Chapitre A2) Définition de l'anatomie, à la physique, à la chimie, aux mathématiques ( les sciences concrètes)
Meta mots clés
définition, caractérisation, détermination, description, explication, hypothèse, linéature, positionnement, précision, principe, règle, spécification, afficher, analyser, évoquer, camper, conter, dépeindre, détailler, dessiner, expliquer, exposer, modéliser, montrer, raconter, révéler, représenter, retracer, signaler
anatomie, physique, chimie, mathématiques
autopsie, chirurgie, dissection, thanatopraxie, criminologie, chirurgie, médecine légale , autopsie, autopsie , étapes d'autopsie
Meta description 320
Courte description de module. questions et réponses.
généralité en anatomie, échèles des vivants, systèmes, régions, fonctions d'organes
La vision humaine est la perception humaine des rayonnements lumineux, c'est-à-dire, l'interprétation cognitive du sens de la vue, partagé par de nombreuses espèces animales.
La vision humaine est la perception humaine des objets distants par la sensation des rayonnements lumineux qui en proviennent.
La vision recouvre l'ensemble des processus physiologiques et cognitifs psychologiques par lesquels la lumière émise ou réfléchie par l'environnement détermine les détails des représentations sensorielles, comme les formes, les couleurs, les textures, le mouvement, la distance et le relief. Ces processus cognitifs complexes font intervenir l'œil, organe récepteur de la vue, et des zones spécialisées du cerveau appelées cortex visuel.
La vue
La vue est le sens qui permet de réagir à l'environnement distant au moyen des rayonnements lumineux.
Organe visuel
Chez les animaux, il existe au moins quarante types d'organes visuels que l'on appelle « yeux ». Cette diversité pose la question de l'origine de la perception visuelle. Les yeux les plus simples sont tout juste capables de déceler la différence entre lumière et obscurité tandis que les yeux les plus complexes, comme l'œil humain, permettent de distinguer les formes et les couleurs.
La forme
En géométrie classique, la forme permet d’identifier ou de distinguer des figures selon qu’elles peuvent ou non être obtenues les unes à partir des autres par des transformations géométriques qui préservent les angles en multipliant toutes les longueurs par un même coefficient d’agrandissement.
La couleur est la perception visuelle de l'aspect d'une surface ou d'une lumière, basée, sans lui être rigoureusement liée, sur la répartition spectrale de la lumière, qui stimule des cellules nerveuses spécialisées situées sur la rétine nommées cônes. Le système nerveux transmet et traite l'influx jusqu'au cortex visuel.
L'approche artistique de la couleur produit des guides pour affiner la perception de la couleur et employer des pigments ; l'approche chimique étudie les colorants ; l'approche physique aborde la couleur par l'analyse spectrale ; l'approche physiologique relie la perception au système visuel ; l'approche psychophysique débouche sur la colorimétrie et sur la synthèse des couleurs. La philosophie tente, depuis l'Antiquité grecque, de relier les notions de la couleur.
Ce sont les rayons lumineux présents dans notre environnement qui permettent la vision, et les différents organes de l'oeil sont à l'origine d'un ensemble de mécanismes de perception de la lumière.
Le flux lumineux est tout d'abord perçu par l'iris, qui adapte la taille de la pupille en fonction de celui-ci.
La lumière traverse ensuite les milieux oculaires, à savoir le cristallin et le corps vitré, qui doivent donc être transparents pour que celle-ci soit correctement transmise.
Puis, elle atteint la rétine et ses cellules photo-réceptrices :
les cônes, principalement situés dans la rétine centrale (macula), sont responsables de la vision des couleurs, des formes des détails, et sont associés à la vision de jour.
les bâtonnets, principalement situés dans la rétine périphérique, sont beaucoup plus sensibles à la lumière, responsables de la vision des contours et des mouvements, et sont associés à la vision en basse luminosité.
Cet ensemble d'organes transforme la lumière en signaux électriques alors envoyés au cerveau via le nerf optique, l'image est alors interprétée.
I- Introduction :
L’œil est une sphere d’environ 25 mm de diamètre.
C’est un organe mobile contenu dans une cavité appelée globe oculaire, qui lui empêche tout mouvement de translation (avant-arrière), mais qui lui Permet la rotation grace a des muscles permettant d’orienter le regard dans une infinite de directions. C’est ce qu’on appelle le champ visuel, qui peut Atteindre 200°. La puissance de l’œil est égalé a 59 Dioptries.
