés jusqu'alors, comme le Kinétoscope d'Edison. Les frères Lumière envoyèrent des opérateurs de par le monde afin de ramener des films courts, les premiers documentaires, en quelque sorte, mais aussi les débuts d'un certain cinéma amateur. Un opérateur, filmant sur un bateau, inventa le premier travelling.Exploité de front en salles et dans des fêtes foraines, le cinéma devient vite un art populaire. Charles Pathé envoie des cameramen à travers le monde pour en ramener des scènes typiques sous forme de documentaires. Les premiers films traitent d'amour, d'épopées (premiers westerns), de burlesque. Précurseur en matière d'effets spéciaux, Georges Méliès réalise le Voyage dans la Lune avec des effets en trompe-l'œil. Il expérimente toutes sortes de techniques empruntées au monde des illusionnistes. Si les frères Lumière furent déterminants dans l'invention de la machine qui rend possible l'éclosion du cinéma, c'est Méliés qui le premier, fait du cinéma, c'est-à-dire invente et crée autre chose qu'une simple vue d'une entrée en gare ou de personnes en mouvement.Le cinéma muetAinsi, l'un des premiers à envisager le cinéma non plus comme un témoignage mais comme un art est Georges Méliès. Il utilise les trucs et astuces en usage dans le monde des illusionnistes et les adapte pour le cinéma. Si les Frères Lumière ont inventé le cinématographe, Méliès a mis au monde l'art cinématographique. Il signe ainsi en 1902 le premier film de Science-fiction, le Voyage dans la Lune. Méliès réalise plus de 500 courts métrages, souvent peints à la main, entre 1896 et 1913. Outre Méliès, les autres grands noms du cinéma muet sont le burlesque Max Linder qui sera plus tard la source d'inspiration de Charles Chaplin, et Louis Feuillade réalisateur des premiers sérials de la Gaumont : Fantômas et les Vampires avec Musidora.On conserve aujourd'hui peu de films de cette période héroïque qui fut pourtant prolifique. La pellicule était souvent grattée et réutilisée, parfois plusieurs fois, effaçant à jamais nombre d'œuvres. Méliès, lui-même, agissait ainsi.Le cinéma parlantL'arrivée du cinéma parlant est un tremblement de terre. En 1929, 20 salles sonorisées sont recensées en France; elles passent à 1 000 en 1931 et 4 250 en 1937. Une belle génération de réalisateurs et une foule d'acteurs talentueux venant le plus souvent du théâtre, permettent la production de plusieurs chefs-d'œuvre. Le public suit : 150 millions de spectateurs en 1929, 234 en 1931 puis 453 en 1938, la progression est belle.La période révèle les premières vedettes du cinéma parlant. Citons ici Arletty, Fernandel, Jean Gabin, Raimu et Michel Simon du côté des acteurs, Sacha Guitry, Julien Duvivier, Jean Renoiret Marcel Pagnol pour ne citer qu'eux, chez les réalisateurs.
Le cinéma est né de la rencontre d'innovations dans le domaine du support photographique et dans celui de la synthèse du mouvement utilisant la persistance rétinienne. Ces recherches sont effectuées dans un but purement scientifique : s'il était question de recomposition du mouvement, il n'était pas encore question de projection. Ainsi, en 1876, Eadweard James Muybridge met au point une expérience : il dispose 12 puis 24 appareils photo le long d’un hippodrome, déclenchés par le passage du cheval. Il obtint ainsi une décomposition du mouvement en plusieurs photographies et conçoit le zoopraxiscope, lui permettant de recomposer le mouvement. Puis, en 1891, Edison crée le kinétographe, première caméra de prise de vue. Les films tournés n'étaient pas projetés mais regardés à travers une visionneuse baptisé Kinétoscope. La date de l'invention d'Edison ne peut pas être considérée comme date de naissance du cinéma car le Kinétoscope ne permet pas de projeter le film . Edison ne s'intéresse d'ailleurs pas à la projection, jugeant que cela tuerait rapidement l'intérêt du public pour l'invention.
Les frères Lumière, bien qu'ils n'aient pas directement créé le Cinématographe (invention de Léon Bouly en 1892), en déposent le brevet le 13 février 1895. Ils tournent quelques films en 1894 et en effectuent des projections privées en 1895. Cette même année, ils décident d'organiser une projection publique payante, le 28 décembre 1895, au salon Indien du Grand Café, à Paris.
A sa naissance, le cinéma est muet, la barrière de la langue n'existe pas puisque l'image est universelle. Le cinéma va pourtant connaître dans cette période des évolutions majeures.
Le problème du son mobilise quelques esprits et on met en place à Paris plusieurs salles sonorisées dès 1912, le Gaumont Palace au premier chef. Les compagnies sont toutefois hostiles à cette évolution et parviennent les premières années à bloquer toute évolution en ce sens. L'enjeu linguistique était déterminant car la France, désormais grignotée par les productions américaines et danoises notamment, ne pouvait pas se permettre le luxe de se contenter du seul marché francophone.
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!!! chronologie du cinéma et le progré technique : !!!
Progrès techniques du cinéma(1786-1837Joseph Plateau(1801-1883) E. J. Muybridge(1830-1904) Etienne-Jules Marey(1830-1904) Emile Reynaud(1844-1918) Thomas Edison
(1847-1931) Louis Lumière
(1854-1948)
XVIe : La caméra obscura étudiée par Léonard de Vinci est utilisée par les peintres et les graveurs.
