fin XIXéme siècle , Désiré Emile et sa famille

  • En 1861 Emile Désiré à 16 ans il est est toujours chez son oncle Emmanuel employé comme ouvrier maréchal.
  • Il partira vers 18 ans comme aspirant compagnon pour parfaire sa formation au métier de ces ancêtres.

Il fera probablement son tour de France comme c’est la règle dans la confrérie.

Vers 1866 il est compagnon et se retrouve à Vendeuvre sur Barse aux Etablisements Protte.

Importante atelier de fabrication de machine à vapeur. Il y découvre la mécanique.

Voir Annexe «Machine à Vapeur »

  • 1867 Mariage de Emile Désiré avec Eugénie Agathe Cart
  • Elle est née à Clichy le 2 janvier 1847

Il épouse le 25 février 1867

à Vendeuvre sur Barse.

Eugénie Agathe qui est la fille

du maître de forge

François Aristide Cart

transcription de l'acte.

  • 1867 Naissance de Emilienne Augustine SICRE le 24 décembre
  • à Vendeuvre-sur-barse.
  • La famille Sicre / Cart s'installe ensuite à Nevers.

Emile Désiré continue de travailler avec son beau-père et partage probablement le même

habitation rue Sainte Vallière à Nevers

  • 1872 Naissance de Pierre Emile Sicre

A cette adresse né Pierre Emile le 16 septembre 1872.

C'est à cette période qu'il quitte l'industrie mécanique pour devenir forgeron

à la compagnie des chemins de fer P.O. pour les besoins de la ligne Nevers- Montargis.

Vers 1873, Ils s’installent à Châlette-sur-Loing avec son beau-père François Cart.

Le dépôt de la gare de Montargis été situé au bord de la route de Paris et limitrophe de la commune de Châlette-sur-Loing où toute la famille réside dans une maison bourgeoise face au dépot.

  • ( plus de détail : loiret )
  • 1875 naissance de Louis Pierre SICRE,

Né à Châlette le 2 janvier 1875

  • 1876 Alphonse Eugéne Sicre , naissance à Châlette le 25 novembre.
  • 1885 Marguerite Augustine Sicre naissance le 17 février .

  • 1888 Décès de leur mère, Eugénie, le 30 Juillet 1888.

Emilienne avait alors 20 ans et sa soeur Marguerite trois ans et demi.

  • 1889 Son pére se remarie avec Rosalie Prieur

le 25 janvier 1890 .

Ils quittent Châlette et vont résider à Cepoy.

  • XXéme siècle Les enfants de Désiré

Après leur enfance à Châlette et Cepoy. les cinq frères et sœur se dispersent.

  • 1891 Emilienne Augustine SICRE,

épouse Louis Jean-Baptiste Bardin à Châlette le 9 avril .

Ils auront une fille, Louise Jeanne Emilienne

Louise devient employée des PTT

comme son père à Châlette

Elle habitera, en 1910, Avenue des tilleuls

puis en 1914 rue Pascal et rue Poncet.

Hotel des Postes de Chalette 1910

Elle termine sa carrière à la Poste à Paris

Et habite, rue des Volontaires , 15 arrondissement.

Sa mère, Emilienne, y décède le 18 décembre 1950.

Marié à Marcel Charlot en 1953

Ils habitent à Champigny sur Marne

jusqu’au décès de son mari.

Et enfin Louise s’installe à Vincennes

à Vincennes, rue de France. où elle y fini ces jours en novembre 1979

  • Pierre Emile SICRE

Après une solide formation de forgeron

Il devient cheminot au PLM

Fer façonné de ces mains

            • Il épouse
            • le 18 août 1900 Louise Gendre
            • née le 9 avril 1872 à Tonnerre

Il conduira les trains de grande ligne

son point d’attache étant Villeneuve-Saint-Goerges, grand centre ferroviaire à l'époque .

Ils habitent 7 rue de la Marne.

