-"Batailles"


Nouvelle distribution

Comédie de Jean-Michel Ribes et Roland Topor  

 Mise en scène Nadyne Capelli

Scénographie Christian Santoul

Musique originale Grégoire Lancelot

   Jeu : 

 Michel Vautrin

Willy Picard

Marie-Christel Chotin ou Pascale Picard

Christian Santoul

Pascale Picard

Nadine Varandal

Joëlle Thouroude

           

 Sortie mai 2018

 Spectacle tout public + 12 ans

 Espaces culturels

 Durée : 1h30

 

 

  Synopsis :   

Le théâtre du monde est un champ de bataille, certaines  sont plus  sanglantes que d’autres…Ribes comme Topor s'en amusent en imaginant des situations aussi cocasses qu'improbables : 

Deux naufragés en plein conflit social sur un bateau de fortune...,les dangers d'une rupture amoureuse haut perchée..., une rencontre d’alpinistes sur le mont Paterhorn..., un conflit intérieur énigmatique..., une friction sans mots couverts entre deux hommes et une femme dans les Yvelines...!

Les lieux et les situations changent ! 

La question n'est pas de savoir qui va l'emporter, mais de savourer les arguments inattendus fournis par les adversaires : ruse, mauvaise foi, perfidie...

Tous les coups sont permis dans ce qui est avant tout un "combat de mots" et où, c'est toujours le RIRE qui gagne !

(D'après Babélio)

 Cinq batailles fantaisistes, légères et décapantes pour notre plaisir !!!

 

   Les auteurs : 

Jean-Michel Ribes 

Né le 15 décembre 1946 à Paris, Jean-Michel Ribes est un acteur, dramaturge, metteur en scène de théâtre, réalisateur et scénariste français.

Il dirige actuellement le Théâtre du Rond-Point à Paris.

Fils de Pierre Ribes (secrétaire d'état aux postes et télécommunication de Raymond Barre) et de Jeanne Bernadet, il pratique le théâtre dès sa jeunesse et fonde en 1966 la compagnie du Pallium, avec Gérard Garouste et le comédien Philippe Khorsand. 

En 1970, il crée sa première pièce "Les fraises musclées". 

En 1974, il monte sa seconde troupe avec Michel Berto, la compagnie Berto-Ribes. Il met en scène de nombreuses pièces contemporaines : Sam Shepard, Copi, Topor, Jean-claude Grumberg, Arrabal etc...

En 1983 il écrit et monte "Batailles" avec Roland Topor au théâtre de l'Athénée.

Il a réalisé quatre longs métrages dont "Chacun pour toi", avec Albert Dupontel et Jean Yanne et "Musée bas" tiré de sa pièce éponyme.

En 2001, il reçoit le prix Plaisir du théâtre pour l'ensemble de son oeuvre et en 2002 le Grand Prix Théâtre de l'Académie française. 

Toujours en 2002, il est Président du Festival du Très Court.

Encore en 2002, il reçoit le Molière du Meilleur Acteur Francophone pour sa pièce "Théâtre sans animaux" ainsi que le Molière de la meilleure pièce comique. 

En 2001, Il est nommé Chevalier de la Légion d'Honneur.

En août 2008, il préside le 1er Festival du Film Francophone d’Angoulême (FFA).

En 2015, parution de son autobiographie "Mille et un morceaux".

   

Babélio

Roland Topor

Auteur, dessinateur, Roland Topor naît à Paris le 7 janvier 1938 de parents émigrés polonais. Il s'inscrit aux Beaux-Arts et publie pour la première fois des dessins et des contes dans les revues : Bizarre, Arts, le Rire, Fiction.

De 1961 à 1965, il collabore à la revue Hara-Kiri et fonde le Groupe " Panique " avec Arrabal, Jodorowsky et Sternberg.

Depuis, il a participé à de nombreuses expositions en France et en Europe dont celle du Groupe Panique en 1972 au Grand Palais.

En 1985, une grande rétrospective Topor, la mort et le diable lui a été consacrée au Münchener Stadtmuseum.

