Équilibre

réflexe

Invalide

Une personne ne peut s'aligner seule que si l'espace est à sa disposition. Un esprit ne peut être libéré avec lui que lorsqu'il y a de la lumière en lui. Tous les plombages sont une conséquence directe du vide. Le vide, cependant, ce ne serait rien. C'est de ça qu'ils parlent.

Un bain alterné de relations n'aide que les humains à s'enchevêtrer en nous-mêmes. Il vaudra mieux là pour libérer enfin tout et rien. Celui qui peut reconnaître correctement ses choses réelles a aussi quelque chose à gagner à le faire.

documentation

Histoire de ma découverte de moi-même

Il est nécessaire de trouver une approche de cette existence en tant qu'être humain qui rende possible la stabilité spatiale, matérielle et intérieure, ou qui puisse les préserver. Certains parlent de la structure et pensent qu'elle seule n'est que la mesure de ces conditions élémentaires. Je pense que c'est mal. Je pense qu'une telle limitation de ce qui a été donné ne serait pas admissible.

Je pense qu'il est erroné de réaliser un ordre des choses sans tenir compte des autres circonstances en observant une structure. La tentative de le faire échouera inévitablement de plus en plus à mesure qu'elle sera avancée. J'assume cela à partir de ma propre expérience.

Je vous informe par la présente que j'ai eu affaire à de la littérature dans les temps anciens. J'ai essayé d'interpréter ce que j'ai lu, en explorant les différences dans la façon dont les choses élémentaires sont perçues, comme les auteurs en ont discuté. Tu n'as pas toujours été évident. Mais une réflexion approfondie d'une telle littérature a mis en lumière beaucoup de choses à mon sujet que je peux encore voir aujourd'hui d'un point de vue intérieur et associer à des expériences quotidiennes.

Certaines personnes ne trouveront pas nécessaire que je fasse quelque chose comme ça. Mais je ne peux mener ma vie seule que telle que je la perçois. Pour moi, ces choses liées à cette existence n'étaient ni uniques ni à comprendre de manière individuelle. Et même aujourd'hui, je suis toujours à la recherche des similitudes réelles, qui peuvent probablement s'appliquer à tout le monde quelque chose.

Ainsi, dans cette recherche du sens des choses, je suis littéralement tombé sur le concept de structure et je n'ai pas réussi à le saisir. Montagnes, lacs et vallées sont pour une Forêt-Noire comme moi de véritables structures. Il y aurait aussi des plaines et des plateaux. Même une prairie ou un arbre correspond bien à ma conception intérieure d'une structure.

Et pourtant, dans cette existence, j'ai été confronté à un autre concept de structure. Non seulement mon existence en tant qu'être humain a été subordonnée à cette conception de la structure, mais on m'a aussi demandé de me soumettre à elle. C'était la seule chose à faire et cela n'a conduit qu'à cette forme d'amélioration de mes choses.

D'un côté, je me sentais impuissant, parce que je ne comprenais pas vraiment ce que c'était censé être. D'autre part, j'ai toujours suivi mes professeurs et je me suis impliqué dans leurs modèles de réalité. Les autres professeurs ne m'ont pas formé. Que pouvez-vous faire d'autre si vous voulez vous intégrer dans une société tout en suivant les enseignants qui sont prêts à se tourner vers vous ?

aphorisme

Considérations et circonstances

Structure est un mot qui, comme tout autre mot étranger, doit d'abord être clarifié pour un locuteur natif allemand. Il ne serait pas capable d'en imaginer le sens. Il ne pourra pas non plus les déduire du son qui peut être entendu et ressenti lorsque cette parole est prononcée.

Un tel terme apparaît d'abord dans notre esprit à cause de sa façon de l'utiliser et est ensuite clarifié par nous-mêmes comme un terme pour les moments ultérieurs de la vie. Mais il m'est arrivé que le modèle de la structure n'avait pas de sens pour moi. De même que la loi de la conservation de l'énergie pour mon environnement n'a jamais vraiment été tangible pour moi, de même je n'ai rien compris à la structure.

Certains ont essayé de m'expliquer que la séquence temporelle des choses est une structure. Mais je n'en ai aucune idée non plus. Je n'ai pas été en mesure de les illustrer ou de découvrir quoi que ce soit à leur sujet qui pourrait résister à mon test.