Ils auront deux filles:

  • 1901 Simone Andrée SICRE

née le 28 juillet 1901 à Villeneuve-Saint-Goerges,

du 30 juillet1901 à 10 heures du matin acte de naissance de Simone Andrée Sicre de sexe féminin, née hierle 28 de ce mois à 11h du matin au domicile de ces père et sa mère;

fille légitime dePierre Emile Sicre, employé de chemin de fer , âgé de 28 ans et de Louise Gendre, son épouse, sans profession, âgé de 29 ans, demeurant ensemble à Villeneuve-Saint-Georges rue Pommier.maison Chevalier.

La déclaration et la présentation de l'enfant nous ont été faites par le père sus nommé en présence de Louis Cartereau rentier âgé de 53 ans demeurant à Villeneuve-Saint-Georgesrue des école N°8 et de Adolphe Germain employé de chemin de fer âgé de 29 ans demeurant en la même ville rue Hermand Daix, maison Filloux.

Lesquels ont signé avec le déclarant et nous Amboise Paul Augustin Trufet , premier adjoint au maire , délégué aux fonctions d'officier de l'etat civil de la ville de Villeneuve-Saint-Georges après lecture faite du présent acte.

Mariée à Villeneuve-Saint-Georges le 17 juin 1930 avec Gilbert Henri Leroux ( le 10juin 1930 l'adjoint au maire )

DécédéeMarié à Asnières,Seinele 6 décembre 1957 (le 9 décembre 1957 le délégué)

transcription d'acte

Elle épousera Gilbert Leroux

  • 1903 Lucette Georgette SICRE

née le 13 décembre 1903 à Migennes

Lucette Georgette SICRE

se mari avec Marcel Léon Breniquet

le 15 août 1929

à Villeneuve-Saint-Georges où il vécurent.

Leur fille Arlette Odile est née le

5 mai 1935

Arlette Odile Breniquet

De son mariage naîtra Martine

Martine & Arlette en 2002

Louis Pierre SICRE

Chauffeur puis mécanicien au PLM .

Il voyage entre Villeneuve Saint Georges et Dijon.

  • 1898 Marié le 14 juin 1898 avec Maria DELANCE ,née à Amilly

et fille de vignerons installé à Pougues-les-eaux

Ils auront un fils Raymond né le 3 avril 1900 à Villeneuve Saint Georges.

Sa mère décèdera le 21 septembre 1901 à Pougues.

  • 1902 Puis le 5 février il épouse Marie Joséphine Blanche LOYE à Dijon

Il aura un deuxième fils André

né le 13 avril 1903 à Dijon.

Raymond & André

L’arrivée du cirque Barnum-Belay, pour sa seconde tournée européenne en 1905,

va bouleverser leur vie.

Vers 1913 Louis et Jean Pierre SIGRAND (son cousin) s’engagent comme chauffeur et mécanicien .

A la fin de la tournée il décide de suivre le cirque de retour en Amérique.

Louis et son fils André partent avec le cirque.

Sa femme Marie-Joséphine et son fils Raymond restent à Corquilleroy rue de la Libération.

Mais ils n’ont jamais la possibilité de les rejoindre.

A la déclaration de guerre en 1914 ils sont bloqués en Amérique.

et se trouvent interdit de retour en France.

Ils continueront leur vie aventureuse en Bolivie ou Louis décède

puis finalement André s’installent en Argentine.

Aristide ( frère de Denise ), Pierre et Louise

Denise et sa fille Andrée , Maria et Alphonse .

A l’étage probablement Marie, mère d’André.

Photo prise vers 1934

Corquilleroy, rue de la Libération

1924, Raymond SICRE épouse Denise à Châlette

Ils auront deux filles : Andrée et Liliane

Andrée SICRE épouse

de Pierre CERCELLIER

1958, Liliane SICRE épouse de Guy RABILLON

Les deux frères seront séparés pendant plus de 60ans

1972 , André, lors de son séjour en France,

au court duquel il visitera toute la famille.