Il a également réalisé des émissions de télévision dont Téléchat, Merci Bernard et Palace avec Jean-Michel Ribes. Il a écrit de nombreuses pièces de théâtre dont la première "Joko fête son anniversaire", fut créée en 1975 au Théâtre de Poche de Bruxelles, puis donnée en 1990 au Théâtre de l'Odéon dans une mise en scène de Jean-Louis Jacopin. Sa dernière pièce "l'Hiver sous la table" a été créée au Théâtre Flamand de Bruxelles en 1996, pour laquelle il a réalisé la mise en scène, le décor et les costumes. 

Il est aussi l'auteur avec Jean-Michel Ribes de "Batailles", spectacle représenté au Théâtre de l'Athénée en 1983. Il a créé les décors et les costumes de "Antoine et Cléopâtre" de Shakespeare au Staatstheater de Kassel," les Mamelles de Tirésias" à l'Opéra de Lille, "la Flûte Enchantée"  de Mozart à l'Alto Theater d'Essen," Vinci avait raison" au Théâtre Expérimental de Bruxelles, spectacle dont il a signé également la mise en scène.

En 1992, il a mis en scène et créé décors et costumes de"Ubu Roi" d'Alfred Jarry au Théâtre National de Chaillot. 

Au cinéma, il a travaillé comme acteur dans Nosferatu de Werner Herzog, Un amour de Swann de Volker Schlöndorff, comme dessinateur de"la Lanterne magique" du Casanova de Fellini et comme réalisateur de "la Maladie de Hambourg" avec Peter Fleischmann et Otto Jägersberg, et "Marquis" avec Henri Xhonneux.

En 1994, un film de Gerhard Thiel "les Rêves de Topor" a été diffusé sur ARTE dans le cadre d'une soirée Théma.

Roland Topor a obtenu le Grand Prix des Arts de la ville de Paris.

Ricochet

   

Mots de l'auteur :  Jean-Michel Ribes

Est-ce difficile d’écrire à deux ? C’est quelque chose que je n’aurais pas pu faire avec quelqu’un d’autre que Roland Topor et que je n’ai fait avec personne d’autre. Nous avions une vraie complicité, les mêmes choses nous faisaient rire. Nous travaillions dans une sorte de jaillissement où nous nous répondions l’un l’autre dans une sorte de partie de main chaude où chaque idée de l’un, répondait ou s’ajoutait à celle de l’autre. Au départ j’avais écrit "Bataille navale", je le lui avais fait lire et il a écrit "Bataille au sommet" qui se passe à la montagne, qui vient ainsi comme une sorte de réponse ou de contrepoint. Il y a quelque chose d’étonnamment prémonitoire dans ce texte, qui raconte l’histoire de gens qui meurent au bistrot, car c’est ainsi que Topor a disparu peu après, dans un de ces endroits qu’il aimait tant et qu’il associe ici avec la mort. Une fois le principe de scènes de conflit enclenché, nous avons continué, chacun écrivant une fable et puis pour la dernière, "Bataille dans les Yvelines", nous nous sommes enfermés quinze jours chez lui pour l’écrire ensemble.

Pourquoi choisir une suite de formes brèves plutôt qu’une pièce ? La forme courte permet de mieux rebondir que la forme longue : il n’y a pas de psychologie, on n’a pas le temps de s’écouter parler. La brièveté convient bien à ces cinq conflits qui ont chacun leur dimension   propre : on commence avec la lutte des classes, on a une scène de ménage, puis un conflit métaphysique, un conflit plus intérieur lié à l’identité sexuelle et enfin une sorte de vaudeville, le conflit à trois avec le mari, la femme, l’amant.

L’univers de "Batailles" est plutôt déroutant, est-ce volontaire ? Le théâtre, c’est toujours déroutant, on ne vient pas au théâtre pour ne pas être surpris. Mais ce qui déroute sans doute dans "Batailles" vient d’abord de l’héritage surréaliste et dadaïste qui nous rend sensible aux choses cocasses, surprenantes, plus qu’à la psychologie ou à la morale...

