Pour l'instant, les Soldats du 1/RACM décédés en 1944 et 1945.
Toutes informations complémentaires, photos et documents sur ces soldats sont les bienvenus.
Avec l’aide des sites MémorialGenWeb, Généanet, Mémoire des Hommes
+ Les SHD Vincennes et Caen, les JMO et toute ma doc.
19 Soldats recensés:
Travail de recherches toujours en cours, également sur les Soldats des autres Groupes du RACM, n'hésitez pas à me contacter à brutal_truth92@yahoo.fr avec en titre: RACM. Merci
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(01 sur 19) Le 24 Juin 1944 - Casa Rossa (Île d'Elbe, Italie)
- MOTILLON Raoul François Georges - Maréchal des Logis Major
- Né le 14-07-1914 à Cahors (Lot 46). Décédé à 29 ans.
- Matricule 10644, tué à l'ennemi
SHD Caen, Cote AC 21 P 105673, dossier récupéré le 07/12/2019
"A été tué par des balles de mitraillettes alors qu'étant Chef d'une patrouille, il n'a pas entendu les sommations faites par des Goumiers qui avaient monté une embuscade en vue de prendre des allemands isolés encore cachés après la fin des opérations."
"Mention "Mort pour la France".
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(02 sur 19) Le 10 Septembre 1944 - Grenoble (Isère 38)
- GRAVIER Adrien Bernard - 2ème Canonnier - CR1
- Né le 14-10-1920 à Vennezey (Meurthe-et-Moselle 54). Décédé à 23 ans.
- Matricule 400, décédé des suites de ses blessures (accident de camion)
SHD Caen; Cote AC 21 P 196712, dossier récupéré le 07/12/2019
"Le 08/09/1944 vers 18h30 à Lus la Croix Haute (Drôme 26), un camion d'un convoi du 1er RACM venant de Toulon a, par suite d'une faute de conduite, quitte la roule, roule dans le fossé et heurte un mur. Sous le choc, 3 Canonniers, dont GRAVIER de la CR1 ont été projetés hors du véhicule et pris sous la remorque qui s'est couchée sur le côté. Soigné par le Médecin-Commandant CASA du Service Social de l'Armée, GRAVIER a été évacué sur l'Hôpital Militaire de Grenoble où il est décédé le 10/09/1944 à 7h00 des suites de ses blessures."
"L'accident est survenu du fait de service."
"Mention Mort pour la France."
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(03 sur 19) Le 19 Novembre 1944 - Morvillars (Territoire de Belfort 90)
- PIGNAL Régis Jean Marie Félix - Capitaine
- Né le 06-01-1912 à Lyon (Rhône 69). Décédé à 32 ans
- Fils de Marie Félix PIGNAL - décédé en 1916 à Verdun
- Polytechnique, promotion 1932, père de 5 enfants
- Inhumé dans le cimetière militaire de Rougemont (Doubs 25)
- Extrait du Livret : « Le 1er Groupe du RACM au Combat » page 17
(Opérations de la Boucle du Doubs 25) « [...] La percée est faite et dès le 18 (Novembre 1944) l'avance du Groupe suit le rythme d'une poursuite derrière les blindés, eux-mêmes précédés par le RICM. C'est d'abord AUDINCOURT où l'on se met en batterie autour des maisons, sans tirer d'ailleurs, malgré de nombreuses missions d'appui qui nous sont confiées. L'accueil des populations est enthousiaste; pourquoi faut-il que notre joie soit brutalement interrompue par la perte du Capitaine PIGNAL blessé mortellement devant MORVILLARS, alors qu'au cours d'une mission de liaison, il tentait d'entraîner une infanterie réticente sur un glacis battu par les mitrailleuses ennemies. Arrivé depuis peu au Groupe, c'était une âme d'élite, qui avait fait sa place dans le coeur de tous les membres du Groupe. »
- Extrait du JMO de la BCS (Batterie de Commandement et de Services) :
« Le Capitaine PIGNAL est mortellement blessé au cours d'une liaison auprès du 9ème Zouaves.