La cornée est une membrane transparente qui nous permet de voir l’iris, le diaphragme coloré. La pupille est un diaphragme qui laisse passer la lumière, elle peut ne mesurer que 1 à 2 mm de diamètre en lumière intense pour atteindre 8 mm dans l’obscurité.
l’œil est tapissé de 3 feuillets :
la sclérotique : c’est le blanc de l’oeil, elle est entourée d’une membrane très fine et transparente, appelée conjonctive,
la choroïde :
couche pleine de pigments qui constitue une chambre noire ; elle est très vascularisée,
la rétine : tissu très important et très fragile, c’est un tissu sensoriel transformant le flux lumineux en influx nerveux.
Derrière l’iris se trouve le cristallin. Il est entouré par les corps ciliaires auxquels il est maintenu par la zonule de Zinn. Le cristallin est transparent et peut perdre sa transparence, avec l’âge entre autre.
Entre le cristallin et le fond de l’œil, on trouve le corps vitré qui est une masse gélatineuse blanche transparente qui maintient la forme de l’œil.
A l’avant de l’œil on délimite 2 zones :
la chambre antérieure entre la cornée et l’iris. Elle est remplie par l’humeur aqueuse.
la chambre postérieure entre l’iris et le cristallin.
Les paupières répartissent les larmes par leur clignement.
Enfin, le nerf optique fonctionne comme une courroie de transmission en direction du cerveau.
Situées à la partie supérieure du massif facial, véritables zones de jonction entre la face et le crâne osseux, séparées l’une de l’autre par les fosses nasales, les deux cavités orbitaires contiennent et protègent les organes de l’appareil de la vision, en particulier les globes oculaires et les muscles oculomoteurs.
En forme de pyramide quadrangulaire dont la base large est ouverte en avant et le sommet étroit situé en arrière, chaque orbite est constituée par un ensemble d’os juxtaposés formant l’orbite osseuse, doublée sur son versant interne d’une membrane fibreuse : le périoste orbitaire. De nombreux orifices creusés dans les parois osseuses mettent en communication l’orbite et les régions voisines et permettent le passage d’artères, de veines, de nerfs destinés au globe oculaire ou aux annexes.
On décrit une orbite faite de :
4 parois ou faces.
4 angles ou bords.
une base et un sommet.
Paroi supérieure: voûte orbitaire (os frontal et petit aile du sphénoïde).
Paroi inférieure: plancher (os malaire « zygomatique », os maxillaire supérieur et os palatin).
Paroi interne:(maxillaire supérieur, os ethmoïde et sphénoïde).
Paroi externe: (os malaire « zygomatique », et grande aile du sphénoïde).
Sommet: fente sphénoïdale.
Base: rebord orbitaire.
II- Les paupières :
La région palpébrale est située dans l’étage moyen de la face. Elle entre en relation étroite avec la région frontale en haut (par l’intermédiaire des sourcils), la région nasale médialement, la région jugale en bas et la région temporale latéralement. Les paupières (au nombre de quatre) ont une fonction importante tant physiologique, dans la protection du globe oculaire (étalement du film lacrymal sur la cornée, excrétion des larmes), qu’esthétique où elles participent, avec les sourcils, à l’expressivité du regard.
Se sont deux voiles musculo-membraneux mobile qui recouvrent et protègent la partie antérieure de globe oculaire.
Par leur mouvements elles étalent à la surface des globes oculaires les larmes sécrétées par les glandes lacrymales.
Paupière supérieure et inférieure séparées par la fente palpébrale.
L’appareil lacrymal :
Formé par les glandes lacrymales
glande principale située sous l’orbite.
glandes accessoires situées dans la paupière, les voies lacrymales
débutent au niveau du point lacrymal par deux canaux : supérieur et inférieur.
qui vont donner le canal lacrymal commun qui se termine dans le sac lacrymal puis un canal lacrymo- nasal qui se termine dans les fosses nasales.
Les muscles oculomoteurs :
Dans chaque orbite, six muscles oculomoteurs permettent la mobilisation du bulbe de l’œil dans les différentes directions du regard : quatre muscles droits – médial, supérieur, latéral et inférieur – et deux muscles obliques – supérieur et inférieur -.
Chaque muscle est entouré d’un fascia musculaire propre qui s’unit en avant à la gaine du bulbe de l’œil. Des fascias intermusculaires relient les fascias des muscles voisins. L’ensemble constitué par le bulbe de l’œil, les muscles oculomoteurs et leurs fascias est suspendu aux parois de l’orbite par un système de travées et de ligaments aponévrotiques.