Extrait d’entretien avec Jean-Michel Ribes réalisé à Paris au Théâtre du Rond Point le 29 janvier 2008, après le début des répétitions.

Entretien TV5 Monde 

    Distribution :         

  

     "Bataille Navale"

       Félix Blandaimé : Michel Vautrin

       Plantin : Willy Picard

     "Ultime Bataille"

      La Femme : Marie-Christel Chotin

                     ou Pascale Picard

     "Bataille au sommet"

      Michel : Christian Santoul

      Robert : Willy Picard

      La Serveuse : Pascale Picard

    "Bataille intime" 

      Elle : Nadine Varandal

      "Bataille dans les Yvelines"    

        Franck : Michel Vautrin

        Népo : Christian Santoul

        Irène : Joëlle  Thouroude

 

   

      Mise en scène : Nadyne Capelli

      Scénographie : Christian Santoul

       Musique originale : Grégoire Lancelot

        Atelier décor : Michel Vautrin

      Régie son et lumière : Laurent Lecoq 

      Assistante Régie : Claire Vella

      Visuels et mise en web : Christian Santoul

      Communication : Françoise Santoul

      

     Les comédiens :

                                                                   

            

                                                                     

Willy Picard

Pascale Picard

Marie-Christel Chotin

Nadine Varandal

Michel Vautrin

Christian Santoul

Joëlle Thouroude

     Diaporama :

" BATAILLES "

"Batailles" photos estebanj.free.fr

     La metteure en scène :

       Nadyne Capelli

Parallèlement à des études de lettres classiques, Nadyne Capelli a été formée à Grenoble par René Lesage. Elle a poursuivi une carrière de comédienne, de metteure en scène et de professeur de théâtre, en Afrique, en province et à Paris.

En 1998, elle est Sarah, dans la pièce de John Murrel, "Sarah ou le cri de la langouste" et obtient le prix d'interprétation féminine à Festhéa Tours. En 2004, elle tourne dans le long métrage "Tic" de Philippe Loquet, en 2007 dans "Une vie d'artiste" de Marc Fitoussi, et en 2008 dans la sitcom "Cinq sœurs" . 

Elle crée et anime pendant 10 ans, de 1988 à 1998, la troupe "Les Tréteaux de la Renarde", et monte plusieurs comédies musicales, dans le cadre scolaire, avec 280 enfants à l'Espace Jules Verne de Brétigny (91).

En 1990, elle entraîne une équipe d'improvisation pour les championnats d'Ile de France. En 2007, elle écrit et réalise "Un secret mal gardé", spectacle d'inauguration du centre culturel de Bruyères le Châtel. En 2008, elle met en scène "Les raisins de la discorde" à Etréchy.

Nadyne Capelli a, par ailleurs, enseigné la pratique théâtrale à "L’École des Moineaux" (16e), au cours de "Laurence le Dantec" (17e)  et  à "L'ASCH" de Bruyères le Châtel.

     Note  de la metteure en scène :

Cinq batailles, burlesques et grinçantes, avec en toile de fond ce fourre-tout appelé l'espoir, dans lesquelles Ribes et Topor nous démontrent que le sarcasme de la gaieté est la seule attitude à avoir envers la vie. 

C'est pourquoi, j'ai fait de cette pièce une bande dessinée scénique, et joué sur l'irrationnel.

     

 Le scénographe :

      Christian Santoul

Né à Carcassonne, il pratique très tôt les Arts Plastiques au soleil de l'Aude.

Après une inscription aux Beaux Arts de Toulouse, il "monte à Paris" .

D'abord enseignant, il devient psychopédagogue, puis psychodramatiste. La pratique du jeu dramatique comme thérapie l'amène à s'intéresser de plus près au théâtre qui le séduit parses trois "P" : Parole, Plastique, Psychologie.     


En 1990,  il offre aux "Tréteaux de la renarde" ses premiers décors pour "La Cuisine des Anges" d'Albert Hudson.

Après cette réussite, se succèdent les scénographies...

1992  "La petite Phèdre" de Jean Canolle.

