Dimanche 29/07, J16, retour
Nous reprenons la si jolie piste en admirant au passage l'Eyjafjallajokull. L'éruption remonte à 2 ans mais la cendre grise est encore bien présente.
Nous repassons au milieu de ces étranges cabanes construites parmi des roches aux formes « trollesques ».
Ce curieux « camenbert » m'intrigue et nous décidons d'aller le voir de plus près (il doit s'agir de Hjörleifshöfdi)
Juste avant de rejoindre la route N°1 nous longeons cette belle ferme protégée par les falaises de l'influence atlantique.
Une piste mène à l' « île » et permet d'en faire le tour (4X4 nécessaire).
Côté océan se trouve une vaste grotte (où il est possible de dormir à l'abri des intempéries, information qui peut intéresser ceux qui passent par là à vélo car les abris sont rares)
Un énorme pare-battage a échoué là, sans doute un jour de tempête car la mer est à plusieurs centaines de mètres.
Paysage étrange avec la brume de mer.
Pas mal d'oiseaux dans les falaises (pas de macareux)
La fin du tour de « l'île » se solde par un plantage dans un gué d'apparence anodine mais au fond de sable mou. Grmbl ! Seul plantage le jour où on doit prendre l'avion du retour! Fred et les enfants sortent par les fenêtres et cela suffit à nous libérer, ouf!
Encore quelques heures de route jusqu'à l'aéroport. Avant de rendre la voiture, on prend le temps d'examiner la pression des pneus : +/- 28 psi (contre environ 33 aux USA où nous avions crevé 5 fois! Bon à savoir!)
On dépose la voiture sur le parking, on jette les clés dans la boite aux lettres du loueur.
Décollage à 16h30, vol sans histoire (ponctuel cette fois) , on arrive à Nancy à 1h du matin.