Il meurt à 19h10. »
- CITATION AU GRADE DE CHEVALIER DE LA LEGION D'HONNEUR:
« Officier d'une valeur exceptionnelle et d'un courage exceptionnel, ayant l'estime et l'affection de tous ses camarades de combat. Toujours volontaire pour les missions délicates et dangereuses, s'est particulièrement distingué le 19 Novembre 1944 devant MORVILLARS, o il avait été envoyé en liaison auprès du 9ème Zouaves. Trouvant ce Bataillon durement accroché et la distance, trop faible entre amis et ennemis, ne permettant pas d'envisager l'action de l'Artillerie, est monté à l'assaut pistolet en main, avec les Zouaves, dont sa bravoure força l'admiration. Atteint par une balle de mitrailleuse et mortellement blessé, a eu la force de faire mettre en sûreté les documents secrets qu'il détenait, à refuser de se faire évacuer, ne voulant pas exposer la vie de ceux qui l'accompagnaient. Est mort des suites de ses blessures à son arrivée à l'hôpital de Pont de Roide. »
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(11 sur 19) Le 03 Décembre 1944 - Rixheim (Haut-Rhin 68)
- DEMERSON Raymond – Maréchal des Logis (1915/03-12-1944) 29 ans. Aube (10)
- THEUREAUX Julien – 1er Canonnier (----/03-12-1944) – ans. Côte d-Or (21)
- LEVY Raoul – 2ème Canonnier (1921/03-12-1944) 23 ans. Algérie
- VAUTHIER Michel – 2ème Canonnier (1924/03-12-1944) 20 ans. Doubs (25)
- ABOUQUIR Yvon – 2ème Canonnier (1918/03-12-1944) 26 ans. La Réunion (974)
- BONY Georges – 2ème Canonnier (1924/03-12-1944) 20 ans. Territoire de Belfort (90)
- JACQUES pierre – 2ème Canonnier (1924/03-12-1944) 20 ans. Meurthe et Moselle (54)
- BOYER Roger – 2ème Canonnier (1923/03-12-1944) 21 ans. Loire (42)
- Extrait du Livret : « L’artillerie de la 9° DIC » page 42
(Front de Mulhouse 68) « La 9° DIC est maintenant toute entière en Alsace. Le 30 Novembre, le PC de l’AD (Artillerie Divisionnaire) s’installe à HAUSGAUEN (à 20 km au sud de Mulhouse).
Le 03 Décembre 1944, une opération sur HOMBOURG menée par le 23ème RIC (Régiment d’Infanterie Colonial) et des éléments de la 4ème DMM (Division de Montagne Marocaine, infanterie) n’aboutit pas.
Un groupement temporaire comprenant les 1, 2 et 4/RACM sous les ordres du Lieutenant-Colonel NICOLAS (État-Major de l’Artillerie Divisionnaire) participe à cette action. Certaines de nos unités sont sévèrement prises à partie par l’Artillerie ennemie.
Nos pertes sont sérieuses. 1/RACM : 8 tués et 4 blessés. 4/RACM : 3 tués et 3 blessés. »
(Je suis sûr d'au moins 2 Soldats du 4/RACM tués ce 03 Décembre 1944: le Canonnier MAGRON Roger de la 11ème Batterie et l'Aspirant DUMORTIER Pierre de la 12ème Batterie. Les 3 blessés seraient les Canonniers FONTAINE Ferry -décédé des suites de ses blessures le lendemain, à l'Hôpital de Campagne 411 à Montbéliard- et PARISO, tous deux de la 12ème Batterie et le troisième blessé, HAMELIN de la 11ème Batterie. Il manque un décès, peut-être et sans doute FONTAINE Ferry le lendemain, comme je l'écrivais. Source: Bulletin du Musée de l'Artillerie N°31: Le 4/RACM en Campagne).
(ABOUQUIR Yvon décédéra à Mulhouse au QG du 25ème Bataillon Médical: aparté à SUIVRE)
- Extrait du Livret : « Le 1er Groupe du RACM au Combat » page 19
(Opérations d’Alsace) « Montés de nuit de Geispitzen à RIXHEIM en vue d’une attaque sur HOMBOURG, il fallut s’installer en pleine obscurité dans un village surpeuplé, tandis que les batteries se casaient avec difficulté dans une cuvette exigüe, qui seule assurait un défilement précaire tant à la rive badoise qu’à la forêt de la Hardt. Le lendemain, quelques arrivées, peu nombreuses, une dizaine en tout, s’abbattirent aux abords immédiats du PC au presbytère, et du poste de secours dans la sacristie de l’église.
Le résultat fut la perte la perte d’un sous-officier Maréchal des Logis DEMERSON tué avec sept canonniers et quatre canonniers blessés.