Je ne pouvais pas croire en un précepte de telles choses pour l'homme. Ce serait trop bon marché pour moi. Tout le monde va dire quelque chose de différent à ce sujet. Et là où beaucoup d'opinions peuvent être entendues, il y a probablement aussi beaucoup de croyances différentes à entendre.

aphorisme

Hermétique et construction de châteaux

Fidèle à l'indépendance de l'homme, qui se réalise grâce à l'hermétisme de son lien intérieur avec ce monde, il peut conserver pour lui-même un espace où il peut rester et exister, c'est-à-dire son château. C'est à vous de le découvrir. On y reste, là où il est donné que l'homme se trouve. Ce serait l'endroit idéal.

Construire un château en bois, en pierre et en métal ne serait pas une garantie pour la réalisation de certaines des choses qui rendent cette prédisposition intérieure détectable. Il n'y a ni le temps ni le matériel pour le faire. Et pourtant, le besoin de protection de l'être humain est toujours important. Pour y parvenir, nous avons besoin d'une véritable forteresse.

Celle-ci est formée par sa propre base. Un tel être existe par le sceau d'un être humain, qui est déjà suffisamment incarné par son nom.

L'apparition d'une base pour sa propre existence pourra renforcer l'être humain dans cette vie de telle manière qu'il puisse reconnaître son existence comme significative et donnée. Et nous ne dépendons pas uniquement de ce qui émane des circonstances extérieures.

Sans le soutien de l'esprit réel de nous-mêmes, nous pouvons difficilement exister dans ce monde avec quoi que ce soit qui nous appartienne. Oui, alors nous ne serions même pas capables d'apprendre quoi que ce soit de nos tentatives de créer enfin quelque chose qui nous appartienne. Mais comment alors comprendre correctement comment cette vie sera menée ? Pourquoi on a les mains liées ? - Si nous devons nous passer d'une véritable protection de nos choses de façon permanente, elle retombe un jour sur nous-mêmes d'une manière nuisible.

Nous avons besoin de toute urgence de certaines valeurs pour nous-mêmes qui font une différence pour nous. On n'y renonce pas sans raison, puisqu'elles signifient quelque chose. C'est la seule façon d'obtenir une base pour cette existence en trouvant son chemin vers soi-même et en développant davantage ce que l'on obtient à travers elle. Ce n'est qu'alors que l'on pourra avoir un choix réel pour une amélioration du donné. C'est ainsi qu'une véritable liberté de choix s'ouvrira à nous, qui nous permettra de déterminer comment nous voudrions nous donner aux autres dans cette vie. Comment pouvons-nous mener une vie autodéterminée autrement que de cette façon ?

aphorisme

Favoriser une finitude des travaux

Sur la base d'une vie ordonnée et conduisant à la préservation d'une telle vie, le processus par lequel l'homme s'efforce pour son propre travail devrait être nommé. Une telle personne devrait au moins être choisie pour s'adapter à son propre bien-être. Avec celui-ci il faut exister une fois aussi suffisamment devant d'autres personnes.

Ce qu'une personne veut faire résulte parfois de sa volonté, mais parfois aussi de ses possibilités. Les réalités de ce cosmos ne se laisseraient pas courber par l'homme sans subir de pertes.

Il est donc vrai qu'il ne serait pas erroné de favoriser la finitude de ses propres voies et objectifs. Une telle modération ne devrait pas nuire à l'homme.

Phénomènes

Orientation et sens

Je regarde la montagne, puis je vois une montagne. Mais quand je regarde en bas, je vois la raison à mes pieds. Quand je lève les bras en l'air, je me sens le faire. Si je les laisse couler à nouveau par la suite, je me reconnais quelque peu. J'entends ainsi l'état de mon statut, par exemple, que je prends. Toutefois, il ne serait pas nécessaire de les aborder ici. Alors je vais laisser tomber.

Qu'est-ce que je veux de ce monde autre que d'être là et d'y être ? A quoi cela sert-il, si ce n'est pas aussi à une telle existence, telle qu'elle m'est donnée ?

