2023 :
printemps : la saison démarre bien. La météo clémente favorise le développement des colonies. Les hausses se remplissent.
2022 : saison particulièrement précoce après un hiver très doux. Récolte de printemps abondante avant une récolte d'été freinée par la sécheresse.
Le frelon asiatique, plus présent que jamais, détruit de nombreuses colonies, parfois des ruchers entiers. Le déménagement des ruchers reste la dernière parade.
2021 : petite récolte, météo contrariante.
2020 : Encore une belle année, avec un printemps très précoce et généreux.
2019 : Belle année. Printemps pingre, été très généreux.
2018 : Belle année.
juillet : partie sur les chapeaux de roue, la récolté d'été s'arrête très tôt, dès le début du mois.
juin : au début du mois c'est l'heure de la récolte. Une des plus fructueuses depuis 10 ans.
Il n'y a pas de trou de miellée comme d'habitude. Les floraisons s'enchaînent , tilleul, trèfle, ronce. A la fin du mois les hausses sont à nouveau remplies.
mai : les pommiers, l'aubépine, les acacias regorgent de fleurs. Les hausses se remplissent.
avril : après un hiver humide, la chaleur permet à la végétation d'exploser. Les floraisons sont très, très abondantes. Les colonies d'abeilles grandissent de jour en jour.
mars : comme partout en France, le Calvados constate des pertes anormalement fortes à la sortie de l'hiver. 32% des colonies sont mortes (pesticides, frelon asiatique, famine...). Heureusement, les ruchers d'Olga sont préservés et sortent de l'hiver avec peu de pertes.
2017 : les fleurs fanent très vite à cause de la sécheresse. Les abeilles ne trouvent pas de nectar, la récolte de miel est faible. La plus mauvaise depuis 2008, mais les colonies restent en forme.
2016 : année moyenne.
2015 : année moyenne.
juillet 2014
Retour du soleil entrecoupé de nombreuses averses. Belle miellée sur les ronces et le trèfle abondants.
Récolte en fin de mois.
juin
Météo défavorable. Les butineuses restent bredouille et les colonies sont ua bord de la disette.
mai
Les colonies essaiment allègrement.
mars avril
Le printemps quasi estival donne un développement spectaculaire des colonies.
Février 2014
19 : L'épine noire est déjà fleurie.
La douceur des températures depuis le début d'année autorise une ouverture rapide des ruches. Tout va bien sur deux ruchers visités.
Janvier 2014
La tempête a renversé quelques ruches, sans conséquence.
Décembre 2013
L'heure du bilan. L'année 2013 s'avère une bonne année pour le Miel d'Olga, aussi bien pour le volume de la récolte que pour sa qualité. Le cheptel se porte bien.
La grande joie de cette année aura été, dans le cadre de l'ANC, le rucher-école avec une dizaine d'élèves très motivés, assidus et surtout sympa. Ils sont armés pour conduire leur propre rucher.
Douce, cette fin d'année a permis aux abeilles de faire quelques vols de propreté pour se soulager.
Novembre
Concours des miels de Normandie. Là encore, les miels du Pays d'Auge récoltent presque tous les lauriers.
Il est vrai que ces miels sont parfaits : taux d'humidité , taux HMF, délicieuses saveurs....
Octobre
Mise en hivernage. Le nombre de colonies reste stable. Elles sont en forme, suffisamment populeuses et les provisions suffisantes pour affronter l'hiver.
Septembre
Les miels du Pays d'Auge récoltent presque tous les lauriers du concours des miels du Calvados. En tant que président du jury, le Miel d'Olga ne peut participer.
Août
15 : Récolte d'été, finalement abondante. Alors que partout en France, la récolte reste faible, le Pays d'Auge s'est montré généreux avec des miels subtils aux saveurs mentholées du tilleul ou délicieusement amères du châtaignier
Juillet 2013
La végétation a toujours 3 semaines de retard. Première petite récolte d'été.
Juin 2013
21 : quelques essaimages
18 : mise en pots de la récolte de printemps.
15 : récolte de printemps
8 : temps estival depuis le début du mois. Les colonies arrivées à maturité profitent de l'abondante floraison. Belle miellée.
mai 2013
Le printemps s'est fait attendre, la récolte s'annonce hypothétique.
Avril 2013
17 : fin de la visite de printemps. quasiment toutes les colonies ont traversé l'hiver mais leur développement a trois semaines de retard, comme la végétation : en général 3 ou 4 cadres de couvain, parfois 2, parfois 5 et une championne qui a besoin d'une hausse.
