Des rencontres citoyennes pour améliorer la politique de l'eau

Pour élaborer le nouveau Plan de Gestion de l’Eau (PGE) 2022-2027, Bruxelles Environnement vous invite à prendre part à un processus participatif. En complément à l’enquête publique, ces rencontres citoyennes sont l’occasion de nous partager vos idées et vos besoins pour améliorer la politique de l’eau à Bruxelles. Notre volonté ? Vous impliquer dans le processus avant que des décisions importantes soient prises et faire ainsi du nouveau PGE un outil concret au service des Bruxellois.e.s !

C’est pourquoi Bruxelles Environnement souhaite mobiliser largement l’ensemble des usagers de l’eau que vous êtes, ainsi que les différents acteurs de l’eau à Bruxelles.

Le coup d’envoi de ce processus sera donné le jeudi 26 novembre 2020, lors d’une première rencontre qui se déroulera de 18h à 21h (en ligne). Des rencontres supplémentaires sont également prévues pendant le premier trimestre 2021 (dates à confirmer).

Cette première session participative sera l’occasion de vous informer des objectifs visés et des différentes étapes du processus afin de préparer votre participation. Une première récolte de vos opinions sera également au programme de cette soirée !

Actuellement, en raison des mesures sanitaires, les ateliers participatifs se dérouleront à distance (via zoom) :

• Inscrivez vous

• Une semaine avant l’évènement, vous recevrez un mail reprenant les explications techniques et le lien de connexion pour vous permettre de nous rejoindre en ligne. Un moment sera prévu, en début de session, afin de répondre à vos questions techniques.

• Des facilitateurs expérimentés proposeront des méthodes favorisant les interactions et l’intelligence collective, même à distance !

N’hésitez pas à partager cette courte vidéo pour convier d’autres bruxellois à participer à ces rencontres citoyennes : votre participation est essentielle pour développer un Plan de Gestion de l’Eau répondant aux préoccupations et attentes des Bruxellois.e.s !

Tout au long de la vallée du Molenbeek, nombreux sont ainsi celles et ceux qui tels Monsieur Jourdain, pratiquent la solidarité de vallée sans le savoir, en maintenant des surfaces perméables, en creusant des mares, en prenant soin de sources ou de zones humides, en pratiquant la récupération des eaux de pluie.

Vous prenez part à un jardin collectif ou à un quartier durable ? vous connaissez des récits d’hier ou d’aujourd’hui à propos de l’eau et de ses usages dans la vallée, de son urbanisation, de la défense de tel ou tel site ? la flore des marais n’a pas de secret pour vous ? Nous proposons de mutualiser au cours de rencontres conviviales tous ces récits et ces savoirs.

Le but est de co-construire un savoir pour…

mieux comprendre l’hydrologie de la vallée

aider à concevoir des aménagements qui concrétiseront une autre gestion des eaux pluviales

ainsi qu’inspirer une création future qui évoquera l’esprit de la vallée.

Nota bene : les simples curieux-ses sont également les bienvenu-es.

De 1922 à 1928 le journal hebdomadaire 7 Arts, lancé par 5 jeunes bruxellois, architectes, peintres, graphiste, musicien et poète, va être à l’écoute des battements du monde et faire la synthèse des agitations artistiques et intellectuelles européennes. Mais plus encore, les animateurs de la revue entendent eux aussi bousculer les lignes. Avec cette singularité : voir tous les arts au travers de l’architecture. Leur journal deviendra rapidement une plateforme essentielle à la promotion de la modernité, en Belgique bien sûr, mais également dans l’Europe entière, et même au-delà.

L’exposition mêlera tout à la fois des grands noms de l’histoire de l’architecture et de l’histoire de l’art, tant belge qu’internationale, et des acteurs moins connus de l’avant-garde. On y croisera les 5 fondateurs -le poète et théoricien Pierre Bourgeois, son frère, l’architecte Victor Bourgeois, le peintre, graphiste et critique d’art Pierre-Louis Flouquet, le peintre et graveur Karel Maes et le musicien et critique musical Georges Monnier- ainsi que leurs compagnons de route : Servranckx, Magritte, Baugniet, De Boeck, Huib Hoste, Jean-Jacques Gaillard, Stanislas Jasinski, Jozef Peeters, Michel Seuphor et bien d’autres.

Du 5 mars au 31 mai 2020, nous inaugurons notre nouveau centre avec une exposition internationale. Quantum : In Search of the Invisible explore le monde de la physique quantique en réunissant plusieurs créations issues de rencontres entre artistes et chercheurs du CERN à Genève.