1671 : Le jésuite Athanase Kircher décrit la lanterne magique dans son ouvrage Ars magna Lucis & Umbrae.
1798 : Robertson propose ses fantasmagories qu’il réalise avec une lanterne magique.
1816 : Le 5 mai, Nicéphore Niépce obtient le premier négatif dans une chambre noire de 4cm de côté sur un papier sensibilisé au chlorure d'argent.
1824 : l'héliographie de Niépce permet d'obtenir des "point de vue" de bonne qualité mais nécessitant plusieurs heures d'exposition.
1825 : Invention du thaumatrope par Fitton et Paris.
1829 : Joseph Plateau énonce la première théorie de la persistance rétinienne. En 1833, il construit le phénakistiscope, disque de carton percé de fentes reconstituant le mouvement.
1834 : Horner invente le zootrope.
1837 : Jacques Daguerre reprenant, l'heliographie de Niépce, met au point le daguerréotype qui permet un temps d'exposition compris entre 5 et 40 minutes et fixe les images sur une plaque de cuivre argentée.
1839 : Henry Langdon Childe fait évoluer la lanterne magique en introduisant des images en fondu.
1869 : John W. Hyatt fabrique le celluloïd.
1873 : Eadweard James Muybridge établit un dispositif photographique permettant de décomposer les mouvements du cheval.
1877 : Emile Reynaud invente le praxinoscope puis, en 1880, le praxinoscope à projection dont se sert E. J. Muybridge en 1881 pour animer des photographies. En 1888, il dépose le brevet du théâtre optique. En 1892, il présente au musée Grévin les premières projections pantomimes lumineuses au moyen de son théâtre optique.
1879 : Emploi en photograhie du gélatino-bromure d’argent qui permet de réduire le temps d’exposition à 1/500 seconde.
1882 : Etienne-Jules Marey construit un fusil photographique et met au point le chronophotographe à plaque fixe puis en 1887 le chronophotographe à pellicule.
1887 : Hannibal Goodwin met au point une pellicule souple de nitrate de cellulose dite « film ».
1888 : Thomas Edison et W. Dickson construisent un phonographe optique.
1889 : G. Eastman met au point une pellicule souple. Edison et Dickson lui commandent des pellicules qu’ils ont l’idée de perforer.
1891 : Edison et Dickson déposent un brevet pour une caméra qu’ils appellent kinétographe, et un appareil à vision individuelle reconstituant le mouvement : le kinétoscope. En 1894, Dickson tourne les premiers films pour le kinétoscope et les premiers kinetoscope parlors s’ouvrent. W. Paul construit des kinétoscopes de contrefaçon dès 1895.
1894 : Louis Lumière met au point un nouveau système d’entraînement de la pellicule, et fait construire par E. Moisson le prototype d’un appareil susceptible d’enregistrer, de projeter et de tirer les films.
1895 : Les frères Lumières déposent le brevet du cinématographe (13 février). Louis Lumière tourne La sortie des usines Lumière. Première projection publique et payante du cinématographe Lumière dans le salon Indien du Grand Café à Paris le 28 décembre.
Edison acquiert le brevet d’un projecteur pour les films du kinétoscope et lance le vitascope (1ère projection publique : 23 avril 1896)
1896 : Diffusion du cinématographe Lumière dans le monde entier.
Georges Méliès tourne ses premiers films.
1897 : Incendie du Bazar de la Charité.
Méliès construit un studio à Montreuil.
Fondation des premières compagnies de production de films (Gaumont, Pathé, …)
1898 : Films à plans multiples de Méliès.
1900 : Exposition universelle à Paris et le Cinématographe géant Lumière.
1902 : Construction des studios Pathé à Vincennes, Voyage dans la Lune de Méliès
1915 : technicolor bichrome
1915 : Rotoscopie
1927 : Le 6 octobre, Le chanteur de jazz exploite un procédé de sonorisation appelé Vitaphone. La bande sonore comporte tout juste 281 mots. Mais le succès est immédiat et permet aux producteurs, les frères Warner, d'échapper à une faillite.
1932 : technicolor trichrome
1932 : Invention de la première dolly
1933 : John P. Fulton met au point un système complexe de cache et contre-cache pour les trucages de L'homme invisible de James Whale
1945 : La grue Chapman
1952 : début de l'âge d'or de la 3D
1953 : La Fox propose , La Tunique, le premier film en CinémaScope
1967 : La caméra vidéo Portapack de Sony
1972 : Le Steadicam, inventé en 1972, est utilisé au cinéma en 1976.
1976 : La Louma
1982 : Tron, premier film grand public réalisé en images de synthèse
Laurent Mannoni : Le grand art de la lumière et de l'ombre. Editeur Nathan Université, 1999.
La chambre noire , La lanterne magique , fantasmagories de Robertson
thaumatrope ,phénakistiscope , zootrope
James Muybridge , praxinoscope , le théâtre optique
fusil photographique , chronophotographe ... à plaque fixe , ..à pellicule.
le kinétographe, le kinétoscope , Les kinetoscope parlors
Le cinématographe , 1ère projection Lumière , 1er film
Black Maria, studios de Edison , Montreuil, studio Méliès , Incendie du bazar de la Charité