Tout le monde a quelque chose qui lui appartient. Et chacun peut comprendre ce qui lui est donné. Le don nécessaire pour cela n'est autre que cette existence humaine. Le fait que l'on se produise dans les couloirs, les espaces et les réalités de ce monde ne signifierait pas nécessairement du mal pour nous. Ce n'est pas nécessairement une erreur dans la constellation des circonstances.

Tout être humain a vraiment droit à une existence humaine dans la dignité. C'est sans aucun doute vrai. Et cette vision de la valeur d'une personne constitue à juste titre la forme juridique de la démocratie, je pense. Chacun peut adopter cette attitude et avoir raison sur ce qu'il peut trouver grâce à elle.

Une dignité ne peut pas être perdue ou perdue par le jeu. Nul ne les possède pour lui-même seul, sans quoi il n'est pas donné pourtant aussi tous les autres au moins de manière équivalente. Nul ne peut varier la dignité dans sa valeur.

L'orientation et la signification de l'être humain sont fortement interdépendantes. Dans la vie, comme dans l'expérience du bonheur, l'homme est égal à la réalité. Personne ne peut se réclamer de quelque chose que les autres n'auraient pas conditionné. Alors qu'est-ce que ça veut dire qu'on est là ? Ne comprenons-nous pas quelque chose parce que nous existons ? N'y aura-t-il pas une réelle clarté sur cette existence terrestre à tirer de nous, êtres humains, de cette manière ?

Phénomènes

L'abstraction comme moyen de transformation

Ce qu'il y a est là, et c'est pour ça que ça arrive. Là, nous pouvons parfois comprendre ce qui nous est donné. Nous pouvons utiliser notre propre perception à cette fin.

Mais nous sommes aussi restés libres. Nous pouvons faire ce que nous sommes sur le point de faire en premier, avant de faire quoi que ce soit d'autre.

Peut-être qu'à chaque instant de cette existence, ce sera quelque chose qui nous semblera nécessaire à faire. Parfois il faudra aussi parfois le laisser rester et ainsi préserver l'existence des choses ou s'en souvenir en détail. C'est ce que l'on peut qualifier d'inactivité réelle. C'est ne rien faire de ce que l'homme expérimente alors qu'il conserve les siens pour ses pairs et pour lui-même. C'est tellement vrai parce que c'est sa responsabilité de veiller à ce que les choses soient stables. Il a aussi le droit de prendre soin de lui-même. C'est ce qui arrive. Cela nécessite également un échantillon, dans lequel on veut savoir si la donnée est toujours valable.

Pour une communauté, ce ne serait pas un service direct si l'on quittait tout pour ne rien faire. Mais ce n'est pas non plus une perte. Il est vrai qu'une communauté peut indirectement bénéficier si ses membres réussissent dans cette vie. Et un abandon du donné est parfois aussi simplement une nécessité de cette existence. C'est une nécessité si urgente pour un progrès réel. Tu dois être capable de laisser les cinq en ligne droite.

La somme des personnes qui vont bien ne serait certainement pas moins importante que la somme des biens que les gens possèdent. Pour l'existence d'une société, c'est certainement la bonne chose à faire.

La possession peut aussi être de taille très relative. Cela ne peut en fait recevoir aucune continuation permanente avec nous, puisque la personne meurt au moins une fois. Et on ne s'attendrait pas à ce que ce processus puisse être annulé une fois qu'il se serait produit. Ce qui est perdu pour nous une fois le sera au moins pour une période indéfinie.

Une façon pour une personne de clarifier ces choses pour elle-même serait d'essayer de les transférer à un autre niveau où elles ne sont pas sujettes à changement. Le niveau de pensées et d'idées serait probablement approprié pour cela. Sur ce point, on ne pourrait avoir aucun effet, mais beaucoup de choses pourraient être clarifiées et préparées par la connaissance.

Nous l'appelons abstraction quand nous comprenons les choses intérieurement et spirituellement. Le mot abstraction indique que quelque chose de physique est vu comme une image. Il est réel que l'image regardée est d'abord l'image d'une structure physique qui existe. Tout le reste n'a lieu qu'après et ne portera qu'un bien correspondant en soi, tel que nous l'entendons.

