Mardi 14/04
Depuis hier après-midi, le temps est couvert, pas idéal pour la lumière....
Nous abordons cependant cette journée pleins d'entrain puisqu'il paraît que nous approchons de LA région où il y a encore plus d'animaux!
Babouins :
Déception!
Pas mal d'oiseaux certes...
Des marabouts par exemple :
Un guêpier à front blanc :
Des hippopotames et des crocodiles du haut de la falaise surplombant l'Olifants River (très bel endroit à ne pas rater)....
Vue vers l'amont :
Vers l'aval :
Comme on est bien dans son bain!
Un peu plus loin nous remarquons une impala perchée à plusieurs mètres de haut.
Il y a un léopard dans le coin! Il restera invisible...
Cet aigle
et ce vautour
semblent avoir des vues sur la carcasse (je vous fais grâce du gros plan...)
Ensuite... plus rien....
pétole...
calme plat....
Des bricoles comme ce rollier à longs brins :
Ou comme ce francolin de Swainson, que nous rebaptisons "poulet stupide" (ces oiseaux suicidaires se jettent systématiquement sous nos roues!)
Ou ces pintades de Numidie, plus malines :
Ou encore ce banal mais élégant choucador de Burchell.
Tandis que les parents essaient de rester concentrés, les enfants s'occupent comme ils peuvent:
- combien de lions dans le parc, d'éléphants, etc.... (tous ces renseignements figurent sur la brochure que l'on peut acheter dans les visitor centers.)
- puis pour changer un peu car il n'y a tjs pas grand chose (les impalas ne nous font plus grand effet), ils apprennent les noms des animaux en anglais et en français, fautes de traduction incluses.
Hilarité générale quand Marion évoque la tourtelette masquée!
- enfin, à court de ressources littéraires, inspirés par la vue des nombreuses cicatrices balafrant le cuir des animaux, ils font l'inventaire de leurs propres cicatrices et des circonstances les ayant causées, ce qui nous mène enfin jusqu'au camp de Satara où ils se précipitent dans la piscine.
Ouf!
Satara n'est pas à la hauteur de sa réputation, on n'a pas de chance ou quoi?
Persévérants, nous laissons les enfants à la piscine et repartons « en chasse » : l'occasion de voir notre premier rhinocéros, tout de même...
On ne se lasse pas des zèbres:
Un dernier regard sur les buffles au point d'eau avant de regagner le camp:
Le cottage à Satara a une agréable vue sur une clairière plantée de beaux arbres, avec pas mal d'oiseaux comme ce touraco gris
Comme souvent (sauf à Punda Maria) la déco est franchement vieillotte, datant vraisemblablement des années 70 mais c'est toujours propre et fonctionnel.