1994  "Week-end" de Noël Coward.

1995  "Barbe Bleue" une création de Bernard Lafragette.

1996  "La Nuit du 16 Janvier" ("Coupable ou non coupable") De Ayn Rand.                               

1998  "Un Inspecteur vous demande" de J.B. Priestley.

1999  "Guitry, vous avez dit Guitry"  2 pièces de Sacha Guitry : 

 "On passe dans 8 jours" et "Un soir quand on est seul"

 2000  "Le Nombril" de Jean Anouilh. 

 2001  "Les Bons Bourgeois" de René de Obaldia.

 2002  "La Colonie" de Marivaux.

           "Meurtre au Saloon" création de Bernard Lafragette.

 2003  "Potins d'Enfer" de Jean-Noël Fenwick. 

           "Le Cimetière des Eléphants" de Jean-Paul Daumas.

 2004  "L'Amour des 4 Colonels" de Peter Ustinov.

           "Promenade chez M. Trenet", un café théâtre bâti autour d'œuvres 

           de Charles Trenet.                

  2005  Nadyne Capelli lui confie, pour la compagnie Nautilus, la scénographie de :

            "Capitaine Bringuier" de Pascal Lainé, puis suivent...

  2007  "Virginité" du même auteur.

  2009  "Célimène et le Cardinal" de Jacques Rampal.

  2010  "Dis moi OUI" de Déborah Helpert pour " Artistes Production ".

  2011  "12 Femmes pour une Scène" de Gérard Levoyer, 

  2012  "Comédie sur un Quai de Gare" de Samuel Benchétrit.

  2013  " Variations Énigmatiques" de Éric-Emmanuel Schmitt,

  2015  "Commissaire Badouz" de Guy Foissy.

  2017  " Batailles" de Jean-Michel Ribes et Roland Topor,

  2019  " Nos Femmes " de Éric Assous

  2022 "Molièrement  Vôtre" un florilège,  hommage à l'auteur.

     

Note d'intention du scénographe :

Quand on me demande de définir un " bon décor ", je suis tenté de répondre d'emblée qu’il n’y a pas de définition générale, puisqu’il n’y a pas deux créations pour lesquelles j’ai procédé exactement de la même manière, chaque spectacle se construisant sur les strates des précédents, se nourrissant d’eux.

Cependant, à la réflexion, même si les approches sont différentes, un " bon décor " recèle quelques invariants :

-IL est symbolique, générant des images qui éclairent l'appréhension des lieux, de l’époque, des personnages…

-Il est pratique, de manière à faciliter la mise en scène, le jeu des comédiens, le confort des spectateurs.

-Il est plastique, son esthétisme, à moins que ce ne soit le but recherché, ne doit pas heurter, indisposer le spectateur, mais au contraire lui proposer un espace agréable dans lequel il se sentira bien, qu'il fera sien.

-Il est discret, sobre, à la fois pour ne pas parasiter le texte, mais aussi pour permettre au spectateur d’entrer dans son propre imaginaire. Dans une bonne scénographie le décor sait se faire oublier.

-J'ajouterai, la singularité. Sans qu’il soit nécessaire de chercher l’originalité à tout prix, il est bon parfois de surprendre par une touche inattendue qui fait sens.

Bien sûr, l’approche créative varie selon les spectacles et les scénographes, ces concepts peuvent ne pas être à l’esprit lors de l’élaboration du décor, néanmoins, si l’œuvre fonctionne, on peut raisonnablement penser, qu’ils sont  présents. J’espère qu’il en sera ainsi dans "Batailles".

" Batailles " se compose de cinq pièces courtes, cinq fables qui forment un tout. 

Il s’agit donc de définir cinq lieux, de créer cinq atmosphères aussi différentes que la mer, la montagne, la campagne… desquelles, paradoxalement, doit se dégager un sentiment d’unité.

A cet impératif s'ajoute la difficulté matérielle de passer d’une bataille à l’autre, de changer de décor en un minimum de temps...