Le week-end d’ouverture offrira à ses visiteurs tout un programme multidisciplinaire autour de l’art et de la science. Plus d'info sur le weekend d'ouverture ici.

Quantum : In Search of the Invisible est une exposition collective qui regroupe dix créations d’artistes de renommée internationale. Ces œuvres s’inspirent de thématiques de la science contemporaine afin d’explorer les notions mêmes d’existence et de réalité, et de questionner notre véritable connaissance du monde. Comment observer notre environnement sous une perspective différente afin d’en découvrir de nouveaux aspects? Profondément stimulé par la vivacité des scientifiques rencontrés, chaque artiste apporte sa propre réinterprétation de faits issus de la science moderne.

Ces dernières années, le CERN à Genève - plus grand laboratoire de recherche scientifique fondamentale au monde - a développé de nouveaux modèles de collaboration entre art et science. Dans le cadre de son programme Arts at CERN, des artistes sont invités à travailler aux côtés d'ingénieurs et chercheurs en physique des particules. Au cours de ces rencontres, de riches collisions se produisent, diversifiant ainsi la pensée scientifique, tout en fournissant des ressources illimitées pour la pratique artistique. Cette exposition rassemble une sélection des œuvres réalisées au cours des trois dernières années de ce programme.

"Les anciens Pays-Bas ont été dirigés par les Habsbourg d’Autriche de 1713 à 1794. L’éloignement de ces régions périphériques imposait aux autorités de Vienne d’organiser une délégation des pouvoirs, fixant un gouvernement à Bruxelles, capitale des « provinces belgiques », selon l’expression utilisée à l’époque. Le cours-conférence se centrera sur les questions liées à la souveraineté à distance.

Comment s’est-elle concrétisée, quelles étaient les modalités de la circulation des informations liées au fonctionnement de l’état à une époque où les distances pesaient de manière contraignante sur les communications ? Quel enjeu représentait l’administration de ces contrées inscrites dans les circuits économiques et culturels de l’Europe du Nord-Ouest ?

Les autorités de Vienne ont dû faire coexister l’héritage historique particulier de ces pays avec la volonté d’uniformiser l’administration des territoires habsbourgeois depuis Vienne. La situation excentrée des Pays-Bas, éloignés des enjeux géopolitiques de l’Europe centrale, leur a permis paradoxalement de jouer un rôle essentiel au sein de la monarchie."

Au centre de Bruxelles, les terrassements liés au projet de construction Brucity à la place de l’ancien Parking 58 ont fait l’objet d’une investigation archéologique en 2019 par une équipe d’Urban.brussels et de collaborateurs extérieurs. Ce chantier d’envergure, de près de 6000 m² de surface et 15 m de profondeur, a révélé un patrimoine d’importance sur l’évolution du cours de la Senne, ses aménagements et les activités liées. Par ailleurs, de très bonnes conditions de conservation ont permis de prélever un ensemble d’objets, entre autres périssables, représentatifs du mode de vie du XVe s.

Conférence donnée par Y. Devos, CRéA patrimoine et J.Timmermans, MAH

"L’exposition présente les traces d’un dialogue de 12 semaines entre les étudiants du Master I ingénieur architecte UCL, la ville et les activités productives qui y prennent place et en même temps la façonnent. Arpenter, regarder, écouter, parler, lire, dessiner, douter… habiter. Une exploration graphique libre mais concrète, des structures de l’habiter, des échelles et des conditions de la ville productive."

"Organisée à partir des collections de photographies du Centre Pompidou, cette exposition propose un nouvel éclairage sur la photographie sociale et documentaire, émergeant en Europe, particulièrement en France et en Belgique, au début des années 1930. Le Front populaire et les icônes de la Guerre d’Espagne résument encore aujourd’hui largement l’idée d’engagement pendant l’entre-deux-guerres au détriment de cette période essentielle dont le répertoire iconographique constitue un véritable laboratoire du regard social et engagé. "

La sortie du livre Bruxelles et sa radio de l’historien Nicolas Kenny est l’occasion de proposer une exposition des créations que le célèbre graphiste et affichiste Lucien De Roeck a réalisées lors de sa longue collaboration avec l’Institut national de radiodiffusion (INR, ancêtre de la RTBF).

Nombreuses sont les illustrations et affiches produites lors de ce fructueux partenariat avec la radio. Cette exposition sera l’occasion de découvrir des archives rares, des croquis, des revues, issus du fonds Lucien De Roeck. On pourra aussi voir la collection d’archives photographiques et iconographiques de l’homme de radio, Charles Van Hauteghem, témoin privilégié de l’âge d’or de la radio en Belgique et interlocuteur précieux de Nicolas Kenny pour la rédaction de son livre.

