11 juin

Date de publication : 11 juin 2019 13:25:07

Comité de suivi des nouvelles mobilités (Ernest D.)

    • Une dizaine de speed dating covoiturage réalisés dans les zones d'activité

    • Point sur le pass mobilité

      • projet imaginé en 2016 mais réellement lancé en 2018

      • projet porté par GAM et le SMTC en lien avec le Grésivaudan, le Voironnais et le Département

      • marché avec le partenaire technique Wordline

      • tous les services de mobilité seront disponibles sur une seule application

      • les différents services seront progressivement intégrés à la plateforme

      • services projetés : transports collectifs (tag, transisère, voironnais, tougo, TER), covoiturage (movici), autopartage (citiz), parking de la métropole, taxis, métrovélos, bornes de recharge véhicule électrique, accès aéroport, accès aux zones reglementées (piétonnes et ZTL)

      • Il faudra créer un compte mobilité avec nom, prénom, coordonées banquaires, etc.

      • Il faut convaincre les plateformes privés de mobilité à s'associer à la démarche

      • l'appli doit combiner des services très différents de manière simple

      • Le pass mobilité est également conçu comme assistant à la mobilité

      • une expérimentation aura lieue sur un panel d'utilisateurs à partir de l'automne 2019 (10 pers sur l'ergonomie puis 200-300 pers)

      • lancement grand public à l'automne 2020

    • Accélérateur de covoiturage : marché pour booster le covoiturage sur une zone d'activité. Première zone : technisud (autour du rondeau)

    • Évaluation de certains services avec le CEREMA pour tag&car et rezopouce

    • Citiz : expérimentation sur les territoires peu denses

      • MaChèreAuto pour partager une voiture de particulier

      • Fliz pour partager une flotte professionnelle

Point incivilités avec Gérard Hudault (Ernest D.)

    • Un groupe incivilité a existé au CLUQ il y a une dizaine d'année (2008-2011)

      • Il était difficile de mobiliser les gens sur ce sujet, le groupe est finalement tombé en dormance après quelques années

    • La charte de la vie nocturne a été créée sous l'impulsion de Jerome Safar (ville de grenoble)

      • Cette charte ne concernait que ce qui était du ressor de la vie nocturne liée aux CHR (cafés, hôtels, restaurants)

      • La charte a été élaborée avec les habitants d'un côté et les commerçants de l'autre

      • La mairie a essayé d'élaborer un stratégie réaliste avec des objectifs atteignables

        • Au final la charte engendrait plus d'obligations du côté de la mairie que du côté des CHR

      • La charte n'avait pas de valeur juridique, il s'agissait seulement d'engagements de principes

      • Seulement une douzaines de CHR ont acceptés de signer

        • beaucoup appliquaient déjà un grand respect des principes

        • d'autres établissement signaient la charte sans la respecter

      • En début de mandat de la nouvelle municipalité a été rejetée la charte

    • Il y a trois points majeurs sur la question des incivilités

      • les problèmes liées aux animations nocturnes (avec un impact sur le sommeil)

      • le climat d'incivilité systématique (encombrants, déchets, refus des règles de vie collective)

      • les vélos qui ont tous les droits (trottoirs, brulent les feux rouges, pas d'éclairage, prennent les sens interdits)

    • Plusieurs villes de France sont des cas d'études intéressants : Nantes, Rennes, Montpellier

      • A Lyon les UQ sont également plus écoutées

      • A Paris un Conseil de la Nuit a été créé. Nous pourrions peut être proposer la création d'un tel conseil

Point incivilités Antoine Bach (Ernest D.)

    • Dans le cadre de notre travail sur les incivilités nous avons rencontré Antoine Back, élu du secteur 2 de la ville de Grenoble.

      • Un compte-rendu complet sera fait lors de la prochaine réunion du groupe incivilités

    • De son point de vue, la charte de la vie nocturne mettait seulement en valeur les établissements qui avaient une gestion vertueuse

      • Cette charte n'était pas suffisante, il n'y avait pas d'instructions à la police municipale, pas d'aspect coercitif et surtout pas de processus de vérification

      • Le parti pris de la municipalité était celui de la remise en ordre des services

      • Depuis l'arrivée de la nouvelle municipalité, les services de la police municipale ont été réorganisés pour mieux répondre aux problèmes de la vie nocturne

      • Certains bars ne sont plus un problème depuis le changement de municipalité (les copains d'abord, la natation)

    • Chaque nouvelle convention (ou renouvellement) pour l'installation d'une terrasse est révocable

      • Les conventions sur les terrasses sont un moyen de pression sur le porte feuille des établissements

      • Attention, du point de vue légale, la demande d'un fleuriste est équivalente à la demande d'un bar ou restaurant

    • Les problèmes de vie nocturne ne sont pas uniquement liés aux terrasses

      • Il y a également des problèmes de voisinages autour des colocation avec des évènements festifs bruyants

      • Les déplacements dans la rue entre établissements sont également problématiques (avec des gens qui chantent etc.)

    • La réponse aux problème des vélos viendra par un équipement plus adpaté (séparation avec les piétons), de l'information et de la coercission

    • Attention au biais de généralisation, on ne peut pas parler de groupe "cycliste" ou "automobilistes", la majorité des gens respectent les règles

    • La municipalité travaille déjà sur la sensibilisation (ex : pages centrales dans gremag, campagnes de sensibilisation avec l'ADTC)

    • Il faut s'inquiéter des problèmes liés aux livreurs à vélo, nous n'avons aucun moyen de pression sur deliveroo (qui n'a pas pignon sur rue)

Point sur le Fond de Participation Métropolitain (Najoua R., Ernest D.)

    • Plus de 120 projets financés depuis 2012

    • Le budget annuel est de 40 000 € et le plafond d'aide par structure est de de 3 000 €

      • Le FPM peut venir en complément d'un autre financement

      • Le FPM doit rester un coup de pouce aux habitants, collectifs, petites associations, il n'est pas destiné aux MJC, grosses structures etc

    • Les projets proposés sont souvent des évènements (exposition, fête, ...)

      • thématiques culturelles, autour de la solidarité, la coopération internationale, l'environnement, ou encore projets vidéo

    • Une valorisation des projets financés est envisagée sous forme de cartes, vidéos et analyses statistiques

    • Des panneaux d'exposition (kakemono) avaient déjà été réalisés pour valoriser certains projets

    • Il est proposé de réaliser un document pour rendre plus compréhensible le processus (dépot sur le site, critères de sélection, à quel service envoyer la demande en fonction du projet, etc.)

    • Des FPH existent à Grenoble, Echirolles et Fontaine

      • Il y a également une aide à projet à Eybens et aux projets des jeunes à Saint Martin d'Hères.

      • Certaines communes font bien le lien vers le FPM

    • Volonté de faire évoluer le FPM pour répondre aux enjeux du PCAET

      • Le FPM devrait avoir plus de fonds aloués pour répondre à ces attentes

      • Plusieurs option sont possibles et nous avons été sollicité pour définir une stratégie