Les quatre muscles droits et leurs fascias limitent en arrière du bulbe de l’oeil un espace conique : le cône fasciomusculaire dont le sommet se situe à l’apex orbitaire.
Les muscles oculomoteurs sont des muscles striés d’un type particulier. Leur vascularisation artérielle est importante, mais variable. Ils sont innervés par trois nerfs crâniens oculomoteurs : les nerfs oculomoteur, trochléaire et abducens.
La conjonctive :
La conjonctive est une membrane muqueuse transparente, dont la partie palpébrale se continue avec la peau des paupières.
Dans le cul-de-sac, elle se réfléchit et recouvre le globe oculaire jusqu’au limbe. On l’appelle alors conjonctive bulbaire
La sclére :
La sclère, tunique la plus externe du globe, très solide et très résistante, formée de fibres de collagène et élastiques, entoure les quatre cinquièmes postérieurs du globe.
À sa surface s’insèrent les muscles oculomoteurs par leurs tendons et circulent les éléments vasculonerveux.
Son diamètre externe est de 23 à 24 mm. Elle est perforée par les artères ciliaires antérieures, les quatre veines vortiqueuses et les deux artères ciliaires postérieures.
Elle protège les milieux intraoculaires contre les traumatismes. Son intérêt chirurgical est important : chirurgie du décollement de rétine ou chirurgie oculomotrice.
C’est le prolongement plus bombé de la sclérotique. La frontière sclérotique-cornée s’appelle le limbe.
La cornée est très innervée donc très sensible. Elle est transparente et doit le rester pour assurer une bonne vision.
Elle est composée de 5 couches différentes :
elle est composée de 5 couches
épithélium de la cornée (externe)
la couche de bowman
la estroma
le membrane de descemet
l'endothélium
épithélium cornéen :
cellules de type pavimenteux se renouvelant rapidement.
membrane de Bowman : couche de transition de 12 microns d’épaisseur.
stroma : très épais (400 microns), il représente 90% de l’épaisseur totale de la cornée. Son tissu conjonctif très spécifique comprend les éléments habituels du tissu conjonctif. Il contient de l’eau, des substances organiques, du collagène…
membrane de Descemet : 6 microns d’épaisseur.
endothélium : 6 microns d’épaisseur, membrane interne, fragile, très fine. La qualité et la quantité de ces cellules varient avec l’age.
Sa nutrition est assurée par les larmes essentiellement qui amènent l’oxygène, un peu par l’humeur aqueuse et les vaisseaux sanguins au niveau du limbe.
La choroïde :
La choroïde est une couche richement vascularisée qui assure la
nutrition de l’iris et de la rétine. Elle est située entre la sclérotique et la rétine.
Elle contient de nombreux pigments colorés et forme donc un écran. Elle maintient l’intérieur de l’oeil en chambre noire.
L’iris :
C’est un diaphragme circulaire se réglant automatiquement suivant la quantité de lumière reçue.
Quand le diamètre est petit, il y a moins d’aberrations : les rayons qui sont en trop sont éliminés par le diaphragme et l’image qui se forme sur la rétine est nette.
La nuit, il n’y a pas beaucoup de lumière, la pupille se dilate, l’image qui se forme sur la rétine n’est plus nette : c’est la myopie nocturne.
L’iris est responsable de la couleur de l’oeil. La couleur de l’oeil dépend de l’épaisseur de l’éventail formé par les lamelles pigmentaires et de sa concentration en mélanine. Plus, l’éventail est épais et contient de mélanine, plus l’oeil est foncé.
La nutrition de l’iris est assurée par l’humeur aqueuse dans laquelle elle baigne, et par quelques petites artérioles.
Les muscles qui sont responsables de la variation de diamètre de l’iris sont :
le dilatateur :
contracte l’iris, c’est-à-dire dilate la pupille,
le sphincter :
diminue le diamètre de la pupille.
La pupille :
Son diamètre en lumière normale est de 3 à 6 mm. L’augmentation du diamètre de la pupille s’appelle : mydriase, et la diminution de ce diamètre s’appelle : myosis.
Le Cristallin : c’est une lentille transparente biconvexe. Il est vascularisé.
Sa courburte peut varier, d’où variation de sa puissance. C’est l’accommodation.
Le cristallin se bombe, il augmente sa puissance.