Né en 1915, Lucien De Roeck est principalement connu pour avoir créé l’emblème et l’affiche de l’inoubliable Expo 58. Graphiste, typographe, illustrateur, affichiste, doué d’un incontestable talent, il est un travailleur inépuisable et un dessinateur qui ne sortait jamais sans son carnet de croquis. Diplômé de La Cambre, il y deviendra plus tard professeur et comptera parmi ses élèves Pierre Alechinsky et Jean- Michel Folon. Son trait précis, son esprit de synthèse et un imaginaire d’une grande efficacité donnent à son travail une approche très moderne qui fait, aujourd’hui, de son oeuvre une des grandes références dans le monde du graphisme.

Les Éditions CFC vous invitent à une rencontre-conférence avec Nicolas Kenny, historien canadien et auteur du nouveau livre :

Bruxelles et sa radio. Émotions et sonorités 1923-1960

C’est l’histoire de la radio nationale francophone belge dès sa naissance jusqu’à son âge d’or qui nous est racontée. Nicolas Kenny prend pour fil conducteur l’expérience, vécue de l’intérieur, par Charles Van Hauteghem, journaliste chevronné de la radio publique. Son témoignage passionnant ainsi que les nombreuses photographies d’époque et les archives rares reproduites dans le livre nous font revivre un temps où la radio était incontournable et rythmait la vie quotidienne de chacun. De fait, l’auteur nous propose également une réflexion plus globale sur la place qu’avait la radio avant l’arrivée de la télévision.

La présentation de l’ouvrage se fera en compagnie de l’historien Jean Puissant.

En partenariat avec la RTBF

Après le succès de son livre « Estaminets et Cafés, histoires bruxelloises », BruxellesFabriques-Brusselfabriek, sentinelle du patrimoine industriel bruxellois, vous convie à l’exposition éponyme qui se tiendra en partenariat avec les Halles Saint-Géry du 05 décembre 2019 au 29 février 2020.

Pour le vernissage ce 05 décembre, nous joindrons nos forces à BrusselsMuseums, encore une association crée par Guido Vanderhulst! Le vernissage se fera en effet dans le cadre de la dernière soirée des Nocturnes2019 de Brussels Museums.

La naissance d’un enfant reste un incroyable miracle de la nature. Mais après ? Contrairement au monde animal, où l’instinct prédomine, l’humanité s’est sans cesse interrogée sur ce qui convient le mieux à l’alimentation des enfants.

Dès la plus haute antiquité, des récipients adaptés ont été utilisés pour nourrir les bébés. Mais que buvaient-ils ? Et pourquoi les enfants sont-ils aujourd’hui si friands de bonbons et de fast-food ? Est-ce vraiment indispensable à leur croissance ?

Laissez-vous surprendre par la grande histoire de l’alimentation de nos petits mangeurs !

Ce n’est pas la première fois dans notre histoire que la Belgique traverse une période de profonds bouleversements technologiques et économiques et de crise sociale et politique. Au moment où la globalisation et la révolution numérique agitent l’angoisse d’un irrémédiable déclin, ce cycle propose d’éclairer nos réflexions sur le futur en nous replongeant à l’époque de la révolution industrielle et de la question sociale. Cette série de conférences mettra à l’honneur des innovateurs, des créateurs et des penseurs d’avant-garde. Nous tenterons de percer à jour leur personnalité et les secrets du laboratoire où ils ont contribué à élaborer le monde dans lequel nous vivons encore : Adolphe Quételet qui, au croisement des statistiques et des probabilités, construit l’univers des données ; Adolphe Prins qui transforme la politique criminelle en défense sociale ; Henri Pirenne, le précurseur de l’École des Annales, qui réinvente les méthodes de l’histoire ; Silvio Gesell, l’économiste méconnu, concepteur de la monnaie fondante ; Paul Otlet, le précurseur de la mondialisation ; sans oublier les avant-gardes artistiques et singulièrement les poètes. Non pas qu’il s’agisse de se complaire dans la nostalgie d’un passé révolu, mais au contraire pour tenter de comprendre et de deviner où se trouvent aujourd’hui et comment stimuler les avant-gardes de demain.

L’objectif du cycle proposé n’est pas une énième réplique du débat souvent très binaire, voire idéologique, entre « pro » et « anti » en relation avec le fonctionnement des réacteurs industriels actuels.

