Le 4 janvier 2011, j'ai adressé un courrier à Monsieur Jean-Paul COSTA, le Président de la CEDH, (voir 5-1 en PJ).
Dans mon courrier let1144, je lui exprime mon mécontentement devant : "La décision très injuste et inacceptable de la CEDH".
En prétextant que : "la Cour n’a relevé aucune apparence de violation des droits et libertés garantis par la Convention ou ses Protocoles"
la CEDH a pris une décision contraire aux textes européens car :
la Cour Européenne considère alors que perdre plus de 300 € par mois sur ma retraite du seul fait que je suis né un an plus tard ou 9 ans plus tôt que d’autres salariés de la Snecma, ce n’est pas de la discrimination !
C'est pourtant, à l'évidence, de la discrimination par l'âge !
J'ajoute que : "je ne voudrais surtout pas, après avoir été victime de la Snecma, puis victime de la Justice française, être victime de la Justice européenne. C’est pourquoi, je vous demande solennellement de bien vouloir ordonner le réexamen de ma requête afin que la Cour Européenne des Droits de l’Homme prononce un arrêt juste."
La CEDH allait-elle me répondre ?