La  CPAM se défend !

La " Sécu " se défend et je respecte

Nous sommes citoyens d' un Pays qui a des valeurs, surtout sur le plan Social.

Cependant, je dois réagir à la défense de la caisse primaire assurance maladie et propos 

tenus dans les colonnes du journal Sud-Ouest !

http://www.sudouest.fr/2017/11/16/le-sexagenaire-s-enchaine-aux-grilles-de-la-cpam-3952224-3239.php

             

       Titre : L' étonnement de la CPAM

        Du côté de la Caisse Primaire d' Assurance Maladie, à Bordeaux, on se dit << très étonné >> par l' action d' Alain Padovan.

        << Ce dossier est suivi par le conciliateur de la CPAM. Les démarches pour une réévaluation de sa rente ont abouti.

        Cela a été notifié à M. Padovan par courrier le 3 novembre dernier.

        On a essayé de le contacter une dizaine de fois hier ( mardi, NDLR ).

        Il n' a jamais répondu >>, explique à la CPAM Anne Edouard, directrice adjointe à la CPAM qui a reçu, hier, le retraité.

        Concernant les droits sociaux et la rente, << il n' y a jamais eu aucune rupture. La rente a toujours été versée >>.

        Ce que ne conteste pas le retraité. Mais selon lui, elle n' est pas évaluée à sa juste mesure.

        << Si le taux réévalué de la rente ne convient pas, il a le droit, comme n' importe qui, de le contester devant le tribunal des             contentieux de l' invalidité >>, conclut la directrice.

        Ce à quoi se refuse Alain Padovan.

Alors croyez bien que je ne vais pas resté muet !

Je n' ai pas pris pareille décision comme ça pour amuser la galerie...

        En effet, cette dame a accepté de me recevoir en compagnie de la responsable du service médical.

        Et pourtant elle a beaucoup , beaucoup de travail. Mais moi aussi je suis son travail !

        D' entrée, mon étonnement une fois encore que le directeur en personne ne soit pas là, comme je l' avais réclamé à plusieurs reprises dans différents courriers.

        Et plus particulièrement lors du récent contrôle médical ( effectué à ma demande ).

        J' attire votre attention et vous en conviendrez surement que lors de ce contrôle, me trouvant sur place à Bordeaux,

        il lui été plus facile à lui sur les lieux, de se déplacer plutôt que moi, hier dans l' état que je me trouvais !

        Attention :

        Je dois précisé que madame la sous-directrice n' est pas un simple " doublon ", qu' elle a  un poste important et qu' elle n'est pas n' importe qui...

        Grosse lacune chez moi, j' ai oublié le nombre de fois que madame l' aura répété ... En bref ce fut l' entrée en relation !

        Elle a compris, pas compris je m' en moque mais que les choses soient claires, justes et surtout vraies.

        Je pense sincèrement n' avoir plus rien à attendre, je lui ai même précisé que si elle voulait je lui donnais la permission de tout bloquer et supprimer ma rente.

        Aujourd' hui je ne suis pas un mendiant ( respect à eux ) mais demain peut-être, grâce à leurs décisions ...

        MOI je suis un homme honnête, j' ai travaillé, cotisé durant 30 ans !

        De plus, depuis 10 ans je travaille bénévolement pour la CPAM, recherches & copies de documents qu' ils ne trouvent plus ...

        L' erreur est humaine, bien entendu mais il serait bon de savoir le reconnaître en temps utile !

        Ne pas faire plus de mal à un patient qui dans de telles circonstances, ne peut se soigner sereinement, avec pourtant des traitements déjà lourds à eux seuls !

 

        Mais revenons à la défense CPAM : 

    - Le Conciliateur, une dame fort sympathique et disponible a effectué son travail, uniquement dès lors que les choses se sont compliquées ( depuis seulement 1 mois ) après mes différents courriers sans réponse à monsieur le directeur de la CPAM, si ce n'  est la veille du jour J !

        Dans ces courriers justement il été bien mentionné que je ne voulais plus d' intermédiaires, que j' avais entre les mains un dossier semblable au mien qui avait abouti après réunion et concertation entre Directeur & médecin conseil.

        Que contrairement à ce qu' il semble affirmé, c' était possible ...

        A croire que ce qui est possible dans le Gard ne l' est pas en Gironde, SURPRENANT !

        Les Intervenants du Gard sont mieux disposés sans doute ou connaissent d' avantage leurs possibilités ...

    - Pour ce qui est des coup de fil au nombre de 10 ! Un malade a des soins et justement le jour en question j' avais rendez-vous pour mes séances Kiné & Orthophoniste.

       Pourquoi me justifier dès lors qu' ils devraient le savoir et qu' en fait, ils ne réagissent qu' une fois qu' ils s' inquiètent ( pour eux ), de quoi ?