Avec l’âge, il y a perte de l’élasticité du cristallin. C’est la presbytie.
Si il s’opacifie, il y a cataracte.
Le cristallin est enveloppé par une capsule. Sur cette capsule sont fixé les fibres de la zonule de Zinn. sa puissance est de 16 dioptries.
Le métabolisme est assuré par l’humeur aqueuse.
L’humeur Aqueuse :
Elle est produite par les procès cilaires. Elle passe de la chambre postérieure vers la chambre antérieure à travers la pupille. Dans la chambre antérieure, elle est éliminée au niveau du trabéculum (dans l’angle irido-cornéen) ou elle passe dans le canal de Schlemm.
Le trabéculum est une sorte de filtre. Si le trabéculum se bouche (débris d’iris, excès de protéines), on a alors augmentation de la pression d’où glaucome.
L’humeur aqueuse est composée essentiellement d’eau, mais aussi de vitamine C, de glucose, d’acide lactique, de protéines. Elle se renouvelle en 2-3 heures.
Son rôle est surtout nourricier (endothélium cornéen et iris), réparateur, régulateur de la pression intraoculaire, ainsi que du maintien de la forme de l’oeil.
Le Corps vitré :
C’est un tissu conjonctif transparent. Il est entouré par une membrane appelée membrane hyaloidienne.
C’est un matériau de remplissage. Il représente les 4/5 du volume de l’oeil, et est le premier constituant de l’oeil.
Son rôle est de maintenir la rigidité du globe oculaire, et de maintenir la rétine en place bien collée contre le fond du globe oculaire.
Sa structure le fait intervenir dans le maintien de la pression intra-oculaire et lui permet d’absorber les pressions auxquels il est soumis sans altérer la fonction de l’oeil. Il est formé de 95% d’eau.
La rétine :
C’est un tissu sensible et fragile. C’est la membrane la plus interne.
Elle a comme épaisseur 1/10 à 4/10 de mm. Elle est très vascularisée : important réseau de veines et artères.
acr
artère centrale de la rétine : qui est une branche de l’artère ophtalmique émerge au centre de la papille puis se divise en deux branches une ascendante et l’autre descendante chacune se divise selon un mode dichotomique.
Les veines suivent le trajet des artères pour former la VCR : veine centrale de la rétine.
La rétine est une plaque hypersensible. Elle est parcourue de très nombreux petits vaisseaux. Elle est
composée de centaines de millions de cellules nerveuses : les cônes et les bâtonnets. Le rôle de ces
cellules est capital. Elles permettent de voir les détails, les lumières, les couleurs, les formes et les mouvements.
La lumière qui pénètre dans l’oeil doit traverser la rétine pour atteindre la couche sensible des cônes et des bâtonnets.
Les cônes et les bâtonnets sont les cellules photoréceptrices. Ce sont ces cellules qui captent
l’influx nerveux et le transmettent au cerveau pour le décoder et former une image.
On a beaucoup plus de bâtonnets (130 millions) que de cônes (6-7 millions). Le diamètre des cônes est beaucoup plus petit que celui des bâtonnets. Plus on s’éloigne de la partie centrale, plus les cônes se font rares et leur diamètre augmente.
La macula et la fovéa :
Dans la zone elliptique centrale se trouve le maximum de cônes. Cette zone permet donc une vision très précise. Cette zone mesure 3 mm dans le grand axe et 2 mm dans le petit axe. Elle s’appelle la macula. La macula ou tâche jaune, apparaît située au centre du pôle postérieur comme une fine excavation.
La fovéa est une région de la rétine située dans la macula, près de l’axe optique de l’oeil. Cette région est de la plus haute importance pour la vision. C’est elle qui donne la vision la plus précise, en éclairage diurne, c’est-à-dire pendant la journée. Quand nous fixons un objet, nous tournons les yeux de façon à aligner l’image sur cette partie de la rétine.
La fovéa est la partie centrale de la macula. Elle mesure 1300 à 1500 microns. Elle contient 400 000 cônes.
Dans une vision encore plus centrale on trouve la fovéola. Elle mesure 300 à 400 microns de diamètre et contient 25 000 cônes.
Les cônes ont besoin de plus de lumière que les bâtonnets pour être excités. Les cônes réagiront plus en éclairage diurne que en éclairage nocturne. Les bâtonnets ont besoin de beaucoup moins de lumière pour réagir, ils assurent la vision nocturne.
