Le tableau noir

Nous nous éveillons dans un espace noir comme de l’encre, posés tous les cinq sur une surface que nous ne voyons pas.
Nous sommes « ectoplasmiques » et lumineux.

Lorsqu'on se touche, cela crée un peu plus de lumière dans nos corps qui fusionnent. Nous décidons de tous nous regrouper en entrant les uns dans les autres.

Cela crée de plus en plus de lumière et une fois que nous sommes tous regroupés, notre forme explose, chassant le noir pour un décor blanc immaculé, où nous sommes tous comme dessinés au fusain, en noir et à nouveau séparés.

Le tableau blanc

Nous pouvons faire apparaitre des objets, tels une table avec une pomme par exemple. Noire pour l’instant.

Flavian fait apparaitre un beau ciel bleu…

Gauthier un arbre plein de feuilles dans lequel il s’installe au soleil…

Jo’ une rivière avec plein de poissons sautant de partout…

Aubin une forêt avec ses sons et oiseaux…

Roland des herbes hautes avec des papillons très colorés à chasser.

Roland monte dans l’arbre d’Aubin et décide de rendre ce décor plus « naturel »… Et nous nous retrouvons dans un lieu presque identique, mais je ne peux plus faire apparaître de pomme.

Il y a un village pas très loin, qui rappelle quelque chose à Flavian parti en repérage. Nous nous y rendons, pour les plus discrets d’entre nous.

Le village

Une église... Un homme avec un « fusil » et son fils... Des vêtements qui sèchent et donc de quoi nous habiller...

Gauthier est parti dans l’église, tandis que Flavian reste sur l’église à surveiller ce qu’il se passe.

Dans l’église, l’homme en rouge parti parler au moins parlent une langue qu’il ne comprend pas.

Dehors arrivent quatre cavaliers avec chapeau à panache.

Bienvenue à Gérone

Où des hommes en rouges font assassiner des moines par 4 cavaliers équipés de pistolets !

Le moine meurt, essayant dans ses derniers instants de sortir d’une bourse une pièce de cuivre où il est estampillé ceci (pile ou face) : 

Et quand nous sommes 5 autour de cette pièce, nous ressentons une grande harmonie qui, une fois rassemblés, a « redémarré le décor »…