    

      C' est vrai que, ce qui va se passer si cela continu, toutes les pièces scannées vont paraître bientôt sur nouveau site !

      Ils ne pourront pas l' empêcher c' est une personne neutre qui a les préparatifs du site en question ...

      Au moins ils auront ainsi, toutes les pièces qu' ils ne trouvaient plus, pratique surtout car sans faire l' effort de rechercher.

     Aujourd' hui, face aux erreurs de l' administration, si vous tentez de vous défendre c' est la Police & les Gendarmes que l' on vous envoient ! Avec en prime l' ambulance pour transport vers l' hôpital psychiatrique ! 

    Mais oui c' est ainsi, trouble de l' espace public, mais j' ai gêné qui ?

   

     Il y en a qui perturbent toute l' année le sol Français et sont toujours en place ...

     Reconnaissez qu' à Langon comme dans d' autres villes, il n' est pas toujours facile de faire ses courses sans être accosté, racketté, insulté, volé, ou agressé !

    En ce qui me concerne, je présente mes excuses à ceux que j' aurais pu perturber. Merci de bien vouloir les accepter.

            La CPAM est étonné de mon Action ! Quel humour ...

    Bon, face à des discours qui démontrent bien que personne n' a vraiment envie de plonger la tête, à fond dans le dossier à moitié vide, n' est-ce pas ?

    1/ En ce qui concerne la réévaluation de la rente qui a abouti, et qui m' a été notifiée le 3 novembre dernier ( vous voyez bien que tout est récent, que c' est moi qui ai fait accéléré les choses ) !

       Le Médecin Conseil n' était pas en possession du certificat médical d' aggravation détaillé qui avait été adressé le 27/05/2017 à son collègue, médecin conseil le Docteur ANTONNIAZI, par recommandé AR.

        

        Encore une fois EGARE, PERDU, comme vous voulez mais toujours pas de chance le pauvre Alain Padovan !

        Heureusement, j' avais sur moi une copie, elles en ont pris note ... Encore moi qui travaille pour la " Sécu ".

    2/ Ils ont essayé donc de me joindre une dizaine de fois ( la veille de mon action, ça dérange pas vrai ? ) durant un, deux, trois mois voire 10 ans JAMAIS ( si ce n' est pour réclamer des pièces qu' ils avaient déjà, mais ... ) !

       

        Alors si ce n' est pas être Gonflés tout de même ... Je n' y connais plus rien.

        Je le répète et oui, un malade a des soins ! Mais comme vous le comprendrez, de toute manière je ne suis pas disponible la veille de l' ultime échéance.

       Croyez-vous sincèrement que l' on peut resté à s' amuser au téléphone alors que s' est sa Vie que l' on met en jeu le lendemain ? 

       D' ailleurs je n' avais pas à répondre, c' était presque m' insulter que de réagir ainsi la veille ( ne pensant qu' à eux ) après tant d' années de souffrance ( leur image avant tout et la couverture ) !

        Venons-en maintenant au point essentiel : Les droits sociaux !

        << il n' y a jamais eu aucune rupture, la rente a toujours été versée >>, ce que je n' ai jamais contesté; 

        Mais par contre OUI,  elle n' est pas  évaluée à sa juste mesure.

        << Si le taux réévalué de la rente ne convient pas, il a droit de contester devant le tribunal des contentieux de l' invalidité >>         Ce à quoi je refuse c' est vrai ! Ils avaient la possibilité de solutionner rapidement mes revendications. Là sur place ...

    

         Cela s'est fait dans le Gard à TITRE EXCEPTIONNEL, Elles ne peuvent pas ou ne savent pas !

        

        Alors pourquoi ? Je sais que même certains d' entre-vous se posent la question de savoir pourquoi un tel acharnement et risques, pour réclamer des droits, bien qu' ayant pu bénéficier des remboursements soins et paiements réguliers de la rente.

        Vous serez peut-être plus compréhensifs après mes explications ci-après !

        Voila, au début de la prise en charge de mon accident du travail, j' ai été reconnu en incapacité sans reclassement et donc licencié 1998.

        Avec possibilité d' inscription ASSEDIC ! Ce qui sera fait jusqu' au 31/01/2001.

        Dans l' attente des différents recours,  devant la Commission amiable, le T A S S, le T C I & C N I T

        pour obtention rente au taux de 10%,  30%,  50% puis 5% supplémentaires ( coefficient Professionnel ) soit 55% au total.

        

        Croyez moi ces différentes étapes sont stressantes, épuisantes et ont un coût si vous vous faites assisté, mais préférable car sinon ni vu ni connu ! Magouilles des couloirs, malade mais pas dupe.

        Dès lors, la caisse prévoyance de mon employeur prend en charge la différence salaire ( dès le taux de 55% pas avant ), pour rappel c' est un accident du travail.