Il existe 3 sortes de cônes qui réagissent à des longueurs d’onde différentes : bleu, vert, rouge. Les cônes sont donc responsables de la vision des couleurs.
Les bâtonnets ne participent pas à la vision des couleurs. La nuit seuls les bâtonnets fonctionnent, c’est pour cette raison que la nuit tous les chats sont gris !
Le nerf optique :
Transmet les informations au cerveau
Toutes les fibres optiques issues des cellules visuelles convergent vers un point précis de la rétine : la papille. Ce point ne contient donc pas de cellules visuelles mais seulement les fibres nerveuses.
La papille est donc un point de l'œil qui ne voit pas. On l’appelle aussi la tache aveugle. En ce point débouche aussi le réseau veineux et artériel de la rétine.
Les fibres optiques se rejoignent toutes là pour former un câble appelé le nerf optique. Il mesure 4 mm de diamètre et 5 cm de long.
Il y a un nerf optique par œil, donc 2 nerfs optiques en tout. Ces 2 nerfs se croisent dans une zone appelée chiasma optique. A cet endroit s’entrecroise une partie seulement des fibres : les fibres provenant de la rétine nasale.
les membrane du globe oculaire
elles est constituée des 3 enveloppes:
la membrane fibreuse:
la sclérotique
la cornée
la membrane vasculaire ou uvée
le coroide
le corps ciliaire
l’iris
la membrane nerveuse
rétine
cortexe visuel occipitale droite de gauche
la vision est l'interprétation cérébrale des signaux électrique
la plasticité cérébrale
aires
v1
v2
v3: permet de reconnaître les formes
v4: permet de reconnaître les couleurs
v5: permet de reconnaître les mouvements
introduction
orbite osseuse
globe oculaire
contenant: membrane oculaire
contenue: milieux transparent
les structures annexe de l’oeil
muscles oculomoteurs
paupières
appareil lacrymal
conclusion
situation anatomique
tunique
scero/cornée
uvée
rétine
milieux transparents
structures annexe
paupières
glandes lacrymale
conjonctive
muscles oculomoteurs
vascularisation
innervation
fin
“”””””””””””””””””””””””””””
La vue est le plus utilisé des 5 sens.
L’œil est l’organe principal du système visuel, il capte les images vues et les transforme en signal électrique vers le nerf optique.
Ce signal est ensuite « traduit » par le cerveau, au niveau du cortex visuel, qui nous renvoie l’image traitée et permet ainsi l’interprétation de notre environnement.
L'oeil est un globe d'environ 25mm de diamètre qui pèse approximativement 8 grammes.
Il est composé d'une multitude d'organes :
Le corps ciliaire est la partie antérieure de la choroïde, sur lequel est attaché le cristallin grâce à une série de fibres appelées la zonule de Zinn. Il joue un rôle fondamental dans la sécrétion d'humeur aqueuse et l'accommodation de la vision.
L'iris est une membrane en forme de disque perforée en son centre par la pupille. Il constitue la partie colorée de l'oeil dont la couleur dépend de l'épaisseur des lamelles de l'épithélium de l'oeil. Les iris sont clairs lorsque les lamelles sont fines et foncés lorsque les lamelles sont épaisses.
La contraction ou dilatation de l'iris est un réflexe physiologique d'adaptation à la lumière. Si la lumière est forte, la pupille est petite (myosis), si la lumière est faible la pupille devient grande afin de capter un maximum de lumière (mydriase).
La cornée est un tissu transparent situé sur la partie antérieure de l'oeil, qui transmet la lumière au cristallin et à la rétine. Elle est composée de 5 couches (Epithélium, Membrane de Bowman, Stroma, Membrane de Descendant, Endothélium), n'est pas vascularisée (ce qui explique qu'elle ne saigne pas), mais est très innervée. Cela explique sa très grande sensibilité, et le "réflexe cornéen" qui se manifeste par un clignement brusque des paupières pour protéger les yeux en cas de besoin. Elle est nourrie en permanence par les larmes et l'humeur aqueuse.
L'humeur aqueuse est un liquide transparent qui apporte les nutriments destinés à la cornée et au cristallin. Elle a pour rôle de maintenir la pression intra-oculaire et la forme du globe oculaire.
La sclérotique, ou sclère, est une membrane blanche, très résistante. Elle forme le "blanc" de l'oeil.
La choroïde est un tissu du globe oculaire, richement vascularisé, c'est la membrane nourricière de l'oeil.