Les discussions qui alimentent ce débat ignorent ou dissimulent souvent qu’au cours des dernières décennies des travaux intensifs de recherche et de développement (R&D) ont été entrepris et se poursuivent dans des domaines variés. Des outils innovants ont été imaginés, comme le projet MYRRHA au Centre d’études de l’énergie nucléaire à Mol. D’autres nouveaux concepts de réacteurs sont proposés, plus petits, plus modulaires, plus sûrs. Des technologies originales de production sont envisagées pour les radio-isotopes utilisés désormais à très grande échelle en médecine. Une expertise scientifique de pointe sous-tend le Traité de non-prolifération et la lutte contre le trafic illicite de matériel nucléaire. La transmutation de certains déchets nucléaires en éléments plus légers à moindre durée de vie pourrait bientôt passer du laboratoire à l’échelle industrielle. Pour certains, la fusion des noyaux légers est même à portée de vue.

Les conférences de ce cycle feront le point sur les pistes scientifiques, technologiques et industrielles ouvertes par la R&D dans toutes ces applications de la physique nucléaire.

“CONCRETE & SUSTAINABILITY. History – Restoration – Prospective”.

Le 18 octobre 2019.

"A l' auditorium de la Fondation CIVA, rue de l’ermitage 55, 1050 bruxelles.

Cette journée souhaite faire découvrir la richesse et la variété du béton en Région bruxelloise ainsi que la diversité des approches et interventions sur des bétons historiques mais également contemporains.

- Une première partie détaille la spécificité de la Belgique et de Bruxelles dans l’histoire du béton, à l’aune du Fonds Blaton conservé aux AAM (CIVA). Des visites du Fonds Blaton seront organisées à différents moments de la journée.

- Une deuxième partie aborde différentes approches de conservation de bétons historiques eu égard à leur matérialité et historicité.

- La troisième partie interroge les enjeux sociétaux contemporains et le rôle du béton dans la production architecturale aujourd’hui.

En soirée à l’auditorium Victor Bourgeois de La Cambre Horta – ULB (place Flagey) , la conférence des architectes Jan et Pascale Richter (cabinet Richter architectes & associés, Strasbourg) explicite la démarche qui mena à la construction du Centre hospitalier spécialisé de Jury (Metz-Queuleu), prix l’Equerre d’Argent 2018 et véritable ode au béton."

Participation uniquement par inscription.

Plus d’info sur www.urban.brussels/concrete.

Le vendredi 18 octobre 2019, les Archives de l’État et la Bibliothèque royale (KBR) vous emmèneront dans l’univers complexe de l’archivage du web, lors d’un colloque sous le thème « Saving the web : the promise of a Belgian web archive ».

Pourquoi le web belge devrait-il être archivé ? Quel contenu du web belge est/sera sauvegardé ? Qu’est-ce au fond, le web belge ? Quels instruments sont utilisés pour archiver le web ? Comment le contenu est-il sauvegardé ? Comment peut-on avoir accès aux archives du web ? Quels sont les besoins des utilisateurs en matière d’archives du web ? Qu’en est-il de l’archivage du web à l’étranger ? Quels sont les aspects juridiques que les Archives de l’État et la Bibliothèque royale doivent prendre en compte ?

Depuis 2017, les Archives de l’État, la KBR, les universités de Gand (Research Group for Media, Innovation and Communication Technologies ; Ghent Centre for Digital Humanities) et de Namur (Research Centre in Information, Law and Society) et la Haute-École Bruxelles-Brabant (Unité de Recherche et de Formation en Sciences de l’Information et de la Documentation) développent une stratégie pour l’archivage du web au niveau fédéral, dans le cadre du projet de recherche PROMISE. Les chercheurs de ce projet, qui est financé par le SPP Politique scientifique (Belspo), auront le plaisir de présenter les résultats de leurs travaux lors d’un colloque consacré à l’archivage du web.

Entre-temps, ils continuent à mettre en place et à tester une plateforme d’accès, ils contrôlent la qualité des informations archivées et ils analysent en profondeur les aspects juridiques des modalités de consultation des archives du web. Après l’été, la stratégie sera présentée au comité de direction des Archives de l’État et de la KBR, et ensuite, des procédures concrètes seront élaborées.