14 : Enfin, une belle journée. enfin la visite de printemps
13 : l'hiver a joué les prolongations. Depuis un mois, il fait froid, les températures ne dépassent pas 8°, impossible de butiner. La végétation a pris trois semaines de retard.
Mars 2013
10 : la semaine a été printanière, toutes les colonies se sont activées et ont pu renouveler leurs réserves sur noisetiers, ajoncs, perce-neiges...mais attention l'hiver est de retour.
5 : même beau temps que la veille, les ruchers s'animent, les butineuses rentrent du pollen. visite d'une quinzaine de ruches. Elles ont du couvain, de la surface d'une paume de la main, sur un ou deux cadres,
4 : belle journée ensoleillée, 12°, remise en place des ruches renversées. Apparemment pas de dégâts mais il faudra surveiller le comportement des reines.
2 : deux ruches renversées par un sanglier ou une vache sur le rucher de Lisieux. Il fait trop froid pour les remettre en place.
Février 2013
18 : visite rapide des ruchers. Toutes les colonies sont vivantes mais il faudra attendre le printemps pour s'assurer qu'elles sont viables.
11 : belle journée ensoleillée. Malgré la fraîcheur (8° à l'ombre), le rucher s'anime pendant deux bonnes heures. Vol de propreté et quelques butineuses rentrent avec du pollen de noisetier. Toutes les colonies de St Martin sont vivantes.
Janvier 2013
20 : épisode neigeux, calme plat.
Un éleveur, me demande du miel de Thym pour soigner la bronchite de son cheval. Le miel d'Olga serait tout aussi efficace mais hélas le stock est épuisé.
18 : le froid est enfin arrivé cette semaine, plus sain que l'humidité. Dans les ruches, la grappe d'abeilles se resserre pour se tenir chaud.
11 : après plusieurs semaines d'absence le soleil perce vers midi et les abeilles en profitent pour tournoyer à proximité du rucher. C'est le vol de propreté qui leur permet de se soulager.
Les colonies vont bien en cet hiver très humide et particulièrement doux. Les abeilles préfèrent un froid sec.
Campagne de lutte contre le varroa.
Les chatons ont investi les noisetiers
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Bilan 2012
Très mauvaise année au niveau des récoltes et fécondations difficiles. Une année à oublier.
automne 2012
Le cheptel aborde l'hiver en bonne santé, avec des réserves de nourriture satisfaisantes.
été 2012
Temps maussade. Les fleurs secrètent peu de nectar. La récolte de miel se cantonne à la moitié d'une année normale. Heureusement, la qualité est là : belle cristallisation fine, couleur ambrée, saveur subtiles. Le rucher de Lisieux a produit un étonnant miel de basilique.
L'élevage a permis de remplacer les reines non fécondées et sauver les colonies menacées.
Campagne de lutte contre le varroa.
printemps 2012
Les hausses restent vides, récolte quasi inexistante. Les jeunes reines sont rarement fécondées.
Installation d'un nouveau rucher à Lisieux.
avril 2012
11&12 : malgré la fraîcheur, les belles éclaircies dynamisent les butineuses.
Poiriers, pissenlits, crucifères fleurissent.
10 : le volume de couvain n'a pas augmenté. Les colonies n'ont pas encore élevé de mâles.
Début de mois froid.
mars 2012
Le premier trimestre s'est montré particulièrement sec. Quelles floraisons aurons nous au printemps ?
30 : la 2ème quinzaine du mois a été chaude. Les butineuses ont largement profité de la floraison des saules.
19 : visite de printemps. Tout va bien. bilan de l'hivernage : 32 colonies en forme, 2 colonies bourdonneuses, une morte et une trop faible.
Le froid a ralenti la ponte des reines. En général on a 3 ou 4 cadres de couvain par colonie.
février 2012
24 : journée ensoleillée, 13°, rentrées de pollen (crocus, noisetier, perce-neige).
22 : depuis quelques jours, avec le redoux, les abeilles sortent faire leurs vols de propreté
Début de mois glacial.
janvier 2012
RAS
Bilan 2011
L'année exceptionnellement chaude et sèche, mais avec un mois de juillet froid et humide, a fortement modifié le comportement habituel des colonies et parfois surpris les apiculteurs :
récolte de printemps précoce et abondante,
récolte d'été faible,
faibles réserves de miel dans les colonies pour aborder l'hiver,
peu d'essaimage,
ponte des reines sans interruption, et tardive,
forte pression du varroa.