La rétine est une mince membrane qui recouvre une grande partie de la surface interne du globe oculaire. Sensible à la lumière, elle est composée de photorécepteurs (cônes et bâtonnets) et de neurones qui transmettent les signaux électriques au cerveau. La rétine centrale contient la macula et la fovéa. Elle est vascularisée par l'artère et la veine centrales de la rétine.
Le nerf optique, second nerf crânien, débute au niveau de la papille optique et permet d'envoyer les informations visuelles de la rétine au cerveau.
Muscles oculomoteurs.
https://www.provisu.ch/fr/dossiers/oeil-et-vision.html#anatomie
La peau est un véritable organe de structure complexe qui interagit avec le milieu extérieur et protège le corps contre les agressions. La peau est composée de trois couches : l'épiderme, le derme et l'hypoderme. Elle contient des annexes : les poils et les cheveux, les glandes sébacées et les glandes sudoripares.
Fonction de la peau
La peau est un organe qui a pour fonction d'envelopper l'ensemble du corps afin de le protéger.
Une flore cutanée vit naturellement à la surface de la peau et protège celle-ci des microorganismes pathogènes. La flore est différente en fonction des zones du corps (aisselle, main, cuir chevelu).
La protection est aussi assurée par l'enveloppe imperméable et le mécanisme de cicatrisation qui évite l'entrée de microorganismes dans l'organisme.
La peau représente également une barrière protectrice contre les rayons nocifs du soleil. Ceux-ci activent les mélanocytes qui sont responsables du bronzage. La vitamine D est produite par la peau grâce aux rayons du soleil.
La peau régule la température corporelle, grâce au phénomène de sudation qui permet d'évacuer la chaleur. À l'inverse, les poils, implantés dans la peau, assurent la conservation de la chaleur.
De plus, la peau accueille des structures nerveuses qui permettent la perception de la pression (toucher), de la température et de la douleur.
Structure de la peau
La surface de la peau atteint 2 mètres carrés et 5 kilogrammes, mais varie en fonction de la taille et du poids des individus. La peau est vascularisée et innervée. Elle contient également des poils dans des follicules pileux, des glandes sébacées qui lubrifient le poil et la peau, et des pores permettant l'évacuation de la sueur.
La peau est composée de trois couches superposées, qui sont de l'extérieur vers l'intérieur :
l'épiderme est un épithélium mince (moins de 1 millimètre) composé de cellules mortes kératinisées qui se desquament. Il n'est pas irrigué directement par des vaisseaux sanguins, mais par diffusion du derme. Il contient de nombreuses terminaisons nerveuses ;
le derme est du tissu conjonctif épais composé de protéines (collagène, fibronectine et élastine) et de cellules (fibroblastes, lymphocytes...) baignant dans un gel (composé de glycosaminoglycanes) qui assure l'hydratation de la peau. Il joue un rôle dans la cicatrisation, la thermorégulation et dans la sudation ;
l'hypoderme, un tissu conjonctif richement vascularisé qui peut contenir plus ou moins de tissus adipeux. Il est situé entre les couches supérieures de la peau et les zones mobiles (muscles, tendons...). En fonction de la zone du corps, l'épaisseur de l'hypoderme varie. Plus la zone est soumise à des chocs, plus il est épais (talon, fesses).
La peau
A la découverte de notre peau
La peau est l’organe le plus grand de notre corps ; elle représente environ 16% de notre poids total. Elle forme une barrière de protection pour l’organisme, et assure également d’autres fonctions vitales.
D’un point de vue chimique, la peau comprend en moyenne :
70% d’eau
27,5% de protéines
2% de matières grasses
0,5% de sels minéraux et oligo-éléments
Elle est constituée de trois couches de tissus :
L’épiderme, la couche superficielle
Le derme, couche intermédiaire
L’hypoderme, couche profonde
L’épiderme
Il est composé de trois types de cellules :
Kératinocytes, remplis de kératine (protéine entrant également dans la composition des cheveux et des ongles) et de lipides
Mélanocytes, qui produisent la mélanine responsable de la pigmentation de la peau
Cellules de langherans, qui participent du système immunitaire de la peau
L’épiderme se divise lui-même en cinq couches : couche cornée, couche claire, couche granuleuse, couche épineuse et couche basale.
Le derme
C’est un tissu conjonctif, qui soutient l’épiderme, protège le réseau vasculaire et les fibres nerveuses. Le derme se divise en deux couches : le derme papillaire, riche en terminaisons nerveuses, et le derme réticulaire.