Informations pratiques

• Informations et programme provisoire

"À partir d’archives nombreuses et exceptionnelles ainsi que d’interviews de membres de sa famille, de proches, d’amis et d’artistes, Yvon Lammens propose un film qui dévoile un sculpteur, mais aussi un dessinateur et un écrivain qui préfère les défis, les épreuves, les rencontres aux certitudes trop bien ancrées. Attentif aux questions existentielles, il marque ses sculptures d’une réflexion spirituelle et philosophique qui l’accompagne tout au long de sa vie. Le film nous fait découvrir un artiste nourri aux sources de la culture classique, qui interroge le mythe, le passé et le présent pour donner naissance à une oeuvre synthétique intemporelle. Avec finesse, André Willequet travaille le bronze, la pierre, le bois, dans un jeu scandant l’espace de pleins et de vides générateurs de formes à la fois dynamiques, sensibles, monumentales et sensuelles. "

"Si les Journées du Patrimoine existent depuis des décennies, les Journées du Matrimoine manquaient à l’appel en Belgique. Initiées à Paris, il y a 4 ans, les Journées du Matrimoine se diffusent en France … et dorénavant à Bruxelles.

A l’initiative de l’asbl L'Ilot - Sortir du sans-abrisme et de la plateforme L'architecture qui dégenre, les Journées du Matrimoine se dérouleront à Bruxelles les 28 et 29 septembre 2019.

Cette première édition mettra en lumière d’une part l’héritage matrimonial bruxellois historique - architectural, sculptural, urbanistique, social : béguinages, familistère, etc. D’autre part, les Journées seront aussi l’occasion de découvrir le matrimoine actuel – artistique, politique et féministe : passage Marguerite Yourcenar, projet Calico, la Poudrière, etc.

Au-delà de la découverte du matrimoine bruxellois parfois, voire souvent, éclipsé, la question fondamentale de l’accès à la propriété pour les femmes et aux professions liées sera transversalement soulevée lors d’ateliers menés par des expertes et tout au long des visites conduites par des professionnelles de terrain. L’ensemble du programme permettra ainsi de rendre compte de la participation des femmes dans les multiples corps de métiers liés au matrimoine.

Avec le soutien de la Ville de Bruxelles, vzw Amazone asbl, la Commune de Saint-Gilles - Gemeente Sint-Gillis (Officiel) et la Faculté d'Architecture ULB."

1) FEEST!

Op 28 september 2019 viert onze vereniging haar 30ste verjaardag. Dat doen we met een academische zitting met Prof. Dr. Paul Huvenne, om 15u in het Nekkersdal. Hij zal er uitweiden over Pieter Paul Rubens als landschapsschilder en inzoomen op het schilderij De Weide te Laken (fragment hierboven). Daarna onthullen we een cadeau voor de hele Lakense gemeenschap en krijgen de aanwezige leden/abonnees een gedenkpenning tijdens een feestelijke receptie (nadien enkel nog te verkrijgen tegen betaling).

RSVP: het aantal plaatsen is beperkt. Uiterlijk voor 15/9 maar als u tot dan wacht kan het te laat zijn.

De tickets zijn gratis. Laca verjaart, dus Laca trakteert maar wel inschrijven dus, via info@laca.be, telefonisch bij Eric Christiaens na 18u kan ook (02/426.55.88), desnoods per brief naar de Prudent Bolslaan 136, 1020 Laken.

2) LAST MINUTE Zomeruitstap

Laca aan zee! Op uitnodiging van de makers van een tentoonstelling rond Marco Marcovici gaan we ze bezoeken. In Westende. Zaterdag 27 juli. In combinatie met het grootste zandsculpturenfestival ter wereld, in Oostende. Van Oost West naar wederom thuis best met de NMBS en de kusttram. Inclusief toegang en vervoer vanuit Bockstael statie -vertrek rond 9u- organiseren we dit voor een luttele 20 € per persoon. Eten en drinken zijn ter plaatse betalend maar naar het schijnt heel erg lekker. Wie liever een picknick meebrengt mag dat natuurlijk. Inschrijven aub voor 20/7 op info@laca.be, of per telefoon naar Eric Christiaens 02/426.55.88 (na 18u dan wel) en betalen per overschrijving naar BE20 9794 2966 6656

3) Elke vierde zaterdag van de maand, behalve juli en december om 14u in het Nekkersdal, Studio 1: open redactievergadering

"Rendez-vous incontournable de la rentrée pour des milliers de visiteurs, qu'ils soient Bruxellois, Wallons, Flamands ou étrangers, les Journées du Patrimoine permettent chaque année, le temps d'un week-end, de redécouvrir la ville avec un autre regard, d'apprécier des endroits méconnus, de découvrir des styles architecturaux ou de visiter des lieux souvent peu accessibles.