        Je suis quelque peu tranquille et ne me soucie de rien, je me soigne sereinement.

        Les remboursements soins sont payés, ma rente aussi donc pas trop d' ennuis sur le plan financier.

        Cela même s' il aura fallu se démener pour être reconnu en aggravation AT pour 50% + 5% Coefficient Professionnel.

       Hélàs, en 2003 mon épouse tombe malade à son tour et cesse son activité de commerçante.

       Ayant bénéficié durant 4 ans supplémentaires de la couverture RSI. Ce n' est donc qu' en 2007, qu' elle demande à être rattachée à moi.

        

        IMPOSSIBLE : Je ne figure plus sur les écrans, pas de dossier !

        

        Ma femme donc précise que je perçois mes remboursements maladie & accident du travail mais aussi une rente AT mensuelle.

        D' ajouter que je possède une carte vitale perso, laquelle est toujours validée et mise à jour régulièrement à la borne.

    

        Période d' inquiétude et craintes de devoir rembourser les soins versés voire autres, hôpitaux, examens, Infirmiers, Kiné, VSL etc ... Quelle Angoisse !

        Le suivi médical est perturbé, je n' ose même plus me soigner, certaines explorations nécessaires sont stoppées, madame la sous directrice n' en fait pas mention !

        Mon médecin traitant pour me tranquilliser se prononce pour me suivre sans frais jusqu' à régularisation, qu' il ne me laissera pas tombé ( sympa non ) !

        Tout cela freine les démarches de prise en charge de ma femme, malade elle aussi; A VIVRE POUR LE CROIRE !

       

        Le 25/08/2008, la notification suivante est adressée à mon épouse :

        Pour faire suite à votre réclamation, je vous confirme l' exactitude de votre situation, à savoir :

        Le 23 Août 2007,

        Nous avons crée un dossier au nom de votre conjoint sous son numéro 1 ..............., au titre de la Couverture Maladie Universelle de base ( assurance gratuite jusqu' au 31/08/2008 ) avec effet rétroactif au 24/04/2007.

        A cette date vous étiez sous son couvert.

        Le 10 septembre 2008,

        Nous avons crée un dossier à votre nom sous le numéro vous concernant 2........................ au titre de l' allocation adulte handicapée que vous percevez depuis le  01/05/2007 ( date rattrapage car longue période d' attente ).

        

        Caduque aujourd' hui depuis la mise en retraite sans différenciel versé, parce qu' elle n' a pas fait de demande ASPA !

        Cette couverture sociale prévaut sur une couverture à titre gratuit.

        Ainsi, nous avons donc clôturé le dossier de votre conjoint, et l' avons enregistré sous votre couvert.

        Seule, la rente AT continuera à être versée sous son propre numéro.

        A savoir qu' aujourd' hui je possède une carte vitale personnelle avec mon propre numéro, que sur l' attestation des droits, mon épouse est  bel & bien rattachée à moi, qu' on se le dise !

 

        Précision, la sous directrice de la CPAM qui en sait pourtant long à l' écouter, oublie cependant une chose.

        En reconnaissance accident du travail, on ne parle pas d' invalidité mais d' incapacité à exercer !

        D' après elle, mauvaise interprétation de ma part, non mise à jour des droits sociaux et non, suppression !

        ( Quoi qu' en dise madame la sous directrice, c' est ainsi et je fourni une fois encore copie en ma possession. )

        Je le répète, pourquoi lorsque ma femme s' est présentée au guichet en 2007 cette mise à jour n' a pas été faite ?

        Pas de dossier Alain PADOVAN ...

        Après avoir provoqué le contrôle médical de 2008 par le biais d' une demande pension d' invalidité maladie ( dossier AT introuvable ) avec refus administratif.

        La notification de la Commission de Recours amiable ( article R. 142-4 du code de la Sécurité sociale ) mentionne:

        Monsieur,

        Je vous informe que lors de sa réunion du 20 mai 2008, la Commission de recours amiable a :

        - PRIS CONNAISSANCE :

        * de votre recours du 4 mars 2008 tendant à obtenir le bénéfice d' une pension d' invalidité,

        * des éléments figurant au dossier,

        - CONSTATE que :

        * en raison de votre état de santé, vous avez déposé le 11 octobre 2007 une demande de pension d' invalidité,

        * or vous avez cessé en raison de votre état de santé toute activité depuis le 16 juin 1998, date de votre licenciement,

        * vous avez bénéficiez d' une indemnisation ASSEDIC jusqu' au 31 janvier 2001 et avez alors perdu la qualité d' assuré social,