Il contient différents types de cellules :
Des fibroblastes (cellules qui synthétisent le collagène, protéine indispensable à l’élasticité des tissus)
Des histiocytes et mastocytes, qui jouent un rôle important dans les réactions immunitaires de la peau.
L’hypoderme
C’est un tissu adipeux se trouvant sous le derme et qui est traversé par les vaisseaux et les nerfs arrivant dans le derme.
Il joue plusieurs rôles:
Protecteur, il sert d’amortisseur entre le derme et les os
Isolant thermique
Morphologique, il modèle la silhouette en fonction de l’âge, du sexe, de l’état nutritionnel de l’individu
Energétique, par le stockage des graisses.
Rôles de la peau
La peau a plusieurs fonctions :
Un contrôle de la température du corps
Une protection : c’est une barrière physique entre les organes et les tissus et le monde extérieur
Un rôle de nociception : les terminaisons nerveuses de la peau, notamment dans les doigts, permettent à l’homme d’explorer son environnement par le toucher
Un rôle immunitaire : certaines cellules de la peau jouent un rôle important dans la protection immunitaire du corps humain
Une fonction de réservoir puisqu’elle contient des vaisseaux sanguins représentant environ 10% du sang chez l’homme
Une fonction de synthèse de la vitamine D lorsque la peau est exposée aux rayons du soleil.
La peau est un organe essentiel de notre corps. Prenez-en soin.
Je vous conseille aussi de lire mon article sur le vieillissement de la peau.
https://www.drbertrandparis.com/a-la-decouverte-de-notre-peau/
Le système lacryma
Le système lacrymal correspond à l'ensemble des organes permettant la production, la répartition et la sécrétion des larmes.
La circulation continue des larmes permet d'éviter la déshydratation de la cornée (rôle nourricier) et d'éliminer les débris et impuretés présents dans l'oeil.
Les larmes sont produites par la glande lacrymale située sous la paupière supérieure. Elles se répandent sur la surface antérieure de l'oeil sur laquelle elles se répartissent grâce au clignement des paupières. Ce clignement permet également leur écoulement par le point lacrymal dans le coin interne des paupières.
Les larmes sont ensuite évacuées par le canalicule lacrymal, puis par le conduit lacrymo-nasal et terminent leur trajet dans la cavité nasale.
Les larmes sont composées à 98% d'eau, ainsi que de différentes substances (électrolytes, glucose, urée, protéines...).
https://www.provisu.ch/fr/dossiers/oeil-et-vision.html#systeme
Rouge à lèvres, santé et environnement
Les rouges à lèvres et certains autres produits de maquillage sont fabriqués avec des corps gras qui peuvent dissoudre et contenir certains polluants. En particulier, la lanoline extraite de la laine de mouton a pu contenir des quantités importantes de pesticides, quand la laine provenait de pays où les moutons étaient entièrement et régulièrement trempés dans des bains d'insecticides (dont lindane aujourd'hui interdit dans de nombreux pays) pour les protéger des tiques et d'autres parasites. Les fabricants sont théoriquement sensibilisés à ces questions et leurs produits font normalement l'objet de divers contrôles, du point de vue de leur allergénicité notamment. Dans des conditions particulières, ces matières premières peuvent aussi avoir solubilisé des toxiques solubles dans le gras tels que les dioxines, furanes, PCB, etc.
Néanmoins, divers colorants et additifs peuvent contenir des métaux lourds toxiques. Ainsi une étude faite dans le cadre d'une campagne Campaign for safe cosmetics, par une association américaine de défense des consommateurs a montré qu'en 2007, on trouve encore du plomb dans 61 % des 33 marques de rouges à lèvres testées, vendues aux États-Unis ; les taux de plomb variaient de 0,03 à 0,65 ppm, doses qui restent relativement faibles, mais apposées sur des muqueuses, et susceptibles d'être en contact avec des aliments. Dans un tiers des cas, ces rouges à lèvres contenaient plus de plomb qu'il n'en serait autorisé dans les bonbons (0,1 ppm), mais il n'y a pas aux États-Unis de norme pour les métaux lourds dans ce type de maquillage. Cette étude a montré que les rouges à lèvres les plus chers étaient souvent ceux qui en contenaient le plus15. La graisse de requin est utilisée pour donner l'effet brillant aux rouges à lèvres.
