Extrait Dossier du Gard !

( ils ne m'évacueront pas à l'hôpital pour me retaper, j'ai pas fait tout ça pour rien s'ils ne l'ont pas compris, tant pis pour moi ) !

Ce qui parait impensable, "d'après Monsieur le Directeur de la CPAM", hier soir il me précisait devant un journaliste que ce n'était plus de son ressort, qu'il me fallait faire une demande de procédure d'aggravation de l'A.T du 19/06/1990, qui aurait durée plusieurs mois comme la première et qu'ensuite je serais convoqué devant une expertise effectuée par le médecin conseil. Et comme par hasard, il aura fallu que je mette devant la porte de la CPAM ma vie en danger, pour qu'en quelques heures cette demande soit déposée et que les expert acceptent de m'expertiser quelques heures après sur place  ?

  Mercredi 13 févier 2002 14 heures :

A 14 heures le docteur madame T....... que je connaissais, accompagné du docteur "  ? ", dont je m'excuse j'ai oublié le nom se sont présentés à la tente avec un fauteuil roulant.

J'ai accepté de les suivre, leur montrant la seringue fixée à ma main, les prévenant que si c'est un piège, cela se terminera.

Le docteur madame T....... dont je reconnais sur le site que c'est la seule personne qui au lieu comme les autres de suivre un code était humaine, allant jusqu'à me dire que mon dossier avait été mal géré et me conseiller sur les démarches à faire pour retrouver mes droits, mais c'était trop tard, le docteur T....... reprenait mon dossier en janvier 2002 et résigné j'avais déjà baissés les bras et ne voulais plus faire aucune demande et me battre encore plusieurs mois.

Donc les deux médecins conseils, ma main droite crispée sur le piston de la seringue, après un parcourt dans les sous sols, ascenseur, me conduisirent dans un local médical de la CPAM.

  Installés, il me laissèrent raconter sans m'interrompre tout mon dossier, les abus dont j'ai été victime tout sans exception dont eux même reconnurent " les incompréhensibles décisions et démarches ".

Puis ils m'examinèrent et se retirèrent un long moment pour fixer le taux d'incapacité dans une autre pièce, m'ayant tendu un verre d'eau et des morceaux de sucre me demandant de boire que cela allait s'arranger.

        J'ai refusé tant que je n'aurais pas le résultat :

S'il est honnête et impartial, je suis d'accord pour cesser, sinon je poursuis mon action jusqu'à ce que cela se finisse !

        Lorsqu'ils reviennent, les docteurs m'indiquent que le nouveau taux d'invalidité passe de 10% à 30%, cela faisait donc 30% plus le deuxième accident du 16/10/1996 à 10 % = 40 %.

Précisant que à présent j'avais la pension d'invalidité pour les deux embolies et les problèmes respiratoire.

Mais cela n'avais rien à voir, nous étions là pour statuer sur mes problèmes lombaires relatifs aux deux accidents du travail qui déjà avant  les deux embolies et les problèmes respiratoire dans leur rapports les médecins reconnaissaient que je ne pourrais plus reprendre une activité professionnelle et vivre une vie normale.

Donc c'est sur cette base que devait être fixée mon taux sans faire l'amalgame avec les deux embolies et les problèmes respiratoire survenu seulement en 2001.

Sur cette base, je continuais mon action !

J'ai vécu une chose que je n'aurais jamais cru possible, les deux docteurs repartirent en discuter entre eux, puis revinrent plus tard et m'annoncèrent que le taux d'invalidité de mon A.T du 19/06/1990 était porté à titre exceptionnel en accord avec la direction à 67%, plus 10 % le taux d'invalidité de mon A.T du 14/10/1996  étant de 10 % cela faisait 76% d'incapacité accident du travail pour mes lésions lombaires. 

En complément du statut d'invalidité et la pension qui à été attribué lundi pour les deux embolies et les problèmes respiratoire lundi 11 février 2002.

        Aucun cadeaux ne m'a été fait, mais non d'un chien !

Pourquoi faut il se défendre, négocier sa santé, je ne comprend pas que ces chose là ne soit pas naturelles la première fois.

Une maladie, une invalidité, la mort, tout cela personne n'a aucun recours pour le négocier, nous le subissons tous la CPAM inclus.

Alors pourquoi être obligé de quémander, de négocier ?

  Madame le docteur T......., Monsieur le docteur ( je m'excuse trop perturbé je n'ai pas retenu votre nom ), je vous remercie tous deux sincèrement pour votre neutralité, pour avoir écouté un malade, pour avoir rétabli les droits d'un assuré social !

Je n'ai pas de raison de douter de ces deux médecins en qui pour la première fois j'ai posé ma confiance. 

J'ose y croire bien que n'ayant pas continué mon action jusqu'à ce qu'il me soit délivré sur place les notifications de leur décision, et de la pension d'invalidité, plus celle complémentaire, j'ai accepté d'absorber quatre verres d'eau d'affilés des sucres puis retirer de ma main la seringue dont ils ont eu confirmation avec mille précaution lorsqu'ils ont vidés le liquide d'acide dans l'évier que j'étais déterminé à aller jusqu'au bout à la moindre intervention contre mon gré !

  Mercredi 13 févier 2002 17 heure : 

  Tout le monde est soulagé que cette situation se termine, moi même ayant du mal à réalisé n'y croyant pas, les médecins m'ont reconduit retrouver ma femme les larmes aux yeux et heureuse que cela se termine, elle à pliée la tente, pendant ce temps une personne est allé cherché une carafe d'eau glacée au bar proche,  j'ai bu quatre verres l'un derrière l'autre et nous sommes rentrés à la maison à 17heures 30.