André Raymond 60 ans plus tard .

Gérard, Hugette, André, Raymond, Denise

et Marguerite

Andrée, Aristide, Raymond, André, et Lucette

André SICRE épouse Emilia en Argentine

Ils habitent à San Justo ville proche

de Buenos-Aires.

Leur fille Liliane se mari avec Charles SIGRAND

Ils ont une fille qui s’appelle Normita.

Alphonse Eugéne SICRE

Même cursus que sont frère aîné.

Mécanicien au PLM, en poste à Migennes.

La gare de La Roche-Migennes été alors un relais important sur la ligne Paris Lyon

Il épouse Maria Gobet née en 1883.

fer façonné de ces mains

Ils s’installent au 31 avenue Jean Jaurès.

  • ( plus de détail :
  • YONNE
  • )

Henri SICRE y naquit le 9 août 1909.

Maria, y décède en 1953 après une longue maladie.

Henri SICRE fera carrière à la SNCF au dépôt de Laroche -Migennes et se consacre à sa passion La TSF puis la Télévision.

Henri SICRE

Epouse Elisabeth Lemour

Qui décède à la naissance de leur fille Marie José.

Celle-ci décède à 20 ans en 1954.

Henri & Marie José

Sa seconde femme

Madeleine Gilberte Massé

lui donne deux fils :

Jean-Marie Claude

né le 27 novembre 1938

Dominique

né le 8 novembre 1951.

Alphonse vécu là jusqu'à l'âge de 93 ans et décède le 20 Août 1974.

objets en fer façonnés de ces mains:

Marguerite Augustine Sicre

Pour une fille de bonne famille, il n’été pas convenable de travailler à l’usine.

Elle embauche à la fabrique de Caoutchouc Hutchison de Langlée .

(pour faire comme les copines !).

Les conditions de travail lui provoquent des problèmes respiratoires dus aux poussières ou à l’allergies.

« Les filles de l’usine sont toutes tuberculeuse » disait le docteur,

ami de la famille, qui avait une automobile.

  • 1904 Son père lui impose d’épouser (30 janvier 1904) , Fernand SAVRY.
  • 1905 Il né un fils Marcel Savry le 21 janvier à Châlette.
  • 1912 Ils vivront à Estissac où ils tiennent une épicerie

Gérance des Economiques Troyens (succursale n°52 )

La boutique est située à l'angle de la place de la mairie et de la rue Gambetta.

  • ( plus de détail : aube )

Puis ils se séparent

  • 1914 Au début de la guerre, Fernand est mobilisé
  • Marguerite se retrouve seule avec son fils Marcel.

Elle travaillera quelque temps à Amilly avec sa collègue Juliette dans une usine de munition,

au chargement des obus. Jugeant le travail trop pénible et dangereux.

Elles quittent l’atelier , celle-ci explose le lendemain de leur départ.

Elles partent pour Paris, employées tous d’abord comme femme de chambre

dans un hôtel rue Traversière.

  • PARIS
  • 1916

          • Elle rencontre ’’ un inconnu ’’ qui a dût échappé à la grande tournante.
          • Sa véritable identité restera son grand secret.( un professeur, malade du cœur, suivant ces indiscrétions )
          • De leurs amours naîtra à Paris deux fils :

Henri le 24 juin 1917

André le 11 juillet 1919

Le divorce avec Fernand SAVRY sera prononcé à Troyes le 2 juillet 1919.

Le père caché de Henri et André est probablement décédé vers 1919

Ils habitent alors au 19, passage Gustave Lepeu à Paris . (1928).

  • PARIS

Marguerite exerce divers métiers dans des fabriques.

Ducellier , bobinage automobile, travail à la pièce.

Norton usinage de meule, travail à la pièce.

Puis elle devient tapissière matelassière chez Lecaut rue Saint-Dominique.

Avant 1936 ils emménagent rue Saint-Nicolas.

  • PARIS