Certains rouges à lèvres contiennent des oxydes de fer (nanoparticules), alors qu'il n'a pas été vérifié que ces particules ne puissent pas franchir la barrière cutanée16.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rouge_%C3%A0_l%C3%A8vres
système musculaire
Le système musculaire est le système biologique composé de l'ensemble des muscles du corps d'un animal. Les muscles sont fixés aux os par des tendons. Le système musculaire forme, avec le squelette et une partie du système nerveux, l'appareil locomoteur.
La myologie est une partie de l'anatomie qui traite des muscles, mais aussi la science qui traite du fonctionnement musculaire : muscle malade (maladies neuro-musculaires, myopathies), muscle vieillissant, muscle accidenté, muscle sportif.
Muscles oculomoteurs
Au sein de la cavité osseuse de l'orbite, le globe oculaire est maintenu et mis en mouvements par les muscles oculomoteurs :
4 muscles droits
2 muscles obliques
Les muscles droits :
Le muscle droit inférieur permet d'orienter l'oeil vers le bas : abaisser le regard.
Le muscle droit supérieur permet d'orienter l'oeil vers le haut : élever le regard.
Le muscle droit interne permet d'orienter l'oeil vers le nez : l'adduction.
Le muscle droit externe permet d'orienter l'oeil vers la tempe : l'abduction.
Les muscles obliques :
Le muscle oblique inférieur : C'est le plus court des muscles oculomoteurs. Il permet une orientation de l'oeil vers la tempe et une élévation du regard.
Le muscle oblique supérieur : C'est le plus long des muscles oculomoteurs. Il permet une orientation de l'oeil vers le nez et un abaissement du regard.
https://www.provisu.ch/fr/dossiers/oeil-et-vision.html#muscles
Dimorphisme sexuel
Le dimorphisme sexuel est l'ensemble des différences morphologiques plus ou moins marquées entre les individus mâles et femelles d'une même espèce. Plus généralement, le dimorphisme sexuel peut porter : soit sur des caractères sexuels primaires (par exemple les organes génitaux), soit sur des caractères sexuels secondaires, qui peuvent être morphologiques (taille, pilosité, couleur du plumage ou du pelage, différence appelée dichromatisme sexuel…), physiologiques (métabolisme, odeur…) ou comportementaux (parade nuptiale, chant de certains oiseaux, construction du nid, socialisation…).
Lorsque ces différences ne peuvent se distinguer, les zoologues parlent de monomorphisme sexuel. Cette caractéristique peut être vue comme une adaptation en vue d'éviter la compétition1.
L'origine évolutive de telles différences entre mâles et femelles d'une même espèce s'explique en général par la sélection sexuelle ou le conflit sexuel mais aussi par des pressions de sélection différentes liées à l'investissement parental.
visible body : anatomie : ikonet : systèmes :
visible body : anatomie : S2 systèmes -
systèmes : atlas d’anatomie humaine 2019
1.squelette complet , 2. crain , 3. fausse crânien , 4. crain coupe sagittale , 5. crain coupe transversale , 6. crain en vue éclatée , 7. arcade supérieur et inférieur ,8. alimentation sanguine des dents , 9. cage thoracique , 10. cavité thoracique , 11. ceinture pelvienne , 12.coupe transversale du pelvis , 13 côlon vertébrale latéral , 14. colon vertebral musculature , 15. ceinture scapulaire , 16. région axillaire
1.expression , 2.mastication , 3.muscles laryngés , 4.flexion latérale , 5.rotation de la tête , 6.extension de la tête et du cou , 7.flexion de la tête , 8.dépression de la mandibule , 9.inspiration , 10.expiration , 11.épaule , 12. coude , 13.poignet et main , 14. haut du dos , 15.bas du dos , 16.abdomen , 17.hanche , 18.genou 19.cheville et pied , 20.vu du système musculaire
1.système circulatoir , 2.emplacement du coeur , 3.cerveau , 4.polygone de willis , 5.carotide et jugulaire , 6.pulmonaire , 7.coupe transversal du coeur , 8.système azygos , 9.nerf récurent , 10.circulation hépatique , 11.circulation du système digestif inférieur , 12.circulation pelvienne
Nereux ,
1.système nerveux , 2.cerveau ‘ 3.circulation sanguine du cerveau , 4.système limbique , 5.thalamus , 6.nerfs crânien , 7.nerf vague (X) , 8.nerfs phrénique , 9.plexus lombosacral , 11.nerf sciatique , 12.nerfs autonoms
Urinaire ,