Voyage Voyage : en velo saute-frontiere sur la route de la soie ...

Sari Tas, un vaste plateau à plus de 3000m au pied du Pamir, une famille kirgyze m'accueille dans sa yourte,

les bras grands ouverts

Comment est venue cette idée de la route de la soie ?

Par une lecture, des rêves de voyages, d’ailleurs ? Pourquoi cette destination ?

Tant de questions, peu de réponse peut-être tout simplement trouver son chemin à travers les multiples routes de la vie, se chercher, se trouver, se retrouver et retrouver les joies de l’aventure sur mon cheval. Peut-être aussi un désir d’éternité. Quand on voyage, on sort de la vie ordinaire, on est un peu hors frontières, un peu entre deux eaux, un peu entre deux mondes

C’est le début de cette route de la soie que je vous invite à découvrir, cette route que j’ai tissée fil après fil, jour après jour, étape après étape, rencontre après rencontre de Grenoble à Tashkent en passant par la France, l’Italie, la Grèce, la Turquie, la Géorgie, l’Arménie, l’Azerbaidjan, le Kazakhstan et l’Ouzbekistan :

Roma, Delfi, Thessaloniki, Istanbul, Ankara, Capadoce, le mont Ararat à Dogubayazit, Yerevan, Tbilissi, Baku, Boukoro, Samarkand et de nombreuses autres étapes de ce lointain périple …

Les routes de la soie

Cette route, ou plutôt ces routes, étaient empruntées pour tous les échanges commerciaux entre l'orient et l'occident. Elles furent également des voies d'échanges culturels et religieux.

Bien que ces routes aient une existence vieille de plusieurs millénaires, l'expression "route de la soie" ne date quant à elle que du XIXème siècle ; on la doit à Ferdinand von Richthofen, géographe allemand