Novembre & décembre
Fin d'automne chaude et sèche. Les abeilles sont beaucoup sorties pour la saison. Les fleurs devenant très rares les butineuses ont plus consommé que récolté. Les réserves de miel ont baissé dans les ruches.
assemblée générale de l'Abeille Normande du Calvados, Jacques devient le trésorier de cette organisation apicole.
jury de la finale du concours régional de Normandie.
Octobre
La douceur a permis aux abeilles de conforter leurs réserves avant d'aborder l'hiver.
8 : juré au concours de miel de la Manche.
2 : Après la visite d'automne, on n'intervient plus dans les ruches avant mi-février. On se contente d'observer le comportement des colonies au trou de vol. Avec le beau temps, les butineuses s'activent pour récolter pollen et nectar surtout de lierre, mais aussi asters et autres fleurs de jardins.
Septembre
Largement ensoleillé, chaud et faiblement pluvieux, septembre a compensé l'été pourri.
Les abeilles ont pu rétablir l'équilibre dans leurs colonies.
26 : visite d'automne du rucher de St Martin avec M. Huckert et ses conseils avisés.
Toutes les colonies sont belles en population, couvain et réserves de miel. La ruchette avec la colonie de la Folletière est très dynamique et paraît bien lancée.
25 : juré au concours de miel de l'Orne.
20 : visite d'automne des ruchers de Glos et St Laurent. fin de la campagne anti-varroa.
Le beau temps est revenu depuis une semaine. Les butineuses sont très actives et profite du lierre.
Une colonie malade est supprimée, toutes les autres sont en forme.
17 : jury du concours de miel de la foire de Caen.
16 : capture d'une colonie sauvage sous un plafond de grenier, dans une maison abandonnée depuis une dizaine d'année, à la Folletière.
1ère quinzaine fraîche et humide. L'été aura été pourri.
Août
Comme le mois précédent, août a été humide et frais, peu ensoleillé.
18 : visite des ruchers. Contrairement à d'habitude, les reines n'ont pas stoppé leur ponte. Les colonies sont fortes mais les réserves de miel faibles.
3 : capture d'un essaim installé dans une cavité de compteur d'eau. Tout-à-fait exceptionnel puisqu'en principe les essaims ne s'installent pas au niveau du sol. Il était là depuis juin.
2 : les vignes-vierges sont inondées de butineuses.
1 : fin de l'empotage du miel, nettoyage de la miellerie.
Début de la campagne de lutte contre les varroas.
Juillet
Deux fois plus humide que la normale, juillet s'est montré plus frais. Les abeilles ont frôlé la disette.
30 : journée sanitaire du GDSA.
29 : récolte de St Laurent et Montreuil
Un chasse-abeilles posé à l'envers : les avettes étaient restées dans la hausse, il a fallu les secouer manuellement.
Sur une colonie orpheline, le chasse-abeilles n'a pas fonctionné non plus, évidemment. La mère n'était pas là pour les appeler à descendre.
27 : récolte de St Martin et Glos.
26 : pose des chasse-abeilles à St Martin.
17 : mauvais temps, manque de fleurs, disette. Prévisions météo pessimistes. La récolte d'été prévue la semaine prochaine sera reportée.
4 : visite des ruchers. tout va bien, mais le niveau de miel stagne.
Juin
Le temps a été conforme aux normales saisonnières mais n'a pas permis de combler la sécheresse.
La récolte d'été s'annonce maigrichonne.
20 : jusque là, visitées seulement par quelques bourdons, les lavandes sont maintenant occupées par les abeilles. Vent de sud-ouest & 21°.
19 : Une colonie orpheline secouée dans l'herbe à Glos. Ses ouvrières sont venues renforcer le petit essaim capturé le 15.
Le beau temps du début de semaine n'a pas duré assez longtemps pour stocker du miel dans les hausses. Mais il y a encore de l'espoir : châtaigniers, tilleuls, trèfles, ronces fleurissent abondamment.
16 : un essaim signalé à Pretreville s'avèrera être un nid de guêpes.
15 : capture d'un essaim le matin et un autre l'après-midi
13 : depuis un mois, les colonies consomment ce qu'elles récoltent. La semaine dernière, fraîche et humide, laisse espérer de nouvelles floraisons et une miellée.
5 : il pleut, enfin. La sécheresse va reculer, le nectar ne sera pas tari.
4 : "A la Ste Clothilde, de fleur en buisson, abeille butine à foison".