Les prochaines Journées du Patrimoine en Région de Bruxelles-Capitale se dérouleront les 14 et 15 septembre 2019 et auront pour thème « Un lieu pour l’art ». Ce dernier, choisi par Rudi Vervoort, Ministre-Président du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, s’intègre dans la thématique annuelle régionale « Arts et Patrimoine ».

Figureront au programme des lieux conçus pour accueillir une activité artistique (académies des Beaux-Arts, académies de Musique, écoles de danse, théâtres, salles de spectacles, opéras, cinémas…) ou abritant des collections (peinture, sculpture, littérature, photographie…), de même que des ateliers d’artiste. Les lieux de rencontre d’artistes seront également mis en valeur.

Dans le cadre de l’ Année européenne du Patrimoine culturel, la Région de Bruxelles-Capitale s’était lancé un défi pour l’édition 2018 des Journées : demander aux citoyens de parler/présenter « leur » patrimoine. Le programme qui a découlé de l’appel à projets a permis de renouveler le regard sur le patrimoine bruxellois grâce à la grande variété des visites, à l’originalité de certaines animations, à l’ouverture de lieux inédits...

Pour 2019, la Direction du Patrimoine culturel propose, à côté d’une programmation plus traditionnelle avec une thématique bien définie, de maintenir une formule plus ouverte aux projets « citoyens » via la labellisation « Le patrimoine c’est nous »."

"Conçue et réalisée par ARCHistory, avec le soutien d’Urban.brussels, l’exposition « Alexis & C° » s’adresse à un public familial. Elle raconte l’histoire d'Alexis Dumont (1877-1962), fils d’Albert, oncle de Philippe et grand-oncle de Yves, tous architectes et actifs à Bruxelles ! Alexis commence sa carrière dans l’atelier de son père. C’est précisément à l’intersection entre le haut et bas de la ville, dans l’îlot compris entre le Cantersteen et les rues Ravenstein et des Sols, qu’Alexis et ses collaborateurs, résolument tournés vers le futur, construisent entre 1931 et 1958 quatre immeubles qui marquent la capitale avec plus de 700 mètres de façades.

« Alexis & Co » propose une plongée dans l’histoire de ce nouveau quartier des affaires, à l’époque où Bruxelles subit de profondes mutations et prend des allures de métropole trépidante."

"Bruxelles est de plus en plus reconnue comme une plateforme d'avant-garde pour l'art contemporain en Europe. Le Brussels Gallery Weekend est aujourd'hui un événement majeur dans le domaine de l'art contemporain en Belgique: une tournée dans 40 galeries bruxelloises d'art contemporain et un circuit à but non lucratif auprès des grandes institutions et collectifs d'artistes.

Début septembre, la rentrée sonne pour les amateurs d’art contemporain. Le Brussels Gallery Weekend (12e édition) vous fait découvrir l’éclectisme et la richesse des galeries bruxelloises avec un volet spécialement consacré à la jeune création.

Diversité des lieux, audace de la sélection, le Brussels Gallery Weekend est un marathon joyeux et décontracté à travers le Bruxelles de la création actuelle, avec, en bonus, des visites guidées et des dossiers pédagogiques vous permettant d’apprécier d’autant mieux les oeuvres et les artistes."

"Sensibiliser davantage les jeunes à l’importance de la préservation du patrimoine de leur ville est essentiel. Au mieux connaitre leur patrimoine leur permettra de se l'approprier plus facilement facilement et les aidera à trouver leur place au cœur de notre métropole multiculturelle.

Pour cette raison la Région de Bruxelles-Capitale participe, depuis 1998, à l’Expérience photographique internationale des Monuments, un projet initié par la Catalogne en 1992 dans le cadre des Journées européennes du Patrimoine.

Parmi les actions de sensibilisation menées par Urban.brussels, l'Expérience photographique internationale des Monuments a pris, au fil des années, une place de plus en plus importante en Région de Bruxelles-Capitale.

Sur base d'un support simple - la photographie - ce concours permet d'attirer le regard des jeunes élèves sur les richesses patrimoniales de leur région. Il s'adresse à l'ensemble des écoles bruxelloises, toutes sections confondues et a, cette année encre, suscité un grand intérêt auprès des professeurs et du corps enseignant. Plus de 800 élèves de 24 écoles y ont pris part. En y participant, ils ont pu aborder différemment le patrimoine de leur ville à travers l’angle de leur appareil, leur permettant de découvrir ainsi des éléments auxquels ils n’auraient sans doute pas prêté attention en temps normal."