Afin de limiter les manipulations lourdes, j’ai opté pour l’utilisation d’un cyclorama (fond) segmenté en plusieurs images réversibles. Une seule étant visible en fonction de la pièce jouée.

Le sentiment d’unité est conféré par l'évolution, d'une pièce à l'autre, d'un même élément de décor, qui d'abord radeau, deviendra balcon, puis terrasse d'un chalet-bar, pour enfin disparaître..., laissant un vide le rendant encore plus présent. Des sièges rouges, identiques d’une bataille à l’autre, renforcent cette cohésion, formant un fil conducteur de même couleur.

Confortablement installé, à l’abri, le spectateur sera ainsi un témoin privilégié, un correspondant de "guerre", rapidement transporté d’un lieu à l’autre, d’une bataille à la suivante, prêt à vibrer à la moindre escarmouche…

Dispositif scénique :

 Dimensions utiles du dispositif complet :

Configuration idéale :

Largeur de mur à mur : 14,00 m (ouverture + pendrillons + circulations ).

Profondeur : 7,00 m derrière le rideau de scène.

Hauteur : 6,50 m sous porteuses.

Ouverture du cadre de scène : 7,50 m x 4,00 m

Petits plateaux :

Largeur de mur à mur : 7,50 m.

Profondeur maximum : 4,00 m.

Pour les lieux plus étroits (théâtre de poche ou particulier) :

Examen, au cas par cas, des fiches techniques des théâtres.

Matériel fourni par la troupe :

-3 panneaux réversibles

-2 chaises

- une table ronde (style bistrot)

- un radeau (en deux parties)

- accessoires : bouée, caisse...

Plans de scène  et vues 3D :

Bataille navale

Ultime bataille 

 

Bataille au sommet

Bataille intime

 

Bataille dans les Yvelines

Décor, photo :

Bataille navale

Plan de feux : 

Paroles de spectateur :

Dimanche j’avais en premier choix « Théâtre » au « Moulin des Muses ». 

« Batailles », pièce  concoctée par Jean-Michel Ribes et Roland Topor, ces auteurs ne pouvaient me laisser indifférent.

C’était la « Compagnie Nautilus » qui se chargeait de la mission de nous divertir. La mise en scène signée de Nadyne Capelli.

Une grande chef au service de spécialistes dignes des « meilleurs ouvriers de France », recette imparable dans la tradition des maîtres queux éternels qui peuplent ma bibliothèque, de celles qui ne se contentent pas de te faire « Pavlover » comme un chien de luxe mais t’assurent en crescendo et sans faux pas, un plaisir « goûteux » sur scène.

Rarement j’ai pu être aussi parfaitement en osmose. Ce genre : c’est mon truc. J’étais, je suis, j’en suis ressorti « un fan » …

Ça marche pour moi ! Depuis l’époque où j’ai découvert Topor dans mon magazine « Hara-Kiri » le digne émule du « Mad » US, c’était à chaque fois « fromages-dessert-digestif euphorisant ».

Cocktail bigarré du bon côté, « on the sunny side of the street » comme aurait dit Cabu. J’ai tout retrouvé comme des miettes de madeleine…

Entre les interprétations de : 2 naufragés sur un radeau qui n’abandonnent pas les différences de classe … Un amant hier encore suspendu aux lèvres mais dans cette situation, accroché dans le vide, au 11ème étage où son amour lassé lui dit « laisse tomber ». Une rencontre d’alpinistes … des- calés ! Une sympathique ébauche silencieuse de « passions » croisées, pleine de charme.

Un parc nostalgique et un retour de « consigne » quand tout le délice de la chose s’est estompé et que les « petits dossiers secrets » ressurgissent du passé … que la fin tourne alors en « eau de boudin » … en repartant avec elle.

J’ai eu comme le sentiment de ma première visite à « Disney Land » : j’y étais du dedans. Terrain adoré, connu, pratiqué donc bien à l’aise. Béat. Pris pour ce que je suis. Concerné.

J’aurais dû y venir samedi soir pour y retourner dimanche « vérifier si je n’avais pas rêvé ».


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