3 : l'embaumant chèvre-feuille est abondamment prostecté par les butineuses pour son pollen.
1 : les ronces commencent déjà à fleurir.
Mai
La sécheresse persiste en mai avec 251 heures d'ensoleillement contre 192 normalement.
Il n'a plu que 11mm contre 61mm. Les fleurs se sont raréfiées et les rentrées de nectar ont chuté.
30 : capture d'une colonie dans le creux d'un frêne têtard. Quelle aventure ! Voir les photos.
26 : visite des ruchers, les réserves de miel sont bien entamées.
24 : les fleurs se font rares, trou de la miellée.
22 : maintenant fanés, les acacias ont beaucoup fleuri cette année.
12 : fin de l'empotage, nettoyage de la miellerie.
10 : récolte du rucher de Glos. Pendant ce temps, les abeilles visitent les acacias, mais aussi le thym.
Constitution de 2 essaims artificiels et capture d'un essaim chez Georges.
9 : 17h00, les mâles en quête de vierges, rentrent bruyamment au bercail, frustrés.
8 : dès 7h00, il fait 16°, les butineuses sont déjà au travail.
Mise en pots de la récolte
7 : récolte des ruchers de St Laurent et Montreuil
Capture d'un Essaim chez Bataille.
6 : récolte du rucher de St Martin.
5 : pose des chasses abeilles.
4 : réunion de mise en place du concours des miels de Normandie.
1er : Le muguet est fané. Le sureau est en fleurs avec un mois d'avance. L'acacia aussi ; lessivé par les pluies orageuses, il n'apportera rien aux abeilles.
Capture d'un essaim sorti du rucher de St Laurent.
Avril
Le mois d'avril a été estival, avec 257 heures d'ensoleillement contre 147 normalement.
Les températures ont suivi : environ 5° au-dessus des normales et il n'a plu que 4mm contre 48mm. Les abondantes floraisons ont connu jusqu'à un mois d'avance et le très beau temps a permis à nos abeilles de butiner goulûment. Les colonies sont fortes et produisent du miel à tout-va. Du jamais vu de mémoire d'apiculteur normand.
Le revers de la médaille : risque de disette si la sécheresse continue.
30 : division des colonies au rucher-école. Temps orageux, les dards s'activent.
29 : Les abeilles semblent apprécier les fleurs de rhubarbe.
Visite des ruchers, ajout de quelques hausses.
28 : net rafraîchissement des températures autour de 10°. Les butineuses restent à la maison.
27 : ça mielle toujours.
26 : constitution d'un essaim artificiel.
Appel d'un couple d'agriculteurs pour un essaim sauvage arrivé dans un arbre creux. Après discussion nous décidons de laisser cette colonie vivre sa vie dans cet arbre. En passant, nous entendons le bourdonnement d'une multitude d'abeilles butiner des houx en fleurs. Ce couple respectueux de la nature n'utilise pas de pesticides.
25 : capture d'un essaim sauvage dans une ruchette-piège à St Denis. Pose de hausses.
24 : l'Aubépine est en fleurs. Capture d'un essaim du rucher de St Laurent.
23 : pose de hausses.
22 : essaimage d'une colonie à St Martin. Essaim rattrapé dans les ronces.
20 : pose d'une 2ème hausse sur quelques ruches prolifiques.
19 : capture d'un premier essaim sauvage dans une ruchette-piège, chez Georges.
16 : ça mielle, ça mielle.
15 : Visite des ruchers, les colonies ont explosé : pose des hausses et des cadres à étirer. Fin des traitements anti-varroas.
14 : retour au bercail. La nature a explosé. Les feuilles sont apparues sur les arbres et les floraisons se sont multipliées. Colza , pissenlits, pommiers colorent le Pays d'Auge. Avec le temps ensoleillé, les abeilles ont dû profiter de cette offrande. Il va être temps de faire des essaims.
3 : entendu le coucou à Rennes où Colza et pommiers sont déjà fleuris.
2 : l'apiculteur voisin, professionnel, a posé des hausses sur toutes ses ruches.
1er : récolté 200kg de miel ! Pour assaisonner le poisson.
Mars
Très généreux en mars, le soleil a hâté les floraisons. Les abeilles ont profité de l'aubaine pour se développer précocement.
28 : Les pruniers fleurissent à leur tour. Vu la première hirondelle : fera-t-elle le printemps ?
Pose de hausse sur quelques colonies très développées.
27 : semaine particulièrement ensoleillée permettant aux abeilles de rentrer de grosses provisions.