Découvrez les 25 photographies sélectionnées cette année par la Région de Bruxelles-Capitale

La Maison CFC et les Éditions L'employé du Moi vous invitent à la présentation du premier livre de Rebecca Rosen.

Pour l'occasion, les planches originales de Morveuse sont exposées.

Installée à Bruxelles pour suivre des études artistiques, Julia voit bien qu’elle ne ressemble en rien à tous les autres étudiants qui peuplent son école d’art. Suite au décès de sa mère, Julia n’a plus les moyens de payer son loyer. Au hasard d’un concert, elle rencontre les membres d’un collectif féministe qui vont faire basculer son existence. La jeune femme décide de les rejoindre dans leur squat et d’embrasser leur mode de vie radical. Elle se retrouve marginale parmi les marginaux. Morveuse séduit par les couleurs fortes et le dessin élégant de Rebecca Rosen. La jeune canadienne, installée à Bruxelles depuis quelques années, surprend par la maturité d’un récit courageux autour de problématiques sociétales contemporaines.

Rebecca Rosen a créé avec son compagnon Quentin Pillot l’atelier d’impression et d’édition indépendant L’appât.

"Pour cette quatrième édition, Muziekpublique part une fois de plus à la recherche des lieux les plus insolites et inattendus de la capitale pour y organiser des concerts de musique du monde. Spécialiste des musiques traditionnelles de tous les continents, Muziekpublique sort de son théâtre où elle organise régulièrement des concerts pour proposer des expériences musicales inédites dans des lieux aussi fous que le sommet des arcades du Cinquantenaire, une usine de tri textile, un ancien club libertin, l’un des plus grands dépôts de la STIB, le mythique Cercle Royal Gaulois, le Cercle des Arbalétriers et bien d’autres…

Pour 2019, Muziekpublique place la barre haut et promet autant de nouveaux lieux et des musiciens de grand talent de chez nous ou d’ailleurs, parfois combinés avec une visite guidée en journée."

Demandez le programme

"On peut exceptionnellement visiter la tour de la centrale de Pont Brulé à Vilvorde et y écouter des chants sublimes.

Pour ceux qui restent cet été à Bruxelles, une excursion hors du commun est possible (elle se mérite) jusqu’au 15 septembre. On peut visiter le mercredi et le week-end, l’intérieur de l’immense tour de refroidissement de la centrale électrique de Pont Brûlé à Vilvorde, au début de l’autoroute vers Anvers, le long de la Senne.

La tour de 80 m de haut, grande comme une cathédrale de béton est à l’arrêt depuis l’an 2000 et ses pontons de bois commencent à pourrir. Mais elle reste monumentale et à l’intérieur, grâce à une passerelle reconstruite, on est tout petit face à ses immenses parois courbes de béton nu montant jusqu’au ciel pour laisser apparaître le cercle de l'infini bleu.

On y a placé cet été, l’oeuvre que l’artiste nigérian Emeka Egboh avait créée en 2017 pour la Documenta à Athènes: une dénonciation des folies du monde économique, mais très poétique (voire sublime) placée alors dans le théâtre de béton du Conservatoire d’Athènes plongé dans l’obscurité. On y entendait des chants bouleversants de beauté tandis que défilait sur la scène le film coloré des indices boursiers du monde donnés en live.

Suppliques

"L’exposition Scientifiction, Blake et Mortimer au musée des Arts et Métiers plonge le visiteur au cœur de l’œuvre d’Edgar P. Jacobs, le créateur des personnages de Blake et Mortimer. Présentée du 26 juin 2019 au 5 janvier 2020, cette rétrospective témoigne de la vision résolument contemporaine de ce patrimoine unique du 9^e art. L’originalité du parcours de visite repose sur un dialogue inédit entre une centaine de planches originales, des images extraites des bandes dessinées et près de soixante-dix objets conservés dans les réserves du musée des Arts et Métiers."

Sessions d'information à destination du public

Urban.brussels organise deux séances d'information à destination du public afin de présenter les grandes lignes de la réforme du Code Bruxellois de l'aménagement du territoire.

Les 27 et le 28 juin 2019 de 9h30 à 12h45,

Au Palais des Académies (rue Ducale 1, 1000 Bruxelles).

Inscription obligatoire sur www.urban.brussels avant le 17/06/2019.

Synopsis

Joseph Poelaert, un illustre inconnu.