        * de plus selon les dispositions de l' article R313-8 du code de la Sécurité sociale, la perception d' une rente octroyé à la suite d' un accident du travail, correspondant à une incapacité  permanente de moins 60 2/3%, ne permet pas un maintien de droit aux prestations en l' espèces de l' assurance maladie maternité invalidité,

         * en l' espèce votre taux d' incapacité est de 55%,

         * enfin selon les termes de l' article L380-1 du code de la Sécurité sociale,

        " toute personne résidant en France métropolitaine ou dans un département d' outre-mer de façon stable et régulière relève du régime général lorsqu' elle n' a droit à aucun autre titre aux prestations en nature d' un régime d' assurance maladie et maternité ",

        * vous relevez du régime général de sécurité sociale au titre de la couverture maladie universelle depuis le 1er septembre 2007,

        * or, le bénéfice de la couverture maladie universelle n' ouvre droit qu' aux prestations en nature de l' assurance maladie,

        * à ce titre, vous ne pouvez donc prétendre au bénéfice d' une pension d' invalidité,

        - DECIDE de confirmer la décision prise par le service des pensions,

        - REJETE, en conséquence, votre recours.

        Si vous souhaitez faire appel de cette décision, vous devez adresser votre recours par lettre recommandée, ou déposer, au :

                        - Secrétariat du Tribunal des affaires de sécurité sociale de la Gironde

                          Espace Rodesse - BP 928, 72 bis rue Lecoq 33062 BORDEAUX CEDEX.

        dans un délai de DEUX MOIS, à compter de la date de réception de la présente notification.

........................................................

        Comme vous pouvez le constater, je n' ai rien à cacher je ne suis pas un tricheur ! Je ne fais que revendiqué mes droits ...

        Depuis 20 ans mes droits n' ont peut-être plus été actualisés comme le prétend madame la sous directrice,

        mais dans ce cas, pourquoi n' avoir rien dit au départ ?

        

        Ni régularisé lors de la demande de rattachement concernant ma femme !

        Pourquoi se sont-ils pressés de nous inviter à faire une demande et nous accorder la CMU aussitôt ?

        

        Le dossier était classé depuis belle lurette je crois même suite à mon passage devant le TCI et CNIT pour l' obtention du taux de 55%.

        Ce que j' en pense, ils se sont dits qu' avec ce nouveaux taux et la garantie prévoyance employeur pour le salaire, j' allais leur fiche la paix !

        Dans ce cas, Affaire classée, dossier archivé, cela ne regarde que moi mais pas loin de la vérité.

        Le problème est apparu lors de la demande de rattachement de ma Femme ...

       C' est vrai qu' auparavant je n' avais pas à m' inquiéter, soins, rente et prévoyance, parfait nous pouvions vivre paisiblement !

       Mon état s' est vite aggravé, vous devez savoir que dès le début de mon incapacité et suite au licenciement je n' avais obtenu que 10% ( ils commencent toujours bas ) puis, suite aux différents recours, 55% .

        J' ai donc eu la possibilité de contester le refus de la Pension d' invalidité 2008, jamais convoqué durant 10 ans ...

       C'est pour cela que j' avais émis le souhait d' être vu pour tenter de faire remonter qui sait mon  dossier, hélas !

           

       La Commission de Recours amiable, le T A S S, la Cours d' Appel se sont en effet tous prononcés par un Refus Administratif, ne s' appuyant que sur les textes qui m' étaient défavorables.

       Force est de constater qu' ils ne pouvaient pas le faire sur dossier médical, ce dernier ne pouvant s' effectuer, 

       sans la prise en compte des droits sociaux ( un vrai match de tennis, à toi à moi, cela est bien Français ).

       Là encore, il faut le vivre pour le croire, mais usant !

       La Cours d' Appel m' ayant dirigée vers le T C I , IMPOSSIBLE les litiges administratifs ne se traitent pas là.

       Ici vous viendrez seulement pour fixer un taux ...

       OUI mais moi dans ce cercle infernal je n' ai fais que suivre le chemin proposé à chaque fois pour les  recours.

       Balader ni plus ni moins ! Et tout ça pour quoi ? Et il faudrait que je recommence ...

       C' est Eux qui vont me tuer et non le renoncement à me soigner.

            

            POURQUOI M' ENTÊTER ?

       C' est le gros problème et c' est là que je vais répondre à votre attente.

       Voila, sans la reconnaissance de mes droits

        et  j' insiste droits supprimés sans en être averti durant la période 1997 - 2007 !

       Dans l' impossibilité d' avoir pu être examiné pour aggravation avant 2007, le taux de ma rente 55% < 60 2/3%

           

       La Caisse Prévoyance ne valide pas la prise en compte des cotisations pour retraite,

       résultat environs + de 15 années de cotisations manquantes ...

            Vous en savez maintenant d' avantage. Faites-vous votre Opinion, c' est COCASSE, je sais !