Les colonies se développent, les ruches seront bientôt pleines. Introduction de cadres vierges.
Constitution d'un essaim sur la plus forte colonie : y aura-t-il des mâles pour féconder la reine ?
26 : floraison des poiriers et des premiers pissenlits.
21 : les colonies orphelines ont été secouées sur l'herbe. Elles vont se répartir dans le rucher.
20 : semaine plus fraîche sous un ciel couvert, mais les abeilles ont profité de 2 belles journées ensoleillées pour aller faire leurs courses.
17 : bilan de l'hiver : aucune des 34 colonies n'a péri, mais 4 sont devenues orphelines.
16 : visite de printemps des ruchers de St Laurent et Montreuil. Tout va bien.
15 : visite de printemps du rucher de Glos. Tout va bien.
13 : la semaine a été douce avec un ciel souvent couvert. Les butineuses ont profité de chaque éclaircie pour aller faire leurs provisions. Fortes rentrées de pollen.
9 : l'épine noire (le prunellier) fleurit à son tour.
8 : par une belle journée ensoleillée, 15°à l'ombre, visite de printemps du rucher de St Martin :
contrôle de la santé des colonies, de leur taille, des réserves de miel, de la ponte de la reine.
Quelques ruchettes ont perdu leur mère, elles sont orphelines. Les autres vont bien.
6 : malgré des gelées matinales, des températures atteignant à peine 10° sous abri, mais des journées trés ensoleillées, nos abeilles butinent avec frénésie depuis le début du mois. Elles rentrent moult pollen. Quelle joie !
4 : les saules-marsault commencent à fleurir. Très mellifères, ils constituent la première source d'approvisionnement au mois de mars.
1 : réunion de mise en place du concours des miels de Normandie.
Février
Particulièrement doux (2,5° au dessus de la normale), le mois de février a permis aux abeilles de nombreuses sorties d'où elles ont rapporté de belles provisions de pollen.
26 : dégustation de miels avec les amis apiculteurs de l'Eure.
24 : réunion Abeille Normande du Calvados.
19 : les forsythias fleurissent, mais sans nectar, ils ne seront pas visités par les abeilles.
18 : initiation à la fabrication d'hydromel.
16 : toutes les familles semblent en bonne santé. Elles rentrent du pollen.
traitement Apivar contre les varroas (St Laurent & Montreuil).
De manière expérimentale, décide de ne pas traiter 4 colonies qui présentaient 0 chute de varroa.
14 : Les chutes naturelles de varroas restent faibles depuis le début de l'année (moins de 1/jour/ruche). Sauf une colonie qui en a 3/jour.
Traitement Apivar contre les varroas (St Martin & Glos).
13 : l'apiculteur était parti en vacances. Ses protégées ont dû profiter de la douceur de cette semaine
pour aller récolter le pollen des noisetiers.
Les ajoncs, les crocus, perce-neiges, primevères, bois-jolis, sont en fleurs. La végétation semble en avance.
9 : rencontré un apiculteur savoyard qui a perdu de nombreuses colonies.
Janvier
28 : l'hiver est bien là, calme plat.
19 : retour de l'hiver et des gelées. Dans chaque ruche, la grappe d'abeilles se resserre pour se tenir chaud.
16 : encore une journée très douce, les abeilles sortent, quelques perspicaces ont trouvé du pollen de noisetier. Les reines ont repris leur ponte.
15 : les chutes naturelles de varroas sont rares, 0 ou 1/ ruche/ semaine.
14 : quelques courageuses butinent les roses de Noël (pollen jaune pâle) à 9h00, par 9°, voir pièce jointe
9 : pose d'un lange sous chaque ruche de façon à compter les chutes naturelles de varroas.
8 : refroidissement, elles ne sortent plus mais elles ont fait le ménage, quelques dizaines de cadavres évacués devant les ruches. Toutes les colonies sont vivantes.
Les colonies un peu faibles en miel ont reçu 2,5 kg de candi par précaution, pour ne pas mourir de faim
7 : il fait encore doux, elles recommencent et tourbillonnent gaiement.
6 : à la faveur du redoux (12°), les abeilles sortent abondamment réaliser leur vol de propreté.
5 :Depuis mi-novembre, l'hiver s'est montré rigoureux et enneigé. Nos protégées sont restées claustrées à l'exception de quelques sorties le 12 décembre. Elles sont une dizaine de milliers dans chaque ruche, groupées sur 1/4 à 1/3 du volume.