Pour comble de vexation, l’attaque sur Hombourg devancée par un sérieux coup de boutoir allemand en direction de l’écluse de Pont De Bouc, fut annulée et le Groupe ne tira dans toute la journée que quatre coups pour un accrochage. Le soir même, il rentrait à Geispitzen, tête basse et tout pantois de ce premier coup du sort. »
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(12 sur 19) Le 16 Décembre 1944 - Burnhaupt-le-Bas (Haut-Rhin 68)
- BOUQUENEUR Gilbert - 2ème Canonnier
- Né le 20-05-1924 à Lepuis-Neuf (Territoire de Belfort 90). Décédé à 20 ans
- Extrait du Livret : « Le 1er Groupe du RACM au Combat » page 20
(Opérations d'Alsace) « Un mouvement vers l'Ouest nous amenait à BURNHAUPT-LE-BAS, pour l'attaque des bois de NONNENBRUCH, qui devait avoir lieu le 14, puis le 15, puis qui fut, enfin, remise sine die. Mauvais souvenir encore que cette étape vers la victoire: sol détrempé d'abord, arrivée en pleine nuit, puis, quelques jours après un froid vif, le gel, rendant les positions en pleine nature particulièrement inhospitalières. Enfin, pour couronner l'affaire, première expérience des mines, l'Etat-Major y perdant un canonnier tué et l'Aspirant De Lapeyrouse amputé en se portant au secours de la victime. »
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(13 sur 19) 07 Février 1945 - Montbéliard (Doubs 25)
- RITOIT André Emile Joseph- Maréchal Des Logis
- Né le 19-07-1913 à Sablé-sur-Sarthe (Sarthe 72). Décédé à 21 ans des suites de ses blessures
- Extrait du Livret : « Le 1er Groupe du RACM au Combat » page 21
(Ensisheim, Haut-Rhin 68) « [...] à la Cité Ste Thérèse, l'ennemi est de l'autre côté de l'Ill à 1000 mètres de là, et il nous le fait bien voir en arrosant copieusement la cité, mais à côté de nos positions. Tout le monde n'a pas eu cette chance et c'est encore à la Liaison que le coup dur est arrivé. Le Maréchal des Logis RITOIT à été blessé mortellement précisément à l'attaque de la Cité Ste Thérèse. Sa mort, avec celle des fantassins tombé le même jour, n'aura pas été inutile, puisque c'est grâce à elles que nos canons peuvent tirer bien assis sur un nouveau morceau de terre alsacienne reconquis. »
- CITATION COMPORTANT L'ATTRIBUTION DE LA CROIX DE GUERRE AVEC PALME
« Sous-Officier d'élite, adjoint d'une équipe de liaison Artillerie/Infanterie, remarquable par son courage et son sang-froid dans les circonstances les plus périlleuses, a pris part depuis Septembre 1944, à dix attaques successives. Toujours en ligne avec l'Infanterie au contact, progressant avec les premières vagues, effectuant sous de violents tirs d'artillerie et d'armes automatiques ennemies la liaison entre les groupes de tête d'infanterie et son officier, à été un exemple admirable d'abnégation et de conscience professionnelle. Mortellement blessé le 04 Février 1945 au moment où il traversait avec son équipe le tir d'arrêt ennemi au cours du débouché de l'attaque devant la Cité Ste Thérèse. »
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(14 sur 19) 20 Mars 1945 - Erstein (Bas-Rhin 67)
- VAGNIER René - 2ème Canonnier
- Né le 11-07-1914 à Paris (Ex-Seine 75). Décédé à 30 ans.
- Sur le site Mémoire des Hommes, il y est écrit: accident.
- Sur le site MémorialGenWeb, il y écrit: mort accidentellement en service.
- Dans le Livret "L'Artillerie de la 9° DIC", en page "Morts pour la France", un Soldat est décédé le 20-03-1945 mais le nom est VOGUIER René.
[NB] - Demande au SHD à Caen à effectuer: Cote AC 21 P 157499
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(15 sur 19) 19 Avril 1945 - Goldscheuer (Allemagne)
- BARBIER Jacques André Charles - 2ème Canonnier - CR1 (Chauffeur)
- Né le 07-01-1926 à Nancy (Meurthe-et-Moselle 54). Décédé à 19 ans.
- Matricule 2470, décédé dans un accident de camion
SHD Caen, Cote AC 21 P 13622, dossier récupérer le 07/12/2019
"Le 19 Avril 1945, l'Unité étant cantonnée à Dundenheim (All.), le Canonnier BARBIER, bien qu'étant de garde, prit vers 20h le volant d'une camionnette de l'Unité et seul, sans autorisation, quitte le cantonnement par un chemin de terre. L'ayant "...mot illisible..." recherché, nous fûmes avisés le 20 (Avril) vers 8h par un Officier du 26ème GCDCA de la découverte dans un champ le long de la route allant d'Offenburg à Goldscheuer, à la hauteur de Kittensburg, BARBIER mort, pris sous le véhicule."
"L'accident est survenu ni de fait, ni à l'occasion du service."
"Mention Mort pour la France: Refusée."
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(16 sur 19) 21 Avril 1945 - Tubingen (Allemagne)
- QUEVREUX Maurice Raoul Georges - Adjudant
- Né le 19-02-1918 à Amiens (Somme 80). Décédé à 27 ans.