"Illustre, parce qu’il est l’architecte unique du plus grand (et démesuré) Palais de Justice au monde : 60.000 m³ de pierre blanche du Jura et de petit granit, 245 locaux, 8 cours intérieures, un dôme [Poelaert avait prévu une pyramide] culminant à plus de 100 mètres au-dessus de la salle des pas perdus, 4.941 marches d’escalier, un portique d’entrée qui pèse une quinzaine de tonnes et qui est si grand qu’on pourrait y faire passer une maison entière haute de quinze mètres…

Inconnu, parce qu’on ne connaît quasi rien de sa vie.

L’Histoire n’a retenu de ce « grand homme » que quelques rares moments : sa désignation surprise comme « architecte de la Cour » lors du décès de Louise-Marie, la première reine des Belges ; sa relation fusionnelle avec son frère, sculpteur, et sa douleur lors de son décès, alors qu’il n’avait que 39 ans ; son mariage forcé – poussé par sa famille – avec une gamine de 18 ans alors qu’il en avait 43 ; sa désignation, par Jules Anspach, le « bourgmestre bâtisseur » de Bruxelles, comme concepteur d’un Palais de Justice destiné à « purger la ville de ses déchets humains », tandis que lui-même se chargeait de doter la ville d’un réseaux d’égouts ; sa manie de ne communiquer ses plans à personne et de les compléter/rectifier en permanence ; sa fugue, sa « folie » et sa mort, comme ultime pirouette.

En six courtes scènes, la pièce « Poelaert » orchestre ces événements.

La magie du théâtre permet ainsi à Joseph Poelaert de reprendre vie, dans les lieux mêmes de « son » Palais."

Débat sur Bruxelles en tant que capitale internationale dans une approche historique sur le long-terme.

"Le 19 Jun 2019 de 18 à 20h, à l'auditorium de la House of European History.

Organisation : the House of European History en collaboration avec le Coudenberg Palace.

Langues utilisées : français, néerlandais, anglais avec traduction simultanée vers le FR et le NL.

Gratuit sur inscription.

The House of European History is organising a debate in collaboration with the Coudenberg Palace.

The speakers will debate the idea of Brussels as an international capital in the historical long-term. Can we say that Brussels became a European capital with the development of a high-level court from the 15th Century? How did this international role of Brussels develop through centuries? How could we define Brussels as a European capital today? What does this international role mean for its inhabitants? Discover four different points of views by four Brussels personalities active in the fields of history and creation."

"Figure majeure de la scène artistique belge, Wim Delvoye est connu pour son humour, son goût de l’expérimentation technologique, et sa production riche et variée.

L’exposition que lui consacrent les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique est conçue en étroite collaboration avec l’artiste. Elle propose un impressionnant panorama de son travail et met l’accent sur son aspect pluridisciplinaire.

Wim Delvoye, observateur attentif de son époque, scrute le futur pour y déceler les tendances à venir, tout en cultivant des liens très marqués avec le passé et ses traditions. Ses œuvres naissent souvent d’une rencontre entre artisanat et techniques de fabrication industrielle les plus sophistiquées. De façon inédite, l’exposition fait dialoguer des chefs-d’œuvre de la collection d’art ancien des MRBAB avec des créations de l’artiste inspirées directement par les lieux. Autre exclusivité : de nouvelles œuvres de Wim Delvoye sont présentées pour la première fois au public. Elles témoignent de son regard attentif aux mutations en cours dans nos sociétés hyper-connectées, où réel et virtuel tendent de plus en plus à se confondre."

"Pour célébrer le 20e anniversaire de son inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, l'expositon The Grand-Place to be vous dévoile tous les secrets de ce lieu emblématique de l’architecture et de la vie bruxelloises.

Du haut de ses cinq mètres, la statue originale de saint Michel, spécialement déplacée pour l’occasion, guide le visiteur à travers des pièces rares et inédites. Tableaux, objets, gravures, photographies illustrent l’histoire mouvementée, les divers fonctions et usages ainsi que les transformations de la place du 12e siècle à nos jours. Les chantiers de restauration sont présentés pour la première fois au public.

Une véritable découverte des coulisses de la plus belle place du monde!

Organisée autour de la statue monumentale du saint Michel, girouette du 15e siècle, l’exposition aborde de nombreuses thématiques en relation avec son histoire, son architecture sa sauvegarde et sa mise en valeur. Des œuvres d’art, des documents d’archives et des objets archéologiques rares et inédits dont une grande part, issus d’institutions culturelles ou de collections privées, sont rassemblés pour la première fois. Les chantiers de restauration sont également mis à l’honneur grâce à des documents de travail, des photographies de chantier

de l’outillage et des objets originaux provenant des façades."