J'entends par là le processus suivant. Nous examinons de près quelque chose et nous nous l'introduisons involontairement. C'est de ça qu'il s'agit. Nous pouvons accepter et interpréter les deux images, le réel et le spirituel. Lesquels de ceux que nous pouvons apparier peuvent également être vérifiés. Ce processus s'appelle la Capacité d'Abstraction et est un processus simple pour montrer cette nature. Elle a lieu continuellement et entre-temps nous en sommes plus ou moins conscients dans notre vie de tous les jours.

Il y aurait beaucoup de choses à apprendre sur l'essence des éléments de ce monde, si on suivait cette voie. Mais c'est à nous de décider si nous voulons le faire. Nul ne peut déterminer pour un autre l'opportunité de tels événements à sa place. Chacun devrait avoir le choix de ce qu'il veut faire.

intervention

Phénoménologique

Ce cosmos a quelque chose à offrir à l'homme. D'une part, il y a les éléments matériels et physiques (intouchables). Les processus (touchables) de cette existence se produisent également. C'est ce que je découvre maintenant. En venant d'ici, je vais essayer de suivre un chemin qui permet de trouver un pont vers autre chose. Mais je ne fais que commencer à marcher sur ce chemin. Alors maintenant, je regarde autour de moi d'abord quelque chose dans les régions que je connais.

Ce que je vois apparaît devant moi. C'est ici. C'est ici.

Ce que j'entends apparaît devant moi. Cependant, elle ne serait pas visible.

Ce que je ressens ou goûte en voyant le visible et en entendant l'audible, c'est moi-même. Mes sens sont réflexifs, à l'intérieur comme à l'extérieur. Le perçu a une direction, mais il n'en a pas une seule. Je peux bouger les yeux, regarder ou voir. Et cela s'appliquerait à tous les autres sens de la même manière. Mais mon corps est-il en harmonie avec ce qui m'est donné grâce à cette contemplation ?

Alors je bouge mes mains. Je m'assois là, je fais quelque chose avec ça. C'est ce que je fais.

Une fois, j'ai bien regardé ce que j'ai fait avec mes mains, mais je n'entendais pas mes mains. C'est plutôt que je peux vraiment les ressentir. C'est comme si ça valait quelque chose pour moi aussi, parce qu'on peut avoir quelque chose sur nous qu'il y a. J'y reconnais soudain mon être comme une existence qui a un effet sur moi-même, mais aussi sur mon environnement. Pendant ce temps, je me regarde dans ma forme, je reconnais aussi la forme de mon corps. Est-ce que je peux aussi les reconnaître comme bons ? De quoi ai-je besoin pour vraiment me comprendre en tant qu'être humain de façon bénigne ?

Maintenant, je cherche là pendant un certain temps. Je vois quelque chose, mais je ne l'ai pas vu si impressionnant. Donc je ne vois pas encore vraiment ce que je regarde. Pendant ce temps, mon regard continue à errer sur le monde que j'ai vécu directement, mais il ne pourrait pas l'atteindre sans raison et ne voudrait pas le faire du tout. C'est mon look et rien que ça. Cela a en soi les qualités que je lui confère. Je m'en souviens encore une fois en regardant ce qui m'a été donné. Du moins, je pense que cela peut aussi être une forme de connaissance.

Je continue toujours sur cette voie.

Maintenant, je passe en revue ce qui a déjà été écrit. C'est pour ça que je l'ai lu. Puis je reprends l'écriture de ce " protocole de pensée ". Voilà ce que je me demande maintenant. Ne serait-ce pas aussi moi qui, pendant qu'il écrit et réfléchit à travers toutes ces paroles, suis-je présent ici dans ce monde ? - Entre-temps, d'autres questions se posent avec moi. Alors quelle est la raison de cette existence et qu'est-ce que cela signifie pour une personne comme moi ?

Je regarde les choses autour de moi avec une expression étonnée comme un homme qui dort la nuit. Pendant ce temps, mon regard est sombre. Je ne suis certainement pas une figure brillante. Pour moi, la raison des choses est déjà devenue sombre une fois et l'est restée depuis. Pendant ce temps, je me rends compte de quelque chose à propos de moi en y réfléchissant.

Pendant ce temps, au fond de mon étude, une musique retentit et mon attention est captée pour un court instant. Ça me distrait un peu de cette mélancolie maintenant. Alors je viens à moi et pourtant je suis tout seul.