L'info que ce soldat vient du 1/RACM me provient du SHD Caen, un échange par mail. Il n'existe aucune info nulle part hormis sur généanet.org (Nécropole les Vallons à Mulhouse) et MdH (tué par balle). Mort pour la France mais n'est pas dans le Livret l'Artillerie de la 9ème DIC en page "Nos Morts" et ne figure pas non plus dans le Livret du 1/RACM alors que la guerre n'est pas finie. Tout est à vérifier, demande de dossier à suivre.
[NB] - Demande au SHD à Caen à effectuer: Cote AC 21 P 138969
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(17 sur 19) 25 ou 26 Avril 1945 - Sankt Märgen (Allemagne)
- BERNELAS André - Brigadier-Chef
- Né le 06-07-1923 à Verdun (Meuse 55). Décédé à 21 ans.
Aparté: Avant de vous donner le détail écrit dans les Livrets, j'aimerais vous écrire la Citation à l'Ordre de l'Armée qu'il reçut un peu plus tôt en 1944, alors Brigadier:
« Brigadier de liaison d'Artillerie, n'a cessé de faire preuve des plus grandes qualités de sang-froid et de courage. Le 19 Novembre 1944, en liaison auprès d'une Unité de Zouaves, est monté à l'assaut de MORVILLARS. Son Capitaine étant mortellement blessé en avant des premières lignes, à un endroit considéré comme inaccessible par les brancardiers, n'a pas hésité à aller le chercher en rampant sous le feu des armes automatiques ennemies et à le ramener au poste de secours. »
Ce Capitaine, c'est PIGNAL Régis, dont j'ai écrit son décès plus haut dans le chapitre. C'est BERNELAS André qui alla le chercher, accompagné d'un autre Brigadier, du 1/RACM, COCHE Georges, qui a également reçu cette Citation à l'Ordre de l'Armée.
- Extrait du Livret : « L’artillerie de la 9° DIC » page 57
« Les 22, 23, 24 (Avril 1945), les unités se regroupent et commencent le nettoyage de la forêt (Forêt Noire).
Le 24, le Groupement BOURGUND (21ème RIC + 1/RACM) progresse sur l'axe FRIBOURG - St PETER - St MARGEN - WALDEN et s'empare de NEUSTADT. [...] Le 29 Avril, tous les éléments combattants de la Division ont traversé le massif de la FORET NOIRE. »
- Extrait du Livret : « Le 1er Groupe du RACM au Combat » page 25
« [...] Le 25, retour en arrière pour venir avec le 21ème RIC, cette fois, qui s'enfonce en forêt Noire depuis FRIBOURG. La 1ère Batterie nous précédant la veille s'installe à St MARGEN le 25. Le reste du Groupe à St PETER. Pas un coup de canon, mais en revanche un vieil habitué des coups durs finit par payer son tribut. L'Aspirant BOURDAIS est blessé par éclat au genoux, et son chauffeur BERNELAS, compagnon fidèle des bons et mauvais jours, est tué. »
- Sur le site Mémoire des Hommes, il serait décédé le 26 Avril à Fribourg et non le 25 à St Margen.
[NB] - Demande au SHD à Caen à effectuer: Cote AC 21 P 20991
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(18 sur 19) Le 10 Mai 1945 - Tuttlingen (Allemagne)
- JANAC Antoine - 2ème Canonnier - 3ème Batterie
- Né le 30-09-1917 à Saint-André (La Réunion 974). Décédé à 27 ans.
- Matricule 988. Décédé des suites de ses blessures (balle dans l'abdomen)
SHD Caen, Cote AC 21 P 55900, dossier récupéré le 07/12/2019
"Dans la nuit du 09 au 10 Mai, JANAC, n'ayant pas entendu les sommations d'une sentinelle, fut blessé d'une balle à l'abdomen. Transporté à l'Hôpital 422, il y décédera 2h après avoir été blessé."
"Accident survenu du fait du service, survenu pendant le temps et sur le lieu du service."
"Mention Mort pour la France."
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(19 sur 19) Le 08 Novembre 1945 - Carpiagne (France)
- REVET Jean - 2ème Canonnier, 3ème Batterie du 1/RACM
- Éléctrocuté par des fils haute tension.
SHD Caen, Cote AC 21 P 139380, dossier récupéré le 07/12/2019
"Le 08 Novembre, le Capitaine MEROT, Commandant la 3ème Batterie, donnait l'ordre au Canonnier REVET Jean d'installerune ligne téléphonique entre la Batterie et le PC du Groupe. Ce dernier eut la malencontreuse idée de fixer sa ligne à un poteau de la ligne à haute tension portant l'indication "danger de mort". Au coups de son travail, REVET heurtant un fil à haute tension fut éléctrocuté. Il est mort sur le coup."
"Mention Mort pour la France."
Canno54